Zone du titre et de la mention de responsabilité
Titre propre
Fonds Claude Gagnon
Dénomination générale des documents
Titre parallèle
Compléments du titre
Mentions de responsabilité du titre
Notes du titre
Niveau de description
Fonds
Dépôt
Cote
Zone de l'édition
Mention d'édition
Mentions de responsabilité relatives à l'édition
Zone des précisions relatives à la catégorie de documents
Mention d'échelle (cartographique)
Mention de projection (cartographique)
Mention des coordonnées (cartographiques)
Mention d'échelle (architecturale)
Juridiction responsable et dénomination (philatélique)
Zone des dates de production
Date(s)
-
1978 - 1991 (Production)
Zone de description matérielle
Description matérielle
120 m de documents textuels.
Zone de la collection
Titre propre de la collection
Titres parallèles de la collection
Compléments du titre de la collection
Mention de responsabilité relative à la collection
Numérotation à l'intérieur de la collection
Note sur la collection
Zone de la description archivistique
Nom du producteur
Notice biographique
L'ACPAV est née le 18 janvier 1971 à l'initiative de onze cinéastes, dans « le but de faciliter et de promouvoir la conception et la production de films de court et de long métrage et autres oeuvres audiovisuelles par des jeunes artistes québécois ». L'association fourni une aide technique et administrative à plusieurs cinéastes indépendants dont Alain Chartrand, Roger Frappier, André Forcier et Jean-guy Noël. En 1972, Mireille Dansereau y tourne "La vie rêvée", le premier long métrage de fiction réalisé par une femme dans l'industrie privée au Québec. À partir de 1973, la formule de gestion coopérative est redéfinie : « L'ACPAV est un groupe de cinéastes et d'artisans qui se donnent ensemble les moyens de production afin d'organiser, produire, distribuer, mettre en marché toute production audiovisuelle pour ses membres et pour d'autres et considèrent le cinéma comme une industrie, un lieu de production culturelle et un moyen de communication de masse. » L'ACPAV rompt ainsi avec l'idée d'être une maison de service et adhère à l'Association des producteurs de films du Québec (A.P.F.Q.). L'ACPAV se différencie des autres maison de production parce qu'elle ne vise pas le profit. Elle doit néanmoins s'autofinancer et les artisans de la coopérative investissent une partie de leur salaire, à perte ou en différé, pour la production d'une oeuvre. Sa position déjà précaire au sein de l'A.P.F.Q. se détériore en 1976, alors qu'elle s'en dissocie pour appuyer les techniciens du CSN dans leur négociation avec les producteurs. Au début des années 80, l'ACPAV organise des ateliers de scénarisation et, plus tard, de direction d'acteurs. Au cours de cette décennie, la coopérative s'oriente vers le long métrage, quelques films sortis en salle commerciale redorent son image, et à partir de la fin des années 80, elle parvient à produire des longs métrages dont les budgets se rapprochent des standards de l'industrie. Dans les années 90, l'ACPAV retourne au court métrage et au film documentaire en plus de continuer sa production de longs métrages. L'ACPAV est aujourd'hui toujours en activité et poursuit encore ses mêmes objectifs. Bibliographie : « L'Association coopérative de productions audio-visuelles. Première décade », "Copie Zéro", Cinémathèque québécoise, No 8 (1981), 46p. COULOMBE, Michel et JEAN, Marcel (sous la direction de), "Le dictionnaire du cinéma québécois", Les éditions du Boréal, Montréal, 1999.
Nom du producteur
Notice biographique
Claude Gagnon est né à St-Hyacinthe en 1949. Il se rend au Japon en 1970 et y exerce de nombreux métiers, dont professeur de français et acteur dans des films de série B, avant d'aborder la réalisation en 1974 avec un documentaire intitulé "Essai filmique sur musique japonaise". En 1978, il réalise son premier film de fiction, "Keiko", dont il en est également le scénariste, le monteur et le producteur. De retour au Québec, il est consacré comme auteur avec "Larose, Pierrot et la Luce" (1982) et "Visage pâle" (1985), mais ces films ne l'impose pas auprès du public. Il connaîtra son premier succès commercial au Québec avec The "Kid Brother" (1987), grâce auquel il remporte le Grand Prix des Amériques au FFM. Claude Gagnon vise plus que jamais le marché international avec "The Pianist" (1991), une adaptation du roman "A Certain Mister Takahashi" d'Ann Ireland, et "Pour l'amour de Thomas" (1994), un téléfilm destiné au marché français. Aussi distributeur, Gagnon est le premier à ouvrir le marché japonais au cinéma québécois. Claude Gagnon et sa femme Yuri Yoshimura sont également propriétaires de la compagnie de production Aska Film. Bibliographie : COULOMBE, Michel et JEAN, Marcel (sous la direction de), "Le dictionnaire du cinéma québécois", Les éditions du Boréal, Montréal, 1999.
Historique de la conservation
Claude Gagnon a donné ses archives en 1983, 1986, 1987, 1989, 1992, 1993, 1997, 1999 et 2001.
Portée et contenu
Le fonds comprend des scénarios, dont ceux de "Larose, Pierrot et la Luce" (1982), "L'annonce faite à Marie" (1991) et "Erreur sur la personne" (1995). Il est surtout constitué de matériel sur les films produits par Aska Film, ainsi que sur plusieurs films distribués par Aska. Le fonds comprend également du matériel administratif de la compagnie Aska Film, une visionneuse portative 16mm Shinko ainsi que différents objets ayant servi aux tournages de films.
Zone des notes
État de conservation
Source immédiate d'acquisition
Classement
Langue des documents
Écriture des documents
Localisation des originaux
Disponibilité d'autres formats
Restrictions d'accès
Délais d'utilisation, de reproduction et de publication
Instruments de recherche
Inventaire sommaire établi par l'archiviste. Une partie du fonds est cataloguée.
Éléments associés
Accroissements
Identifiant(s) alternatif(s)
Zone du numéro normalisé
Numéro normalisé
Mots-clés
Mots-clés - Sujets
Mots-clés - Lieux
Mots-clés - Noms
Mots-clés - Genre
Zone du contrôle
Identifiant de la description du document
Identifiant du service d'archives
Règles ou conventions
Statut
Niveau de détail
Dates de production, de révision et de suppression
2015-03-30
Langue de la description
- français