Zone du titre et de la mention de responsabilité
Titre propre
Fonds Fernand Dansereau
Dénomination générale des documents
Titre parallèle
Compléments du titre
Mentions de responsabilité du titre
Notes du titre
Niveau de description
Fonds
Dépôt
Cote
Zone de l'édition
Mention d'édition
Mentions de responsabilité relatives à l'édition
Zone des précisions relatives à la catégorie de documents
Mention d'échelle (cartographique)
Mention de projection (cartographique)
Mention des coordonnées (cartographiques)
Mention d'échelle (architecturale)
Juridiction responsable et dénomination (philatélique)
Zone des dates de production
Date(s)
-
1963 - 1993 (Production)
Zone de description matérielle
Description matérielle
6 m de documents textuels.
Zone de la collection
Titre propre de la collection
Titres parallèles de la collection
Compléments du titre de la collection
Mention de responsabilité relative à la collection
Numérotation à l'intérieur de la collection
Note sur la collection
Zone de la description archivistique
Nom du producteur
Notice biographique
L'ACPAV est née le 18 janvier 1971 à l'initiative de onze cinéastes, dans « le but de faciliter et de promouvoir la conception et la production de films de court et de long métrage et autres oeuvres audiovisuelles par des jeunes artistes québécois ». L'association fourni une aide technique et administrative à plusieurs cinéastes indépendants dont Alain Chartrand, Roger Frappier, André Forcier et Jean-guy Noël. En 1972, Mireille Dansereau y tourne "La vie rêvée", le premier long métrage de fiction réalisé par une femme dans l'industrie privée au Québec. À partir de 1973, la formule de gestion coopérative est redéfinie : « L'ACPAV est un groupe de cinéastes et d'artisans qui se donnent ensemble les moyens de production afin d'organiser, produire, distribuer, mettre en marché toute production audiovisuelle pour ses membres et pour d'autres et considèrent le cinéma comme une industrie, un lieu de production culturelle et un moyen de communication de masse. » L'ACPAV rompt ainsi avec l'idée d'être une maison de service et adhère à l'Association des producteurs de films du Québec (A.P.F.Q.). L'ACPAV se différencie des autres maison de production parce qu'elle ne vise pas le profit. Elle doit néanmoins s'autofinancer et les artisans de la coopérative investissent une partie de leur salaire, à perte ou en différé, pour la production d'une oeuvre. Sa position déjà précaire au sein de l'A.P.F.Q. se détériore en 1976, alors qu'elle s'en dissocie pour appuyer les techniciens du CSN dans leur négociation avec les producteurs. Au début des années 80, l'ACPAV organise des ateliers de scénarisation et, plus tard, de direction d'acteurs. Au cours de cette décennie, la coopérative s'oriente vers le long métrage, quelques films sortis en salle commerciale redorent son image, et à partir de la fin des années 80, elle parvient à produire des longs métrages dont les budgets se rapprochent des standards de l'industrie. Dans les années 90, l'ACPAV retourne au court métrage et au film documentaire en plus de continuer sa production de longs métrages. L'ACPAV est aujourd'hui toujours en activité et poursuit encore ses mêmes objectifs. Bibliographie : « L'Association coopérative de productions audio-visuelles. Première décade », "Copie Zéro", Cinémathèque québécoise, No 8 (1981), 46p. COULOMBE, Michel et JEAN, Marcel (sous la direction de), "Le dictionnaire du cinéma québécois", Les éditions du Boréal, Montréal, 1999.
Nom du producteur
Notice biographique
Issu du journalisme, Fernand Dansereau exerce différentes activités dans le domaine cinématographique : scénarisation, réalisation, montage et production. Il commence sa carrière à l'ONF comme reporter-tv. En 1967, préoccupé par son idéal d'intervention sociale, il crée avec Robert Forget, le Groupe de recherches sociales. En 1970, il fonde In-Média, une compagnie privée et indépendante qui propose des sessions d'animation culturelle de tous genres. Fernand Dansereau conçoit le film comme outil d'intervention sociale mais refuse toute idéologie globalisante. Le changement viendra par la libération de l'imagination. Fernand Dansereau touche à la pellicule et à la vidéo, travaille aussi bien pour la télévision que pour le cinéma, filme documentaires et fictions et alterne les créations collectives et les uvres personnelles. Dans les années 80-90, il se tourne surtout vers la scénarisation pour la télévision. Fernand Dansereau est actif dans la création de l'Institut national de l'image et du son, dont il occupe la présidence de 1990 à 1993. Bibliographie : COULOMBE, Michel et JEAN, Marcel (sous la direction de), "Le dictionnaire du cinéma québécois", Les éditions du Boréal, Montréal, 1999.
Historique de la conservation
Fernand Dansereau a donné ses archives en 1980, 1984, 1989, 1991, 1993 et 1994.
Portée et contenu
Le fonds est constitué de scénario et de documents divers qui mettent surtout en lumière la carrière télévisuelle de Fernand Dansereau. Il contient entre autre l'ensemble des documents créés et réunis en vue de la production du téléroman « Le parc des braves » de 1984 à 1988. On y retrouve de la correspondance, des documents de recherche, des rapports de production, des notes diverses, les scénarios et dialogues des émissions, des cassettes d'enregistrement sonores de la recherche et des cassettes-vidéo contenant la plupart des émissions. Ces documents constituent une source de renseignement unique sur l'histoire de la télévision et l'histoire sociale du Québec. Ils montrent non seulement la réalisation de cette production, mais également les méthodes de travail de ses artisans. Le fonds possède aussi des documents sur d'autres créations de Fernand Dansereau comme les séries télévisées « Les filles de Caleb » (Jean Beaudin, 1990) et « Shehaweh » (Jean Beaudin, 1993) et le film "Le festin des morts" (1966). Il contient également divers documents concernant le cinéma et la télévision en général comme de la correspondance, des coupures de presse, des notes, ainsi que des documents administratifs concernant l'Institut québécois du Cinéma (procès-verbaux, états financiers, budgets, rapports, etc.). Le fonds comprend aussi quelques appareils.
Zone des notes
État de conservation
Source immédiate d'acquisition
Classement
Langue des documents
Écriture des documents
Localisation des originaux
Disponibilité d'autres formats
Restrictions d'accès
Des restrictions s'appliquent pour certains éléments du fonds.
Délais d'utilisation, de reproduction et de publication
Restrictions à la reproduction : Des restrictions s'appliquent pour certains éléments du fonds.
Restrictions à la publication : Des restrictions s'appliquent pour certains éléments du fonds.
Instruments de recherche
Inventaire sommaire établi par l'archiviste existant pour une partie du fonds seulement. Disponible à la Médiathèque Guy L. Coté.
Éléments associés
Accroissements
Identifiant(s) alternatif(s)
Zone du numéro normalisé
Numéro normalisé
Mots-clés
Mots-clés - Sujets
Mots-clés - Lieux
Mots-clés - Noms
Mots-clés - Genre
Zone du contrôle
Identifiant de la description du document
Identifiant du service d'archives
Règles ou conventions
Statut
Niveau de détail
Dates de production, de révision et de suppression
2015-03-30
Langue de la description
- français