Godefroy (Bécancour, Québec : Seigneurie)

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Plan de St. Grégoire et de St. Célestin

Cette carte présente les limites de ces deux paroisses sises à l'embouchure de la rivière Bécancour sur le fleuve Saint-Laurent. De plus, nous y voyons les fiefs de Roquetaillade et de Godfroy ainsi que le canton Aston avec son augmentation vers la rivière Nicolet et enfin une partie de l'augmentation du canton de Bulstrode. Près du fleuve, une île est formée par le lac Saint-Paul dans la paroisse de Saint-Grégoire

Sévérin Ameau dit Saint-Sévérin

Cette série regroupe 547 minutes notariales du greffe de Sévérin Ameau dit Saint-Sévérin ainsi que deux répertoires chronologiques. De 1651 à 1702, le notaire Ameau a exercé à Trois-Rivières (du 2 février 1651 au 13 mars 1702). Outre les informations spécifiques aux parties impliquées dans chacun des contrats consignés dans ce greffe, lesquelles peuvent être utilisées, entre autre, dans le cadre de recherches à caractère généalogique, cette série constitue, dans un premier temps, une source documentaire très importante sur les débuts de Trois-Rivières et sur le mode de fonctionnement de la société trifluvienne dans la seconde moitié du XVIIe siècle: nous y découvrons notamment, à travers une production qui s'échelonne sur une période de 50 ans, des documents relatifs aux premiers arrivants et à leurs lieux d'origine, à l'organisation civile (commissions des officiers publics dont les gouverneurs et les juges), militaire (fortification, garnison de soldats) et religieuse (églises, presbytère, cimetière) du Bourg des Trois-Rivières, à l'administration et à l'occupation des terres (titres nouvels, concessions incluant le tenue d'un rôle, ventes, donations) et à l'économie (agriculture, commerce des fourrures). Suivent en nombre tout aussi important des contrats notariés concernant différents fiefs et seigneuries implantés de chaque côté du fleuve Saint-Laurent et relevant du gouvernement des Trois-Rivières; s'ajoutent aussi quelques documents de référence à des lieux et des personnages fortement identifiés à l'histoire de Trois-Rivières (Île Saint-Christophe, Île Neuve aussi appelée Îles-aux-Cochons, Île-de-la-Trinité, Platon du Fort, Commune, Pierre Boucher de Grosbois) ou de la Nouvelle-France (forts Saint-Louis en Louisiane et de Denonville à Niagara, Pays des Illinois, Frontenac, René-Robert Cavelier de la Salle). D'autre part, prises dans leur ensemble, les données colligées dans ces documents officiels à contenu administratif et légal peuvent également constituer une source documentaire des plus révélatrices sur le mode et les conditions de vie de la population pendant cette période (métiers et professions mentionnés aux contrats, inventaires de biens, testaments), sur les classes sociales (mention de titres correspondant au rang social des parties concernées tels bourgeois, écuyer, etc), sur les moeurs et coutumes acceptées par la société et ses institutions (par le biais de déclarations, de jugement arbitral, d'injonctions, d'ordonnances, etc), sur les relations avec les autochtones (ententes commerciales, conflits), et, dans une proportion moindre, sur la médecine d'époque et ses représentants. Enfin, la terminologie utilisée dans ces contrats notariés pourrait être avantageusement récupérée dans le cadre d'études portant sur l'évolution du langage administratif et légal, voire même sur l'évolution de la langue française

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Antoine-Zéphirin Leblanc

Cette série regroupe les minutes notariales du greffe de Antoine-Zéphirin Leblanc ainsi qu'un répertoire chronologique. Les minutes sont numérotées de 1 à 6124. En 1829 et en 1833, le notaire a rédigé les titres nouvels du terrier de Baie-Saint-Antoine. Entre 1829 et 1830, il a rédigé ceux des terriers de Godefroy et de Roquetaillade. De 1823 à 1834, le notaire Leblanc a exercé à Trois-Rivières (du 3 février 1823 au 4 août 1834). Prises dans leur ensemble, les données colligées dans ces documents officiels à contenu administratif et légal peuvent constituer une source documentaire des plus révélatrices sur le mode et les conditions de vie de la population pendant cette période (métiers et professions mentionnés aux contrats, inventaires de biens, testaments), sur les classes sociales (mention de titres correspondant au rang social des parties concernées tels bourgeois, écuyer, etc), sur les moeurs et coutumes acceptées par la société et ses institutions (par le biais de déclarations, de jugement arbitral, d'injonctions, d'ordonnances, etc), et, dans une proportion moindre, sur la médecine d'époque et ses représentants. Enfin, la terminologie utilisée dans ces contrats notariés pourrait être avantageusement récupérée dans le cadre d'études portant sur l'évolution du langage administratif et légal, voire même sur l'évolution de la langue française

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Joseph Badeaux

Cette série regroupe 14211 minutes notariales du greffe de Joseph Badeaux ainsi qu'un répertoire onomastique. L'acte portant le numéro 5426 contient une lettre écrite sur écorce de bouleau. De 1798 à 1835, le notaire Badeaux a exercé à Trois-Rivières (du 12 octobre 1798 au 9 septembre 1835). Outre les informations spécifiques aux parties impliquées dans chacun des contrats consignés dans ce greffe, lesquelles peuvent être utilisées, entre autre, dans le cadre de recherches à caractère généalogique, cette série constitue, dans un premier temps, une source documentaire intéressante sur le mode de fonctionnement de la société québécoise à la fin du XVIIIe et dans la première moitié du XIXe siècles: nous y découvrons notamment, à travers une production qui s'échelonne sur une période de 37 ans, des documents relatifs à des personnages marquants de l'histoire trifluvienne (documents de la succession d'Aaron Hart), à l'organisation sociale et à ses conventions (mariages, séparation de corps et de biens, tutelles, assemblées de parents, adoption), à la vie religieuse et à ses pratiques (profession de foi, réception en communauté, titre sacerdotal), à l'état de la richesse des individus (donations, inventaires après décès, partages de biens, échanges, testaments, saisies), à l'économie (moulin banal, moulin à scie, commerce dont celui des fourrures, transport), à l'industrie (Forges du Saint-Maurice, Forges de Batiscan, manufacture de potasse), à l'administration publique (jugements, ordonnances, sentences arbitrales, protêts) et à l'occupation des terres (titres nouvels, concessions, ventes, cessions, donations, échanges, transports, abandons et rétrocessions de terre, baux). Notons que bon nombre de contrats notariés concernent différents fiefs et seigneuries implantés de chaque côté du fleuve Saint-Laurent et relevant principalement du district de Trois-Rivières; nous y retrouvons également, et quelquefois en quantité assez importante, des documents de cette nature relatifs à des territoires relevant des juridictions de Québec et de Montréal. Pour la rive nord, ces transactions immobilières concernent les fiefs et seigneuries suivants: Batiscan, Boucher, Cap-de-la-Madeleine, Carufel, Champlain, Commune-de-Trois-Rivières, Dumontier, Gastineau, Granpré, Grosbois, Hertel, Labadie, Lanaudière, Maskinongé, Marsolet, Neuville, Niverville, Pachirini, Pointe-du-Lac, Rivière-du-Loup, Robert, Du Sablé (Berthier), du Sablé (Marquisat), Sainte-Anne-de-la-Pérade, Sainte-Marguerite, Sainte-Marie, Saint-Jean, Saint-Michel (Québec), Trois-Rivières (Jésuites) et Vieuxpont. En ce qui a trait à la rive sud, les fiefs et seigneuries concernés par ces documents sont les suivants: Baie Saint-Antoine, Beaumont, Bécancour, Bonsecours, Bruyères, Cournoyer, Courval, Deguire, Deschaillons, Dutort, Gentilly, Godefroy, La Lussaudière, Lauzon, Lévrard, Livaudière, Nicolet, Pierreville, Roquetaillade, Saint-Charles-d'Yamaska, Sainte-Croix, Saint-François, Sorel et Yamaska. Ces documents renferment également des informations pertinentes sur leurs propriétaires. Parallèlement à ces documents de gestion de terres relevant de fiefs et seigneuries, ce greffe renferme de nombreux documents relatifs à l'octroi de terres dans des "townships" ou cantons identifiés comme suit: Ascott, Auckland, Barnston, Brompton, Caxton, Clifton, Compton, Dudswell, Durham, Eaton, Godmanchester, Granby, Grantham, Hatley, Hereford, Kildare, Kingsey, Maddington, Melbourne, Milton, Newport, Orford, Shipton, Simpson, Stantead, Stoke, Tingwick, Upton, Weedon,Wendover,Wickham et Windsor. Enfin, nous y retrouvons, à une fréquence moindre, des références à des noms de lieux tels Coteau-du-Lac, Deschambault, Les Pays d'en-Haut, Montréal, Pays-des Illinois, Québec et Rivière-des-Envies (Champlain). Finalement, ces documents constitue une source documentaire intéressante sur d'anciens quartiers de Trois-Rivières identifiés Banlieu-de-Trois-Rivières, Coteau Saint-Louis, Haut-Boc, Île-de-la-Poterie, Les Champs ou Champs de Tonnancour et Près-de-Ville. D'autre part, prises dans leur ensemble, les données colligées dans ces documents officiels à contenu administratif et légal peuvent constituer une source documentaire des plus révélatrices sur le mode et les conditions de vie de la population pendant cette période (inventaires de biens, testaments, engagements comme serviteurs et autres), sur les métiers et professions exercés (métiers et professions mentionnés aux contrats, engagements comme apprenti, clerc-notaire, clerc-avocat, etc), sur les classes sociales (mention de titres correspondant au rang social des parties concernées tels bourgeois, écuyer, etc), sur les moeurs et coutumes acceptées par la société et ses institutions (par le biais de déclarations, de jugements, de sentences arbitrales, d'ordonnances, etc), sur les amérindiens abénaquis, algonquins, et iroquois (notamment dans les contrats d'engagement que l'on retrouve en quantité non-négligeable dans ce greffe) et, dans une proportion moindre, sur la médecine d'époque et ses représentants. Enfin, la terminologie utilisée dans ces contrats notariés pourrait être avantageusement récupérée dans le cadre d'études portant sur l'évolution du langage administratif et légal, voire même sur l'évolution de la langue française

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Acte de foi et hommage inscrit au papier terrier de la Compagnie des Indes occidentales et présenté par Jean de Godefroy, écuyer et sieur de Linctot, et Michel Godefroy, son fils, pour la terre et seigneurie de Linctot située sur le fleuve Saint-Laurent et consistant en trois quarts de lieue de front et en trois lieues de profondeur dans les terres

Transcription du texte avec orthographe modernisée : «Sont comparus le Sieur Jean de Godefroy, écuyer, Sieur de Linctot, et Michel Godefroy, écuyer, Sieur de Linctot, son fils, lesquels étant sans épées, nues têtes, chacun d'eux, un genou en terre, ont dit qu'ils nous faisaient et portaient la foi et hommage qu'ils doivent faire et porter à nos dits seigneurs à cause de leurs terres et seigneuries ci-après déclarées savoir, le dit Sieur de Godefroy père à cause de sa terre et seigneurie de Linctot située sur le grand fleuve Saint-Laurent consistant en trois quarts de lieu de front et en trois lieues de profondeur dans les terres joignant d'un côté au nord-est la rivière du lac Saint-Paul, d'autre côté au sud-ouest (sorouest) une ligne qui court sud-est et nord-ouest, laquelle dite terre lui appartient par titre de concession à lui faite par la Compagnie de la Nouvelle-France en date du premier jour de décembre mille six cent trente-sept, signé par la Compagnie de la Nouvelle-France A. Cheffaut (Antoine Cheffault sieur de la Renardière), secrétaire de la Compagnie, et scellé, pour de la dite concession jouir par le dit Godefroy en toute propriété, justice et seigneurie, relevant du fort Saint-Louis de Québec ou autre lieu qui serait après désigné par la Compagnie, et à la charge de la foi et hommage que le dit Sieur Godefroy, ses successeurs et ayant cause seront tenus de porter au dit fort Saint-Louis de Québec ou autre lieu qu'il serait désigné par un seul hommage lige à chaque mutation de possesseur et de payer à la dite Compagnie les droits et profits ainsi et au cas qu'ils échoiront selon la coutume de la prévôté et vicomté de Paris et que si à l'avenir il y a juge établi dans les dites terres les appellations d'icelui ressortiraient nuement à la cour souveraine qui serait établie à Québec ou au dit lieu qui serait choisi en la dite Nouvelle-France. De laquelle dite terre le dit Sieur Godefroy a été mis en possession par feu Monsieur de Montmagny, lors gouverneur, assisté de feu Monsieur Jean Bourdon, lors ingénieur et arpenteur, de Marc Antoine Fauwe, suivant le procès-verbal qu'ils en avaient dressé en date du dernier arrêt mille six cent trente-huit signé Montmagny, Bourdon, Godefroy et autres, icelui procès-verbal portant restriction que le dit Sieur Godefroy ne pourra rien prétendre en la propriété du tout ou partie de la dite rivière Saint-Paul, et îles y étant ni du lac Saint-Paul encore bien que la dite ligne s'y rencontrât, et aura le dit Sieur Godefroy droit de chasse et de pêche pour sa famille seulement, au bas duquel dit procès-verbal est acte en date du premier juin mille six cent cinquante portant enregistrement au greffe de Québec à la réquisition au dit Sieur Godefroy après avoir été mis en possession, de ce que dit est, le dit enregistrement fait par le commandement de feu Monsieur Dailleboust (D'Ailleboust), lors gouverneur, qui aurait enjoint au dit Sieur Godefroy de Normanville clore incessamment la dite terre, le dit acte signé Boujonnier. Et le dit Sieur de Linctot fils à cause d'un quart de lieue de terre de front sur le dit fleuve et de la profondeur ci-dessus dite érigée aux même droits de seigneurie et aux mêmes charges, clauses et conditions que celles du dit Sieur Godefroy père, la dite terre et seigneurie nommée la terre et seigneurie Du Tort (Dutort) (blanc) joignant d'un côté au sud-ouest (sorouest) la rivière Saint-Michel, d'autre la pointe Camiart, au nord-est au dit Sieur de Linctot, appartenant par donation que nous lieutenant général susdit lui en avons faite par contrat passé par-devant Ameau, notaire en cette dite ville, le (la date est en blanc) laquelle nous appartenait par concession à nous faite par la dite Compagnie de la Nouvelle-France, par le dit titre de concession ci-dessus daté et mentionné qui en aurait été expédié au dit Sieur Godefroy et à nous, requérant les dits sieurs Godefroy père et fils qu'il nous plaise les recevoir à la foi et hommage, offrant le dit Sieur Godefroy père de donner son dénombrement dans le temps de la coutume. Déclarant le dit Sieur Godefroy fils n'en avoir à donner d'autant qu'il n'a pu avoir d'habitant à mettre sur la dite terre à cause des incursions des Iroquois, sur laquelle cependant il y a beaucoup de travaux faits. Sur quoi Ouï le procureur fiscal nous avons reçu et recevons les dits sieurs Godefroy père et fils à la dite foi et hommage aux charges et conditions du dit titre et de donner par le dit Sieur Godefroy père son aveu et dénombrement, dont et de quoi nous avons délivré acte pour servir et valoir ce que de raison. Leneuf Godefroy Godefroy de Linctot Godefroy Normanville »

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