File D1503 - Documents divers concernant James Murray

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Documents divers concernant James Murray

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CA QUEBEC P1000-S3-D1503

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  • 1760-1766 (Creation)

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James Murray, officier et administrateur colonial, né le 21 janvier 1721/1722 à Ballencrieff (Lothian, Écosse), propriété de la famille Murray, cinquième fils et quatorzième enfant d’Alexander Murray, 4e baron Elibank, et d’Elizabeth Stirling ; il épousa le 17 décembre 1748 Cordelia Collier, décédée le 26 juin 1779, et, en secondes noces, le 14 mars 1780, à Minorque, Anne Witham (Whitham), décédée le 2 août 1784 (quatre des six enfants de ce mariage parvinrent à l’âge adulte) ; décédé le 18 juin 1794 à Beauport House, près de Battle, dans le Sussex, en Angleterre. Le 6 décembre 1736, frais émoulu de l’école de William Dyce, à Selkirk, James Murray s’enrôla à titre de cadet dans le régiment de Colyear, qui faisait partie de la brigade écossaise au sein de l’armée hollandaise, alors stationnée à Ypres (Belgique). En février 1739/1740, il se joignit à l’armée britannique comme lieutenant en second du 4e Marines (Wynyard’s), mais en novembre 1741 il fut muté, avec le grade de capitaine, au 15e d’infanterie, au sein duquel il devait rester jusqu’en 1759. En janvier 1749/1750, il acheta le grade de major et, l’année suivante, celui de lieutenant-colonel de son régiment. À partir d’octobre 1759, il commanda, avec le grade de colonel, le 2e bataillon des Royal Americans (60e d’infanterie), et, en juillet 1762, il fut promu major général. Nommé gouverneur de la garnison de Québec le 12 octobre 1759, il devint gouverneur du district de Québec le 27 octobre 1760 et gouverneur de toute la province le 21 novembre 1763. Au cours de ses années dans la carrière des armes, Murray se retrouva souvent en campagne. De novembre 1740 à décembre 1742, il séjourna aux Antilles, où il participa à l’attaque contre Cartagena (Colombie) et aux opérations de Cuba ; de juillet à octobre 1745, il combattit en Flandre et reçut de sérieuses blessures lors de la défense d’Ostende (Belgique), et, en septembre 1746, il participa à l’expédition contre Lorient. Pendant la guerre de Sept Ans, il prit part, en septembre 1757, avec le 15e à l’offensive contre Rochefort, en France, et de 1758 à 1760 il servit en Amérique du Nord. Il combattit sous les ordres de Wolfe au siège de Louisbourg, île Royale (île du Cap-Breton), en 1758, et l’année suivante, au siège de Québec, il commanda, sur les plaines d’Abraham, l’aile gauche de l’armée en formation de combat. En charge de Québec pendant l’hiver de 1759–1760, il dut se replier à l’intérieur des fortifications après la bataille de Sainte-Foy, le 28 avril 1760 ; toutefois, il s’arrangea pour tenir la ville jusqu’à l’arrivée d’une escadre britannique en mai [V. Robert Swanton]. Le mois suivant, il entreprit de remonter le Saint-Laurent pour rallier William Haviland et Amherst et forcer Montréal à capituler en septembre. Sa défense de Québec donna lieu à des débats. Manquant de fonds suffisants, mal approvisionné en combustible et en vivres frais, disposant d’une garnison d’environ 6 000 hommes prêts au combat, mais que la maladie avait réduite à moins de 4 000 au cours de l’hiver, quand il dut faire face à la fin d’avril à une armée presque deux fois plus nombreuse que la sienne, il décida, à sa manière caractéristique, de passer à l’attaque. La bataille qui s’ensuivit a généralement été considérée comme une défaite pour les Britanniques, bien que cette fois encore Murray défendît non seulement sa conduite mais sa décision même de livrer bataille. Quoi qu’il en soit, et d’un point de vue stratégique, les jugements portés varient beaucoup. Notamment, on a affirmé que les pertes subies par Murray eussent pu inciter Lévis à attaquer la ville si la flotte britannique n’était point arrivée à temps. On a également acquis la conviction que l’officier français n’aurait pas couru le risque d’attaquer à moins que la flotte française ne fût arrivée la première. Enfin, on a aussi soutenu que Lévis étant trop affaibli pour pouvoir empêcher l’avance de Murray, la bataille de Sainte-Foy joua ainsi un rôle déterminant dans la conquête du Canada. Référence complète: Dictionnaire biographique du Canada

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Ce dossier contient les documents suivants: copie dactylographiée d'une lettre circulaire de Murray aux capitaines de milice, 1760. Copie dactylographiée d'une lettre de Murray à Lord Egremont, secrétaire d'Etat aux Colonies, 1762. Procuration en blanc du sieur André Bouchaud à Henry Maurin [Morin] de Québec: nombreuses signatures et cachet du général Sir James Murray (1719-1794), 1763. Photostat et copie dactylographiée d'une lettre de Murray à sa femme Delia, 1763. Fac-similé d'une lettre de Murray à son secrétaire, 1764. Copie manuscrite d'une attestation par Adam Mabane que Nicolas du Flan a été élu tuteur des enfants mineurs Duval: signature et cachet de Murray, 1766. Obligation de Malcolm Fraser à James Murray: sur le même document, reçu donné à Fraser par Adam Mabane, 1766. Imprimé d'une ordonnance de Murray sur l'entretien des chemins, 1766. Signature de Murray, 1766, grand format

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