Subseries SS2 - Administration

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CA QUEBEC P710-S1-SS2

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  • 1970-2002 (Creation)

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6,6 mètre(s) linéaire(s) de document(s) textuel(s)

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Biographical history

Jacques Léonard est né à Saint-Jovite, le 2 décembre 1936. Il est le fils d'Odilon Léonard, cultivateur, et de Simone Desjardins. Il a fréquenté plusieurs institutions d'enseignement dont celle de Saint-Jovite de même que le séminaire Saint-Joseph de Mont-Laurier, la Faculté d'administration et de commerce de l'Université Laval (1959 à 1962), et l'École pratique des hautes études à Paris (1964 à 1966). Titulaire d'un diplôme de comptable agréé et d'une maîtrise en sciences commerciales de l'Université Laval, il agit à titre de vérificateur à la firme comptable Clarkson, Gordon and Company de Montréal (1962 à 1964). Il devient professeur à l'École des hautes études commerciales (HEC) de Montréal (1966 et 1967) et à l'université du Rwanda (1967 et 1968). Il occupe, à l'Université de Montréal (1968 à 1976), les postes de directeur-adjoint du Service des budgets, d'adjoint au vice-recteur à la recherche et vice-doyen à l'Éducation permanente. Dans une autre sphère d'activité, il travaille à titre de conseiller technique de la Coopération d'exploitation des Hautes-Laurentides tout en étant propriétaire d'une ferme à Saint-Jovite. Président du Parti québécois dans le comté de Labelle de 1970 à 1972, il en devient également le contrôleur national. Candidat défait du Parti québécois dans le comté de Labelle en 1970 puis dans Laurentides-Labelle en 1973, il y est finalement élu en 1976 et réélu en 1981. Assermenté à titre de membre du Conseil exécutif, le 26 novembre 1976, il est ministre d'État à l'Aménagement dans le cabinet Lévesque (2 février 1977 au 6 novembre 1980). Ministre des Affaires municipales (6 novembre 1980 au 5 mars 1984), il se dévoue par la suite au ministère des Transports (5 mars au 22 novembre 1984) jusqu'à sa démission du cabinet. Enfin, il siège à titre de député indépendant (27 novembre 1984 au 23 mai 1985). Par la suite, il devient doyen de la Faculté d'éducation permanente de l'Université de Montréal (1985 à 1989). Il est également membre du conseil d'administration et du bureau de direction de la Financière Entraide, Coopérants. Élu de nouveau député du Parti québécois dans Labelle le 25 novembre 1989, il est réélu le 12 septembre 1994. Il devient ministre des Transports (26 septembre 1994 au 3 novembre 1995), vice-président du Conseil du trésor (26 septembre 1994 au 3 novembre 1995), ministre délégué à l'Administration et à la Fonction publique, président du Conseil du trésor et membre du Comité des priorités (3 novembre 1995 au 15 décembre 1998). Il est réélu député de Labelle le 30 novembre 1998. À compter du 15 décembre 1998, il est nommé ministre d'État et ministre délégué à l'Administration et à la Fonction publique, président du Conseil du trésor, membre du Comité des priorités, membre du Comité ministériel des affaires régionales et territoriales, ministre responsable de la région des Laurentides. Le 21 avril 1999, il devient membre du Comité ministériel de la région de Montréal et, enfin, membre de la Commission spéciale sur le nouveau cadre de gestion pour la Fonction publique (17 juin au 20 octobre 1999). Sources : "Dictionnaire des parlementaires du Québec 1792-1992", P.U.L., Sainte-Foy, 1993, p. 465. Site Internet du gouvernement du Québec

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Administrative history

Le 4 octobre 1967, le Congrès libéral rejette le manifeste "Un Québec souverain" dans une nouvelle union canadienne et René Lévesque quitte le parti. En novembre de la même année, le Mouvement souveraineté-association est créé et, fin décembre, débute une série de négociations entre le Mouvement souveraineté-association (MSA), le Ralliement national (RN) et le Rassemblement pour l'indépendance nationale (RIN) en vue d'une éventuelle fusion. En octobre 1968, dans la ville de Québec, 1 000 délégués se rassemblent et fondent le Parti québécois, adoptent son programme de base, de même que ses statuts officiels et choisissent le premier Conseil exécutif, formé, entre autres, de René Lévesque, président, et de Gilles Grégoire, vice-président. Le 26 octobre, le Rassemblement pour l'indépendance nationale se dissout et plusieurs de ses membres joignent les rangs du Parti québécois. Les statuts du Parti québécois sont adoptés par le Congrès, alors que, les règlements le sont, par le Conseil national. Les buts du Parti québécois sont d'amener la société québécoise à la souveraineté politique et à l'association économique avec le reste du Canada. Avec le Parti québécois, le Québec doit devenir une république dotée d'un régime présidentiel et d'un système parlementaire comportant responsabilité ministérielle et premier ministre. Aux élections générales du 29 avril 1970, le Parti québécois obtient 24% du vote national, soit l'appui de 660 404 électeurs. Le Parti obtient sept sièges à l'Assemblée nationale. Aux élections générales du 29 octobre 1973, le Parti québécois devient l'opposition officielle avec six députés, mais 30% du vote. Aux élections générales du 15 novembre 1976, le Parti québécois obtient 41% des suffrages. À ce moment, 155 000 personnes sont membres du Parti. Le Parti prend le pouvoir avec un total de 71 députés. Aux élections de 1981, le Parti québécois est reporté au pouvoir pour un deuxième mandat en obtenant 49% de la faveur populaire et recueillant 80 députés. Aux élections de 1985, le Parti libéral reprend le pouvoir reléguant le Parti québécois dans l'opposition. À cette élection, le Parti québécois obtient 38% du vote et fait élire 23 députés

Custodial history

Scope and content

Cette sous-série contient des documents concernant la gestion du bureau de comté, entre autres les baux de location des locaux, les ressources matérielles, les contrats de service, les ressources humaines, les registres d'assiduité, les stages du personnel à l'Assemblée nationale, les cas de comté (correspondance), les frais de déplacements et la comptabilité (ressources financières). Nous y retrouvons également des notes biographiques, des coupures de presse, des textes de discours et de conférences de presse ainsi que des agendas de Monsieur Léonard. Elle traite aussi des dossiers régionaux, des perspectives référendaires, des programmes gouvernementaux, des études gouvernementales, des tournées du député et de monsieur André Boisclair, du réseau de la Santé, de la Commission scolaire des Laurentides, du Chantier jeunesse du ministère des Affaires municipales, de la Commission de la construction du Québec, du rapatriement de la constitution, de l'option constitutionnelle du Parti libéal, de l'Office de planification et de développement du Québec, du caucus des députés des Laurentides, de la politique de soutien au développement local et régional, des tournées de Lucien Bouchard, de la réforme parlementaire, de la Régie de l'Énergie, d'Hydro-Québec, des CLSC, de la Corporation de développement des Laurentides, des élections, de la Commission Bélanger-Campeau, de la réforme électorale, de l'assainissement des eaux, du Comité national du OUI et du soutien à l'action bénévole. Les programmes, statuts, 5e, 13e et 14e congrès nationaux du Parti québécois complètent le tout

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