C'est le Carrefour d'amimation populaire de Disraëli, un regroupement de jeunes entre 18 et 30 ans qui permet au journal "Le Benjamin de Disraëli" de voir le jour en 1984. Suite à une suggestion de la Commission des loisirs à la Ville de Disraëli, quatre jeunes investissent temps et énergie pour mettre sur pied ce mensuel distribué à 1400 exemplaires. Il obtient ses lettres patentes le 11 janvier 1985 et vit des publicités de commerçants, d'aides financières d'organismes du milieu et de subventions gouvernementales. En juin 1987, le journal publie son dernier numéro. Le manque de bénévoles entraîne un arrêt des opérations pour une période indéterminée. Avant de se dissoudre, l'organisme veut donner à d'autres la chance de prendre la relève. Son mandat est d'organiser et maintenir la production mensuelle du journal, de promouvoir la lecture et l'écriture comme moyen de communication et d'expression et de diffuser l'information d'événements se rattachant à Disraëli. Pour donner la possibilité d'émettre leurs opinions et pour encourager leur potentiel littéraire, le journal groupe les citoyens désireux de participer à l'administration et à la production. Membre de l'Association des médias écrits communautaires du Québec (AMECQ), il est administré et dirigé par l'Assemblée générale et le Conseil d'administration. Un comité de rédaction choisit les articles et le comité de production assure la mise en page, l'impression et la distribution du journal