Item P216 - Acte de concession par Louis-Hector de Callières et Jean Bochart Champigny, gouverneur et intendant de la Nouvelle-France, aux Révérends Pères Jésuites de la seigneurie de Sillery constituée d'une lieue de large sur le fleuve Saint-Laurent et d'une lieue et demie de profondeur jusqu'à la seigneurie de Saint-Gabriel qui la termine par-derrière, commençant du côté du nord-est à la pointe de Puisseaux et du côté du sud-ouest au fief de Gaudarville, laquelle concession ayant été concédée au mois de juillet 1651 aux Sauvages chrétiens (Amérindiens), lesquels ont été obligés de l'abandonner depuis dix ou douze ans pour s'établir ailleurs, en véritable fief ne relevant que du Roi avec droits de haute, moyenne et basse justice et avec les mêmes droits et privilèges concédés autrefois auxdits Sauvages
Acte de concession par Louis-Hector de Callières et Jean Bochart Champigny, gouverneur et intendant de la Nouvelle-France, aux Révérends Pères Jésuites de la seigneurie de Sillery constituée d'une lieue de large sur le fleuve Saint-Laurent et d'une lieue et demie de profondeur jusqu'à la seigneurie de Saint-Gabriel qui la termine par-derrière, commençant du côté du nord-est à la pointe de Puisseaux et du côté du sud-ouest au fief de Gaudarville, laquelle concession ayant été concédée au mois de juillet 1651 aux Sauvages chrétiens (Amérindiens), lesquels ont été obligés de l'abandonner depuis dix ou douze ans pour s'établir ailleurs, en véritable fief ne relevant que du Roi avec droits de haute, moyenne et basse justice et avec les mêmes droits et privilèges concédés autrefois auxdits Sauvages
Acte de concession par Louis-Hector de Callières et Jean Bochart Champigny, gouverneur et intendant de la Nouvelle-France, aux Révérends Pères Jésuites de la seigneurie de Sillery constituée d'une lieue de large sur le fleuve Saint-Laurent et d'une lieue et demie de profondeur jusqu'à la seigneurie de Saint-Gabriel qui la termine par-derrière, commençant du côté du nord-est à la pointe de Puisseaux et du côté du sud-ouest au fief de Gaudarville, laquelle concession ayant été concédée au mois de juillet 1651 aux Sauvages chrétiens (Amérindiens), lesquels ont été obligés de l'abandonner depuis dix ou douze ans pour s'établir ailleurs, en véritable fief ne relevant que du Roi avec droits de haute, moyenne et basse justice et avec les mêmes droits et privilèges concédés autrefois auxdits Sauvages