Zone du titre et de la mention de responsabilité
Titre propre
Fonds Conseil québécois pour la diffusion du cinéma (CQDC)
Dénomination générale des documents
Titre parallèle
Compléments du titre
Mentions de responsabilité du titre
Notes du titre
Niveau de description
Fonds
Dépôt
Cote
Zone de l'édition
Mention d'édition
Mentions de responsabilité relatives à l'édition
Zone des précisions relatives à la catégorie de documents
Mention d'échelle (cartographique)
Mention de projection (cartographique)
Mention des coordonnées (cartographiques)
Mention d'échelle (architecturale)
Juridiction responsable et dénomination (philatélique)
Zone des dates de production
Date(s)
-
1961 - 1978 (Production)
Zone de description matérielle
Description matérielle
3,3 m de documents textuels répartis en 719 dossiers.
Zone de la collection
Titre propre de la collection
Titres parallèles de la collection
Compléments du titre de la collection
Mention de responsabilité relative à la collection
Numérotation à l'intérieur de la collection
Note sur la collection
Zone de la description archivistique
Nom du producteur
Notice biographique
L'ACPAV est née le 18 janvier 1971 à l'initiative de onze cinéastes, dans « le but de faciliter et de promouvoir la conception et la production de films de court et de long métrage et autres oeuvres audiovisuelles par des jeunes artistes québécois ». L'association fourni une aide technique et administrative à plusieurs cinéastes indépendants dont Alain Chartrand, Roger Frappier, André Forcier et Jean-guy Noël. En 1972, Mireille Dansereau y tourne "La vie rêvée", le premier long métrage de fiction réalisé par une femme dans l'industrie privée au Québec. À partir de 1973, la formule de gestion coopérative est redéfinie : « L'ACPAV est un groupe de cinéastes et d'artisans qui se donnent ensemble les moyens de production afin d'organiser, produire, distribuer, mettre en marché toute production audiovisuelle pour ses membres et pour d'autres et considèrent le cinéma comme une industrie, un lieu de production culturelle et un moyen de communication de masse. » L'ACPAV rompt ainsi avec l'idée d'être une maison de service et adhère à l'Association des producteurs de films du Québec (A.P.F.Q.). L'ACPAV se différencie des autres maison de production parce qu'elle ne vise pas le profit. Elle doit néanmoins s'autofinancer et les artisans de la coopérative investissent une partie de leur salaire, à perte ou en différé, pour la production d'une oeuvre. Sa position déjà précaire au sein de l'A.P.F.Q. se détériore en 1976, alors qu'elle s'en dissocie pour appuyer les techniciens du CSN dans leur négociation avec les producteurs. Au début des années 80, l'ACPAV organise des ateliers de scénarisation et, plus tard, de direction d'acteurs. Au cours de cette décennie, la coopérative s'oriente vers le long métrage, quelques films sortis en salle commerciale redorent son image, et à partir de la fin des années 80, elle parvient à produire des longs métrages dont les budgets se rapprochent des standards de l'industrie. Dans les années 90, l'ACPAV retourne au court métrage et au film documentaire en plus de continuer sa production de longs métrages. L'ACPAV est aujourd'hui toujours en activité et poursuit encore ses mêmes objectifs. Bibliographie : « L'Association coopérative de productions audio-visuelles. Première décade », "Copie Zéro", Cinémathèque québécoise, No 8 (1981), 46p. COULOMBE, Michel et JEAN, Marcel (sous la direction de), "Le dictionnaire du cinéma québécois", Les éditions du Boréal, Montréal, 1999.
Nom du producteur
Notice biographique
Le Conseil québécois pour la diffusion du cinéma (C.Q.D.C.) est un organisme sans but lucratif, financé par le ministère des Affaires culturelles et administré par les professionnels du cinéma. Le CQDC est créé en janvier 1969, à la demande des associations professionnelles réunies lors du premier Congrès du cinéma québécois. Le Conseil a pour mandat d'assurer la promotion, la diffusion et le rayonnement du cinéma québécois tant au Québec qu'à l'étranger. Ses activités multiples comprennent des lancements en salles commerciales, l'organisation de diverses manifestations (soirées-rencontres de cinéma québécois, tournées de diffusion en régions), la promotion des films québécois lors des manifestations cinématographiques et des festivals étrangers, ainsi que la publication de textes (répertoire de longs métrages, cinéfiches, monographies) consacrés aux cinéastes et aux films d'ici. Le CQDC a largement contribué à faire connaître et apprécier le cinéma québécois par le public, tout en cherchant à développer le sens critique des cinéphiles. Des conflits de personnalités, des différences d'interprétation quant à son mandat, et la situation nouvelle découlant de l'adoption de la Loi sur le cinéma, en 1975, se sont conjugués pour entraîner sa disparition en mai 1976. Robert Daudelin (1969-1971) et Lucien Hamelin (1971-1976) en ont été les directeurs. Bibliographie : COULOMBE, Michel et JEAN, Marcel ( sous la direction de ), "Le dictionnaire du cinéma québécois", Les éditions du Boréal, Montréal, 1999.
Historique de la conservation
Les mandataires du C.Q.D.C. ont fait don de ce fonds en 1980.
Portée et contenu
Le fonds est constitué de six séries dont quatre subdivisions générales (1/ Affaires administratives, 2/ Structure organisationnelle, 3/ Ressources financières, 4/ Ressources humaines) et deux subdivisions spécifiques (5/ Diffusion au Québec et au Canada, 6/ Diffusion à l'étranger). Il contient des dossiers relatifs aux modes de diffusion, de la correspondance reçue et échangée entre le C.Q.D.C. et divers organismes à travers le Québec ou à l'étranger ; des dossiers sur les films inscrits au répertoire du C.Q.D.C. et des rapports. Il comprend aussi des dossiers sur des festivals et événements organisés ou parrainés par le C.Q.D.C. Enfin, certains dossiers contiennent des cahiers de projet. Ceux-ci se rattachent aux activités de publication de répertoires et de monographies sur les cinéastes ou à l'organisation d'événements thématiques sur le cinéma québécois. Parmi ces documents, certains sont relatifs aux films suivants : "Où êtes-vous donc ?" (Gilles Groulx, 1969), "La vraie nature de Bernadette" et "La mort d'un bûcheron" (Gilles Carle, 1972 et 1973), "La maudite galette" (Denys Arcand, 1972), "Le martien de Noël" (Bernard Gosselin, 1971), "Les dernières fiançailles" et "On n'engraisse pas les cochons à l'eau claire" (Jean Pierre Lefebvre, 1973), "Faut aller parmi l'monde pour le savoir" (Fernand Dansereau, 1971), "Jeunesse année zéro" (Louis Portugais, 1964), "Le retour de l'Immaculée Conception" (André Forcier, 1971), "Quelques arpents de neige" (Denis Héroux, 1972), "À soir, on fait peur au monde" (François Brault, 1969), "Guitare" (Richard Lavoie, 1974), "Les ordres" (Michel Brault, 1974), "Tu brûles tu brûles" (Jean-Guy Noël, 1973), etc. Dans les régions, il y a eu plusieurs tournées qui ont eu lieu dans les endroits suivants : Trois-Rivières, Rimouski, Valleyfield, Gatineau, Rouyn, Saint-Césaire, Abitibi, Jonquière, Lanaudière, Estrie, Saguenay Lac-Saint-Jean, Thetford Mines, Gaspé, Kamouraska, Rivière du Loup, Matane, Sept-Îles, Napierville, etc.
Zone des notes
État de conservation
Source immédiate d'acquisition
Classement
Langue des documents
Écriture des documents
Localisation des originaux
Disponibilité d'autres formats
Restrictions d'accès
Délais d'utilisation, de reproduction et de publication
Instruments de recherche
Inventaire détaillé et cadre de classification établis par l'archiviste. Disponibles à la Médiathèque Guy L. Coté.
Éléments associés
Accroissements
Identifiant(s) alternatif(s)
Zone du numéro normalisé
Numéro normalisé
Mots-clés
Mots-clés - Sujets
Mots-clés - Lieux
Mots-clés - Noms
Mots-clés - Genre
Zone du contrôle
Identifiant de la description du document
Identifiant du service d'archives
Règles ou conventions
Statut
Niveau de détail
Dates de production, de révision et de suppression
2015-03-30
Langue de la description
- français