Fonds P578 - Fonds Société Provancher d'histoire naturelle du Canada

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Fonds Société Provancher d'histoire naturelle du Canada

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CA QUEBEC P578

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  • 1888-1990 (Creation)

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3,34 mètre(s) linéaire(s) de document(s) textuel(s) 37 photographie(s)

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Biographical history

Si la Société honore le nom de l'abbé Provancher, l'un des plus éminents naturalistes canadiens de la seconde moitié du 19e siècle, elle prend pour modèle les «admirables méthodes» de la Société Audubon créée à New York, en 1886, par le docteur George Bird Grinnell. Fondée à Québec en 1918, elle reçoit une charte fédérale le 15 avril 1919 et se dote, la même année, de règlements. La Société Provancher regroupe des hommes éminents de la ville de Québec qui se réunissaient, depuis trois ou quatre ans déjà, afin de dénoncer l'inertie du milieu à l'égard de l'enseignement de l'histoire naturelle dans les écoles, ainsi qu'à l'égard des abus des chasseurs qui pratiquaient systématiquement le braconnage. Les signataires du MÉMOIRE DE CONVENTION de 1919 sont l'abbé Philéas-Joseph Filion, professeur de chimie à l'Université Laval, Oscar Pelletier, colonel, Stanislas Gaudreau et David-Alexis Déry, chirurgiens-dentistes, Thomas-Philippe Gagnon, capitaine de milice, Joseph Matte, employé au ministère de la Voirie, Léon Fiset, médecin laryngologiste et Joseph-Émile Bernier, médecin et inspecteur des pêcheries maritimes du golfe Saint-Laurent. À eux se joignent, au titre de membres fondateurs, Herman Lebon, médecin, Charles-Émile Dionne, naturaliste et conserateur du Musée de l'Université Laval, Charles Dumas, secrétaire du ministère de la Voirie, Alphonse-Ambroise Godbout, comptable, Robert Lagueux, curé de la paroisse Saint-Roch, Eugène Audet, gérant de banque et Charles Alleyn, notaire. Les structures de la Société épousent ses objectifs, soit la recherche scientifique, la «protection des espèces indigènes», la «propagande éducationnelle» et, enfin, l'«information scientifique et pratique». Bien que son champ d'action soit l'ensemble du territoire canadien, la Société exercera tout d'abord ses activités au Québec et «elle compte sur le concours moral et pécunier de ses membres, de ses amis et du public». L'atteinte des objectifs se traduit sans délai pour les membres du Bureau de direction par la mise en oeuvre d'une stratégie articulée. Celle-ci consiste d'abord à s'entourer de personnalités prestigieuses au titre de président honoraire, gouverneurs généraux et lieutenants gouverneurs en tête de liste. Ensuite, offrir aux pouvoirs publics -les gouvernements fédéral et provincial- leur collaboration en échange de leur coopération et de leurs subventions annuelles. S'affilier, en outre, le plus tôt possible à des «sociétés semblables et recevoir leur affiliation» et susciter, enfin, la recherche scientifique grâce à des correspondants canadiens et étrangers reconnus, dont les écrits, publiés dans le RAPPORT ANNUEL, permettraient à la Société un rayonnement nord américain. Forte de ses règlements qui l'autorisent à acquérir «des réserves et territoires», la Société achète, en 1927, les Îles Razades, puis, deux ans plus tard, l'Île aux Basques (en face de Trois-Pistoles). Au cours des ans, ces endroits privilégiés deviennent le centre des activités de terrain des membres: sentiers d'interprétation de la flore; observation de la faune; conservation et protection des oiseaux; étude de la mycologie. Site de fouilles archéologiques en 1938, ainsi que tout récemment, l'Île aux Basques connaît un regain d'intérêt dans le sillage du mouvement du tourisme «sauvage» ou naturel. Ces travaux remettent en évidence les fours anciens utilisés par les Basques qui pratiquaient la pêche à la baleine. Ces pêcheurs venaient y dépecer leurs prises et y recueillir l'huile acheminée, par la suite, en Europe. Parmi les activités courantes et ponctuelles de la Société, signalons les fêtes (Fête des arbres, Fête des oiseaux), les concours de maisonnettes d'oiseaux, les prix, les conférences Audubon, les camps d'été pour jeunes, les expositions de photographies d'oiseaux, les salons d'histoire naturelle à l'Exposition provinciale de Québec et les récitals d'initiation de chants d'oiseaux

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Biographical history

Michel Gaumond est né le 7 octobre 1934 à Québec. Il fait ses études au Petit Séminaire de Québec, à Sainte-Anne-de-la-Pocatière et à l'Université Laval de 1948 à 1965. Il est le premier archéologue-géographe au ministère des Affaires culturelles en 1961. Tout au long de sa carrière, il est responsable de diverses tâches liées aux domaines de l'archéologie et de l'histoire, est membre de plusieurs comités et participe à de nombreuses conférences sur entre autres le Vieux-Québec, l'archéologie et Place-Royale. Il réalise plusieurs fouilles archéologiques entre 1959 et 1996 au Québec (Place-Royale, Forges de Saint-Maurice, Moulins de La Chevrotière, etc.). Parallèlement à sa carrière au ministère, il est instructeur-historien des guides de Place-Royale. Il publie également de nombreux articles dans des publications tels que Cap-aux-diamants et Collection Civilisation du Québec. Il est affilié avec la Société historique de Québec, la Société historique de Sainte-Foy, la Société d'histoire de la médecine, The Society for American Archeology et le Conseil des monuments et sites du Québec. Retraité du ministère en 1996, Michel Gaumond poursuit une carrière comme consultant en histoire et en archéologie où il participe à de nombreuses recherches. Il est décédé à Québec en août 2014 à l'âge de 79 ans

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Administrative history

La Société zoologique de Québec a connu un enfantement difficile et, de surcroît, par personne interposée. En effet, elle est née de la volonté du ministère de la Colonisation de la chasse et des pêcheries qui forma, en juillet 1931, un Comité afin de "choisir le site le plus avantageux possible pour l'établissement d'une ferme expérimentale pour l'élevage des animaux à fourrure". La tâche première de ses membres (Charles Fremont, président, Edgar Rochette, député et président de l'Association provinciale des éleveurs d'animaux à fourrure, L.-A. Richard, sous-ministre, Johan Beetz, directeur du Service de l'élevage des animaux à fourrure du ministère, Thomas Fortin, inspecteur du même service, deux jeunes boursiers du Gouvernement provincial, un médecin vétérinaire, J.-Armand Brassard et R. Rajotte qui assumaient conjointement les fonctions de secrétaire du Comité) consistait à déterminer le futur site de la ferme expérimentale, à négocier l'achat des fermes qui la constitueraient et à présenter les plans et devis d'aménagement. Leur choix se fixa sur un groupe de propriétés situées à Charlesbourg. Les négociations eurent lieu rapidement, les fermes furent achetées et les travaux débutèrent durant l'été, car il tardait au gouvernement Taschereau de créer, au plus tôt, des emplois en ce temps difficile de crise économique et d'effondrement du marché de la fourrure. Le Comité du ministère désigné sous ce seul terme, donna naissance, lors d'une réunion le 14 novembre 1931, à cinq sous-comités dont celui du Jardin zoologique formé de David-Alexis Déry et Georges Maheux comme membres associés. Ce comité du Jardin zoologique tint sa première réunion le 21 novembre suivant. À l'ordre du jour apparaît l'étude des avis de «soumissions» ou d'appels d'offre pour la construction du laboratoire, de l'hôpital et de la maison du gardien. On considéra également un texte législatif se rapportant à la ferme expérimentale, le don éventuel d'un totem sculpté par les indiens de la Colombie-Britannique et, enfin, une proposition du docteur Déry au sujet de l'aménagement des aires destinées aux oiseaux. Ce dernier, fondateur de la Société Provancher d'histoire naturelle du Canada, était considéré comme un maître de l'ornithologie dispensant ici et là des conférences agrémentées «d'images animées». Le Comité du Jardin zoologique tint deux autres réunions exploratoires avant l'incorporation de la Société. Celle du 15 décembre 1931 apparaît capitale puisqu'elle porte sur le concept même du jardin. Après avoir visité les jardins zoologiques de New York, de Philadelphie et de Washington, le sous-ministre L.-A. Richard, accompagné de R. Rajotte, considère qu'il faut briser avec les «idées conventionnelles de nos voisins». Il suggère alors la création d'un «village canadien du 17e siècle» autour duquel graviterait le jardin. La traditionnelle tour d'observation serait remplacée par un moulin à vent qui servirait de tour et les «bâtisses» d'architecture canadienne seraient des musées: l'une représenterait un intérieur canadien et l'autre illustrerait la vie du trappeur et du coureur des bois. Les trois constructions proposées plus haut étant en cours, on étudia alors les plans pour l'érection d'une clôture en pierre ainsi que ceux d'un pont «dans le genre chinois». Un budget provenant, d'une part, du Gouvernement fédéral, qui injecta 40 000 $ afin «d'améliorer le sort des chômeurs», et d'autre part du Gouvernement provincial fut approuvé. En fin de réunion, le sous-ministre Richard proposa de «commencer immédiatement la collection des petits mammifères canadiens» et surtout de profiter du bas prix des fourrures pour monter la collection de la ferme qui servira à la formation des éleveurs. La réunion du 22 février 1932 prit les allures d'une rencontre de routine. On y discuta de toute évidence d'affaires courantes déjà amorcées: l'achat de jeunes orignaux, celui d'une collection de peaux de la Maison Holt Renfrew, le report à l'automne d'un envoi d'animaux offerts par le Département des parcs, à Ottawa. Le Jardin se placera sous les dispositions de la loi fédérale sur les oiseaux migrateurs et deviendra un site protégé, un «refuge d'oiseaux». Tous ces travaux dirigés par le Comité du Jardin mais supervisés par le sous-ministre Richard qui s'en référait à son ministre Hector Laferté et, parfois, au ministre de l'Agriculture, J.-L. Perron, tous ces travaux, dis-je, revenaient de droit aux ministères préoccupés politiquement par la crise économique et son cortège de revendications de la population. L'idée de créer une Société revint à Richard désireux de s'assurer d'une subvention pour l'achat du Totem-Pole, oeuvre choisie et retenue par l'ethnologue Marius Barbeau. L'achat d'un objet d'art risquait de déplaire à la population alors que la création d'une Société était défendable en Chambre. Ainsi, et dotée d'une subvention de 2 000 $, était créée la Société zoologique de Québec, autre forme du sous-comité du Jardin. Il s'agissait des mêmes personnes qui tinrent leur première réunion le 25 août 1932. Naissance difficile, certes, car ce fut une naissance par personne interposée, c'est-à-dire par l'intermédiaire de la ferme expérimentale qui permit la création du Jardin zoologique, dont le Comité de direction se transforma en Société. Vivant côte à côte pour plus de soixante ans, le gouvernement, propriétaire du Jardin, la Société qui en assume la gestion et les orientations, et le ministère qui en contrôle la gestion financière. Par sa constitution, la Société se donnait de nombreux objectifs de regroupement des personnes intéressées aux sciences naturelles, de recherche et de développement des dites sciences, d'enseignement populaire auprès de la population, de gestion et de développement matériel du Jardin, de conseillère auprès des administrateurs du Jardin, d'exploitante des services auxiliaires du Jardin, en l'occurrence les restaurants et la boutique de souvenirs. Lorsqu'elle demanda l'émission de nouvelles lettres patentes en 1959, un avocat, Lucien Darveau, s'aperçut que la Société opérait dans l'illégalité depuis des années. En effet, en vertu de la constitution du 6 juillet 1932, la Société zoologique de Québec tombait sous la Loi des clubs de récréation qui l'assujettissait aux dispositions de la Loi des compagnies de Québec, particulièrement à la section IV de la troisième partie de la dite loi, qui l'obligeait «à faire approuver ses règlements», à «produire un rapport initial ainsi qu'un rapport annuel pour les termes expirant le 30 juin de chaque année, et ce depuis 1933 jusqu'à 1958» (Mémoire concernant la Société zoologique de Québec, 11 février 1959). Or, la Société n'avait adressé aucun rapport et, pire encore, elle n'avait pas le droit d'acquérir et de posséder des biens mobiliers et immobiliers de plus de 2 000 $. La Société percevait toutefois les droits, les entrées et exploitait des restaurants et une boutique de souvenirs. Il fallait donc, dans les circonstances, modifier la charte de la Société afin d'opérer en toute légalité: le droit de posséder des biens immobiliers fut porté à 100 000,00 $ et la place d'affaires transférée à Québec au lieu d'Orsainville. Plus tard, soit en 1985, le montant du droit de posséder fut porté à un million. L'évolution de la Société fut celle des successives améliorations du Jardin qui, au cours des ans, mit l'accent sur l'exotisme et non plus les seuls animaux indigènes comme c'était le cas dans les années trente. Les plans d'aménagement, conçus par l'architecte Sylvio Brassard et présentés par le sous-ministre L.-A. Richard au Comité, furent réalisés promptement, si bien qu'en 1932, surgirent quatre nouveaux pavillons, soit le laboratoire, l'hôpital, la maison du gardien et l'édifice de l'administration. Cette année-là, grâce à la main-d'oeuvre bon marché des chômeurs, on réalisa «le mur de pierre longeant l'avenue du zoo, le moulin à vent, le pont de pierre enjambant la rivière Duberger, les cages de la ferme et les enclos devant garder les herbivores». Les pluies torrentielles, un certain jour d'automne 1938, emportèrent les installations sur la Duberger qui furent consolidées. On ajouta derrière les maisons de l'administration une «bâtisse en forme de L» qui logèrent les ateliers du Jardin. Pour le 25e anniversaire de sa création, les directeurs de la Société inaugurèrent le pavillon des félins et des primates commencé en 1953. La décennie '70 marqua l'aménagement de l'entrée principale, du terrain de stationnement ainsi que la construction d'un nouvel édifice, réservé aux ateliers et aux services d'entretien; on érigea par la suite, soit en 1976, une ferme pour enfants et le Jardin fut placé, afin de l'enjoliver, sous le signe du développement horticole. La décennie '80 vit la construction de trois volières ainsi qu'un vaste plan de consolidation des bâtisses dû à l'architecte Georges Daudelin. Il y eut rénovation de tous les édifices et la relocalisation des flamants, des rapaces, des chimpanzés, des otaries et des loutres. Les fauves et les chimpanzés furent exposés à vision directe en 1988 et la résidence des éléphants construite la même année. Bref, le Jardin subit un perpétuel renouvellement bien que ses capacités financières demeuraient limitées. La Société s'était aussi donnée une mission éducative. À cet effet, on organisa, dès 1953, une exposition de travaux de jeunes naturalistes. L'année suivante, en mai, on assistait aux premières causeries à la radio, puis, en 1935, le docteur J.-Armand Brassard, alors directeur du Jardin et secrétaire de la Société, mettait sur pied un programme de visite-écoles qui prit la forme, dans les années '80, de visites auto-guidées. Plus tard, soit en 1943, Louis-Philippe Audet, historien du système scolaire au Québec, lançait les concours de zoologie qui se poursuivirent jusqu'en 1960. Radio-Canada facilitait d'ailleurs la connaissance des sciences naturelles dans le cadre de la série Radio-Collège. Enfin, Jacqueline Vincent institua, en 1976, les «journées d'observations». La mission éducative fut longtemps avivée grâce aux publications de vulgarisation : feuillets, dépliants, brochures sans compter la revue LES CARNETS DE ZOOLOGIE publiée sous la responsabilité successive de Damase Potvin, du docteur J.-A Brassard, de Claude Melançon et de Raymond Cayouette. La Société se consacra aussi à la recherche scientifique et, à ce titre, elle est membre de l'ACFAS (1934) et elle est associée à l'Union internationale pour la conservation de la nature (UICN). Sa principale contribution concerne les noms français des oiseaux du Canada ainsi que ceux des mammifères. Ces ouvrages sont nés du travail de comités, le premier créé en 1951 et le second en 1962. Il y eut fusion de ces comités en 1975 pour former le Comité permanent de nomenclature française des vertébrés du Canada. La recherche passa également par le maintient, de 1961 à 1990, d'un programme de bourses destinées à des étudiants gradués. La Société s'impliqua dans divers dossiers dont ceux de la préservation de la collection Provancher (1962), de la défense de la Rivière Jacques-Cartier (1972), de la mise en valeur de l'Île aux Basques, refuge d'oiseaux appartenant à la Société Provancher (1975) et de la préservation des battures de Beauport (1978)

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Custodial history

Les documents composant ce fonds ont été acquis de la Société par résolution du Conseil d'administration et par convention de don, signée le 26 octobre 1990

Scope and content

Le fonds de la Société Provancher comprend l'ensemble des documents propres à la vie et aux activités d'un organisme privé à but non lucratif, c'est-à-dire des chartes, titres de propriété, procès-verbaux de l'assemblée générale annuelle et des réunions du Bureau de direction, correspondance, rapports annuels, bilans financiers, études scientifiques et de vulgarisation, projets et programmes, dossiers des relations avec les sociétés aux buts identiques, activités estivales dans les îles. L'évolution de la Société est perceptible partout mais de façon plus directe par l'intermédiaire du RAPPORT ANNUEL, des dossiers anniversaires et des coupures de presse qui font écho aux activités et aux prises de position de la Société. Les deux missions majeures de la Société -éducation et protection de la faune et de la flore- sont perçues, d'une part, à travers la correspondance thématique et celle de la Société Audubon et, d'autre part, à travers les notes des gardiens de l'Île aux Basques. Bien que rédigées dans une langue frustre, ces observations présentent une vue saisissante de l'état de la vie animale et des problèmes de gestion de ce site privilégié. Le fonds de la Société Provancher fait le pont avec de nombreuses autres sociétés gardiennes de la nature, dont la Société Audubon, la Société zoologique de Québec, la Société linnéenne de Québec, the Ottawa Field-Naturalists' Club, la Fédération canadienne de la nature, la Canadian Wildlife Federation. Par le biais de ces organismes, c'est l'ensemble des questions écologiques qui est perçu et posé depuis le début du présent siècle. La série "correspondance générale" sera utilisée comme complément des dossiers de correspondance regroupés par thèmes ou sujets. De même, la série du secrétaire complète la série procès-verbaux. La série documents financiers, quant à elle, apporte un éclairage supplémentaire sur le budget présenté chaque année lors de l'assemblée générale des membres. Ces documents illustrent de façon non équivoque la permanence des préoccupations écologiques et environnementales chez des groupes éclairés de la population. Leur étude systématique démontrait la solidité, le prestige et la haute tenue scientifique de cette Société à l'aube du 20e siècle. Les photographies contenues dans le fonds comprennent des portraits de directeurs et membres de la Société comme l'abbé Philias-J. Filion, Oscar Pelletier, Réginald Meredith et quelques autres. Elles illustrent les fours basques, les camps, des baleines échouées, des visiteurs de même que diverses activités comme celles liées aux maisonnettes d'oiseaux et des observatoires de jeunes. Notons que les documents ont été classés dans quatre dossiers et que certaines photos sont signées de Montminy & Cie, Société zoologique de Québec, Rosemary Gilliat, Michel Gaumond, Brunet (Québec), Photo Moderne Enrg Certains des termes rattachés ont été extraits de descriptions à des niveaux inférieurs apparaissant dans l'instrument de recherche

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03Q-P578

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2015-03-30

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  • French

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