Ce fonds témoigne essentiellement des échanges épiscolaires entre madame Sophie Bureau Lajoie et son fils, François Lajoie, entre 1901 et 1910, alors qu'il était étudiant à Montréal. Ces lettres témoignent aussi des membres de la famille Lajoie et d'événements à Trois-Rivières, comme la variole, la reconstruction de la ville après l'incendie de 1908, le patinoir (sic) Laviolette, etc. Le fonds témoigne également d'une demande d'aide financière par les religieuses Carmélites de Trois-Rivières pour la construction d'une chapelle en leur monastère, du passage de François Lajoie en Angleterre, des Patriotes exilés aux Bermudes, des deux grandes guerres, d'enterrements de vie de garçons et de nombreuses occasions où Monsieur François Lajoie a pris la parole pour appuyer un candidat libéral lors d'élections fédérales et provinciales. Finalement, ce fonds témoigne aussi de causeries prononcées lors de dîners et de banquets organisés par la Chambre de commerce de Trois-Rivières. Les documents de ce fonds sont des lettres, le journal l'Ère Nouvelle, deux photographies représentant Madame Sophie Bureau-Lajoie, deux photographies représentant Napoléon Lajoie et une autre présentant les portraits de Patriotes exilés aux Bermudes, un sermon, des cartes d'invitation, des factures, des résolutions, des listes, une garantie, des avis, des télégrammes, des textes de discours, d'allocutions et de causeries.