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Plan de la ligne Champlain and St. Lawrence Railroad à Saint-Jean d'Iberville

Ce plan présente les diverses propositions pour le passage de la courbe du chemin de fer Champlain et Saint-Laurent dans la ville de Saint-Jean-d'Iberville. La position acceptée par un comité est indiquée. Sont localisés sur les terres du gouvernement : les casernes militaires et le fort Saint-Jean, le long de la rivière Richelieu, les noms des rues comprises dans le quadrilatère formé par les rues Front, Glass Factory, Allen et cinq rues au-delà de James à Saint-Jean-d'Iberville. De plus, il s'y trouve la manufacture de verre, le domaine, la commune et les lots de Monsieur Pierce, H. Titus, V. Titus et A. Walmsley

Montréal plan parcellaire territoire situé entre la rue Craig et le voisinage de la rue Commissioners, depuis la rue Bon-Secours, jusqu'à la rue Beaudry

Ce plan présente, sur un fond de carte moderne (1948), les anciennes fortifications et les anciennes rues de la partie est de la ville de Montréal. Ce plan montre les rues comprises entre les rues des Commissionners (devenue de la Commune), de la Friponne, Bonsecours, Craig (devenue Saint-Antoine) et Beaudry à Montréal. Sont localisés du Montréal disparu : les fortifications, l'étang, la rivière Saint-Martin, le Square Dalhousie, la Citadelle, la citerne et l'office de l'Ordonnance. Les noms et l'emplacement des anciennes rues, souvent disparues, sont aussi indiquées. L'Hôtel et la gare Viger, la pesée ainsi que la gare Dalhousie sont localisés. Une légende explique les lignes et les couleurs du plan. De plus cette légende indique que les auteurs ont utilisé le plan des fortifications produit par Louis Charland en 1803

Sévérin Ameau dit Saint-Sévérin

Cette série regroupe 547 minutes notariales du greffe de Sévérin Ameau dit Saint-Sévérin ainsi que deux répertoires chronologiques. De 1651 à 1702, le notaire Ameau a exercé à Trois-Rivières (du 2 février 1651 au 13 mars 1702). Outre les informations spécifiques aux parties impliquées dans chacun des contrats consignés dans ce greffe, lesquelles peuvent être utilisées, entre autre, dans le cadre de recherches à caractère généalogique, cette série constitue, dans un premier temps, une source documentaire très importante sur les débuts de Trois-Rivières et sur le mode de fonctionnement de la société trifluvienne dans la seconde moitié du XVIIe siècle: nous y découvrons notamment, à travers une production qui s'échelonne sur une période de 50 ans, des documents relatifs aux premiers arrivants et à leurs lieux d'origine, à l'organisation civile (commissions des officiers publics dont les gouverneurs et les juges), militaire (fortification, garnison de soldats) et religieuse (églises, presbytère, cimetière) du Bourg des Trois-Rivières, à l'administration et à l'occupation des terres (titres nouvels, concessions incluant le tenue d'un rôle, ventes, donations) et à l'économie (agriculture, commerce des fourrures). Suivent en nombre tout aussi important des contrats notariés concernant différents fiefs et seigneuries implantés de chaque côté du fleuve Saint-Laurent et relevant du gouvernement des Trois-Rivières; s'ajoutent aussi quelques documents de référence à des lieux et des personnages fortement identifiés à l'histoire de Trois-Rivières (Île Saint-Christophe, Île Neuve aussi appelée Îles-aux-Cochons, Île-de-la-Trinité, Platon du Fort, Commune, Pierre Boucher de Grosbois) ou de la Nouvelle-France (forts Saint-Louis en Louisiane et de Denonville à Niagara, Pays des Illinois, Frontenac, René-Robert Cavelier de la Salle). D'autre part, prises dans leur ensemble, les données colligées dans ces documents officiels à contenu administratif et légal peuvent également constituer une source documentaire des plus révélatrices sur le mode et les conditions de vie de la population pendant cette période (métiers et professions mentionnés aux contrats, inventaires de biens, testaments), sur les classes sociales (mention de titres correspondant au rang social des parties concernées tels bourgeois, écuyer, etc), sur les moeurs et coutumes acceptées par la société et ses institutions (par le biais de déclarations, de jugement arbitral, d'injonctions, d'ordonnances, etc), sur les relations avec les autochtones (ententes commerciales, conflits), et, dans une proportion moindre, sur la médecine d'époque et ses représentants. Enfin, la terminologie utilisée dans ces contrats notariés pourrait être avantageusement récupérée dans le cadre d'études portant sur l'évolution du langage administratif et légal, voire même sur l'évolution de la langue française

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Fonds Intendants

  • CA QUEBEC E1
  • Fonds
  • 1626-1760

Le fonds Intendants nous permet d'apprécier, à travers les procès-verbaux, la correspondance, les ordonnances et les requêtes, le travail réalisé par les intendants à l'époque de la Nouvelle-France en ce qui a trait à leur administration de la vie coloniale. Les intendants gèrent les fonds publics, président le Conseil supérieur, sont juges souverains en matière civile, interprètent le droit féodal et élaborent et appliquent toute la réglementation relative à la police, au commerce, aux prix, à la monnaie, à la milice, à la mise en valeur des terres et aux droits seigneuriaux. L'autorité des intendants s'affirme aussi sur plusieurs hauts fonctionnaires comme le grand voyer, l'ingénieur du roi, les arpenteurs royaux et le commissaire de la marine. Les chercheurs intéressés par l'époque du Régime français en Nouvelle-France trouveront donc une multitude de renseignements utiles sur différents aspects de la vie coloniale de nos ancêtres. Le fonds comprend les quatre séries suivantes : Ordonnances, Requêtes, Registres d'intendance et Papier terrier du Domaine. Cette dernière série comprend à son tour les cinq sous-séries suivantes : Cahiers d'intendance, Fois et hommage, Aveux et dénombrements, Déclarations des censitaires du roi, Index généraux pour les terres. Ce fonds se compose donc des documents produits ou reçus par les onze intendants suivants durant leur administration : Jean Talon (1665-1668 et 1670-1672), Claude de Bouteroue (1668-1670), Jacques Duchesneau de La Doussinière et d'Ambault (1675-1682), Jacques de Meulles (1682-1686), Jean Bochart de Champigny (1686-1702), François de Boische de Beauharnois (1702-1705), Jacques Raudot avec l'aide de son fils Antoine-Denis Raudot (1705-1710), Michel Bégon (1710-1726), Claude-Thomas Dupuy (1726-1728), Gilles Hocquart (1729-1748) et François Bigot (1748-1760)

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Ordonnances

L'importance et l'étendue du mandat des intendants laissent entrevoir l'intérêt de leurs ordonnances. Président du Conseil supérieur et responsable de la justice civile, c'est l'intendant qui contrôle les finances royales et le Domaine, les approvisionnements, les munitions, les fortifications et prisons, les chemins et canaux de même que le commerce, l'exploitation forestière et minière, tous objets visés par les ordonnances. Lui échappaient le culte, les représentations extérieures et les pouvoirs guerriers. La série qui nous intéresse ici couvre les années 1705 à 1760, les ordonnances antérieures ne nous étant parvenues que par bribes, sans doute en l'absence du procédé de l'enregistrement. Toutefois ces dernières sont inventoriées dans le volume troisième de l'Inventaire des ordonnances des intendants de la Nouvelle-France de Pierre-Georges Roy. Les ordonnances touchent tous les aspects de la vie quotidienne en Nouvelle-France qui s'étendait du golfe Saint-Laurent au golfe du Mexique par les vallées des fleuves Saint-Laurent, Ohio et Mississipi

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Requêtes

Cette série ne regroupe que 19 documents épars adressés à l'intendant par des particuliers de la colonie. Qu'il s'agisse de confirmation de titres de noblesse ou de fourniture de vivres à une pauvresse, ces pièces, sauf exception, portent rarement sur un sujet d'intérêt collectif. C'est le cas par exemple de la construction des fortifications de Montréal. On y trouve, entre autres, les sujets suivants: Nomination de tuteurs, successions, droits de propriété, ventes, réclamations non-honorées, ordre à comparaître, renvoi à des cours instituées

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