Cette pièce décrit une scène de ménage ou la dame corpulente et forte frappe son maigrichon de mari avec un rouleau à pâte pendant que leur fille essaye d’écouter la radio, [194-]

Cette pièce montre un monsieur un peu affolé qui est passionnément embrassée par une dame d’origine hispanique, [194-]

Cette pièce nous montre deux manœuvres qui regardent passer un train. A la fenêtre, l’animateur de radio lit ses nouvelles pendant que le technicien du son court sur le quai en tenant le micro, [194-]

Cette pièce décrit une salle de spectacle dans laquelle un chanteur fait son tour de chants accompagné par un orchestre symphonique. Un monsieur se penche vers sa compagne pour commenter, [194-]

Cette pièce nous montre une dame qui dit aux trois policiers venus arrêter Tony de revenir plus tard. Celui-ci est occupé à écouter la prière du matin, [194-]

Cette pièce se passe dans une salle à manger élégante. L’hôtesse, en robe de soirée et diadème, commente les habitudes de son mari. Celui-ci, en tenu de soirée également, est assis par terre près de la radio, [194-]

Ce dessin décrit une femme de chambre qui répond à la porte d’un appartement. Ses patrons sont au garde-à-vous devant la radio, [1949?]

Cette pièce décrit un salon où un monsieur est monté sur une table. Il a un oreiller sur la poitrine et est revêtu d’un long morceau de tissu fleuri. Sa femme est penchée et prend la mesure de ce qui sera sa nouvelle robe, [194-]

Cette pièce montre, sur une plage, un sauveteur qui vient de repêcher un monsieur qui vient de se suicider. Sa femme commente l’événement, [194-]

Ce dessin représente un monsieur qui vient de se suicider devant le poste de radio. Près de lui, se retrouvent un policier, un autre homme, son enfant et une dame. Celle-ci de s’écrier au policier : "C'est pas drôle pour un père de huit enfants que de perdre cent-quatre-vingt-dix piastres...La plus haute somme que "Ferblantine" ait payée cette année!", [194-]