Photographies du montage d'un décor

Photographies d'un décor de salle à manger. Photographies de Mme Paquette

Le fonds illustre l'ensemble des activités de la troupe durant les dix ans de son existence. On y retroupe l'ensemble des documents d'exploitation : textes des pièces présentées, correspondance avec les auteurs, programmes, critiques, affiches, billets, esquisses pour dessins et décors, photographies et enregistrements de chaque pièce

Les documents qui forment ce fonds sont des diapositives et des maquettes de costumes et de décors conçus pour l'opéra et le théâtre (particulièrement le Théâtre du Nouveau monde). Il est intéressant de noter que Robert Prévost est considéré comme un précurseur en ces matières et que son oeuvre compte parmi les plus importantes

Cette vidéo débute sur une brève entrevue avec Paul-André Fortier où il mentionne qu’il s’agit d’une reprise de la chorégraphie «Derrière la porte un mur », un duo créé pour la première fois en 1978. Il avait collaboré à l’époque avec l’artiste visuelle Françoise Sullivan pour la conception des décors. Sculpteure et chorégraphe, cette artiste fut signataire du manifeste du Refus global dans les années 40. Ce fut pour le chorégraphe son premier contact avec l’Art conceptuel. Par ailleurs, Fortier se dit plus influencé par la littérature que par l’univers de la danse. Ses chorégraphies adoptent le rythme de la langue écrite. Elles empruntent souvent les structures de la phrase écrite plus que celles du mouvement dansé. Il dit penser plus avec des mots qu’avec des mouvements. L'entrevue est suivie par la reprise du duo «Derrière la porte un mur », produit par la compagnie Montréal Danse à l’Agora de la danse du 25 au 29 février 1992. Nous apercevons les deux interprètes, un homme et une femme vêtus de blanc exécutant ce duo devant un faux mur blanc, sur une musique de Zoltan Kodaly. Le décor est de Françoise Sullivan

ll s’agit d’une reprise de l’œuvre solo créée en 1982 pour la danseuse torontoise Susan Macpherson, sur le thème de l’enfermement. Cet enregistrement vidéo portant l’inscription « In Progress » fut réalisé par John Faichney. Il est divisé en séquences numérotées de un à quatre. Le décor est sensiblement différent de celui d’origine : un plan d’eau bordé d’un mur de brique grise où Susan Macpherson évolue en reprenant les mêmes séquences de mouvements au ralenti qu’à l’origine. Les prises de vues du montage intègrent des plans d’ensemble et des gros plans sur les pieds de l’artiste, ses jambes, ses mains enchaînées portant des poids et son visage aux yeux masqués. Quelques effets visuels furent ajoutés au montage. La fiche technique de ce montage vidéo est la suivante : Chorégraphe : Paul-André Fortier Réalisation : John Faichney Interprète : Susan Macperson Costume : Susan Macperson

Ce dossier renferme le texte de présentation d'un projet de spectacle soumis par Paul-André Fortier au Centre d'essai Le Conventum, rue Sanguinet à Montréal. Il s'agit de la chorégraphie « Parlez-moi du cul de mon enfance » créée en novembre 1979. L'artiste fait un descriptif court de l'oeuvre, des décors, et en dresse la fiche technique. La scénographie est de Roseline Chartrain, l'éclairage de Trevor Parsons, le mise en scène et la conception de Paul-André Fortier. Quatre personnages interagissent : un homme et une femme immobiles, une femme en mouvement et un comédien ou homme parole. Le dossier comprend le texte manuscrit de 13 pages lues par le comédien avec de nombreuses annotations au crayon rouge en marge du texte, spécifiant les interactions, expressions et mouvement des danseurs, dont notamment Paul-André Fortier et Michèle Febvre

Ce dossier regroupe quelques esquisse de la scénographie de la chorégraphie « Fin » de Paul-André Fortier

Ce dossier contient une lettre de remerciement adressée à René Petit par la directrice des Grands Ballets canadiens, Madame Ludmilla Chiriaeff, pour la réalisation des décors de la chorégraphie «Pierrot de la lune », présentée en 1963 sur la scène de la Place des Arts. Elle lui fait part de sa vaolonté de poursuivre cette heureuse collaboration avec l'artiste

Ce dossier regroupe trois lettres échangées entre René Petit et la Société Radio-Canada, dont une lettre de démission datée du 25 janvier 1966. René Petit quitte son poste de chef décorateur pour prendre la direction du département de décoration d'une entreprise de design montréalaise, connue sous l'appelation de Hicks Design