Zone du titre et de la mention de responsabilité
Titre propre
Fonds Aline Desjardins
Dénomination générale des documents
Titre parallèle
Compléments du titre
Mentions de responsabilité du titre
Notes du titre
Niveau de description
Fonds
Dépôt
Cote
Zone de l'édition
Mention d'édition
Mentions de responsabilité relatives à l'édition
Zone des précisions relatives à la catégorie de documents
Mention d'échelle (cartographique)
Mention de projection (cartographique)
Mention des coordonnées (cartographiques)
Mention d'échelle (architecturale)
Juridiction responsable et dénomination (philatélique)
Zone des dates de production
Date(s)
-
1958 - 1993 (Production)
Zone de description matérielle
Description matérielle
30 cm de documents textuels et photographies.
Zone de la collection
Titre propre de la collection
Titres parallèles de la collection
Compléments du titre de la collection
Mention de responsabilité relative à la collection
Numérotation à l'intérieur de la collection
Note sur la collection
Zone de la description archivistique
Nom du producteur
Notice biographique
L'ACPAV est née le 18 janvier 1971 à l'initiative de onze cinéastes, dans « le but de faciliter et de promouvoir la conception et la production de films de court et de long métrage et autres oeuvres audiovisuelles par des jeunes artistes québécois ». L'association fourni une aide technique et administrative à plusieurs cinéastes indépendants dont Alain Chartrand, Roger Frappier, André Forcier et Jean-guy Noël. En 1972, Mireille Dansereau y tourne "La vie rêvée", le premier long métrage de fiction réalisé par une femme dans l'industrie privée au Québec. À partir de 1973, la formule de gestion coopérative est redéfinie : « L'ACPAV est un groupe de cinéastes et d'artisans qui se donnent ensemble les moyens de production afin d'organiser, produire, distribuer, mettre en marché toute production audiovisuelle pour ses membres et pour d'autres et considèrent le cinéma comme une industrie, un lieu de production culturelle et un moyen de communication de masse. » L'ACPAV rompt ainsi avec l'idée d'être une maison de service et adhère à l'Association des producteurs de films du Québec (A.P.F.Q.). L'ACPAV se différencie des autres maison de production parce qu'elle ne vise pas le profit. Elle doit néanmoins s'autofinancer et les artisans de la coopérative investissent une partie de leur salaire, à perte ou en différé, pour la production d'une oeuvre. Sa position déjà précaire au sein de l'A.P.F.Q. se détériore en 1976, alors qu'elle s'en dissocie pour appuyer les techniciens du CSN dans leur négociation avec les producteurs. Au début des années 80, l'ACPAV organise des ateliers de scénarisation et, plus tard, de direction d'acteurs. Au cours de cette décennie, la coopérative s'oriente vers le long métrage, quelques films sortis en salle commerciale redorent son image, et à partir de la fin des années 80, elle parvient à produire des longs métrages dont les budgets se rapprochent des standards de l'industrie. Dans les années 90, l'ACPAV retourne au court métrage et au film documentaire en plus de continuer sa production de longs métrages. L'ACPAV est aujourd'hui toujours en activité et poursuit encore ses mêmes objectifs. Bibliographie : « L'Association coopérative de productions audio-visuelles. Première décade », "Copie Zéro", Cinémathèque québécoise, No 8 (1981), 46p. COULOMBE, Michel et JEAN, Marcel (sous la direction de), "Le dictionnaire du cinéma québécois", Les éditions du Boréal, Montréal, 1999.
Nom du producteur
Notice biographique
C'est à l'époque du grand bouillonnement culturel québécois qu'Aline Desjardins a fait ses débuts dans le domaine des médias. Elle travaille d'abord à la radio de Sherbrooke pendant six ans. Puis, au milieu des années 60, elle entre à la télévision de Radio-Canada à Montréal, afin de remplacer Michèle Tisseyre qui animait l'émission «Aujourd'hui» aux côtés de Wilfrid Lemoyne. On lui propose ensuite de prendre la relève de Lizette Gervais et d'animer l'émission quotidienne «Femmes d'aujourd'hui» qui gardera l'affiche pendant 13 ans, de 1964 à 1977. Elle a par la suite animé des émissions tel que « Avis de recherche », en compagnie de Gaston L'Heureux, « D'un soleil à l'autre » et finalement « Des jardins d'aujourd'hui », une émission concernant le jardinage. La notoriété acquise au cours de cette carrière lui a valu notamment certains titres honorifiques dont celui de Femme de l'année, ainsi qu'un hommage aux femmes de chez-nous organisé par Eaton.
Historique de la conservation
Aline Desjardins a fait don de ses archives le 27 avril 2000.
Portée et contenu
Le fonds est constitué de plusieurs documents qui témoignent des activités professionnelles de la donatrice. On y retrouve notamment des coupures de presse et photographies portant sur les émissions télévisées "Femmes d'aujourd'hui" et "Avis de recherche", ainsi que sur ses débuts radiophoniques sur les ondes de CHLT-Sherbrooke.
Zone des notes
État de conservation
Source immédiate d'acquisition
Classement
Langue des documents
Écriture des documents
Localisation des originaux
Disponibilité d'autres formats
Restrictions d'accès
Délais d'utilisation, de reproduction et de publication
Instruments de recherche
Inventaire raisonné établi par l'archiviste. Disponible à la médiathèque Guy L. Coté
Éléments associés
Accroissements
Identifiant(s) alternatif(s)
Zone du numéro normalisé
Numéro normalisé
Mots-clés
Mots-clés - Sujets
Mots-clés - Lieux
Mots-clés - Noms
Mots-clés - Genre
Zone du contrôle
Identifiant de la description du document
Identifiant du service d'archives
Règles ou conventions
Statut
Niveau de détail
Dates de production, de révision et de suppression
2015-03-30
Langue de la description
- français