Dessin d'un bec-de-cane à tête. Cet outil est une sorte de petite houe ou pioche munie d'une tête carrée du côté opposé à sa lame courbe épousant la forme d'un bec-de-cane. Il est destiné à chasser des coins de bois derrière le bâti des fortifications. D'usage courant, il est employé dans la mise en place des chantiers immobiliers, militaires, miniers et navals. Il s'agit d'un outil de base en construction. Selon les inventaires après décès répertoriés par le spécialiste en ethnologie du Québec, Robert-Lionel Séguin, son usage était communément répandu parmi les habitants de la Nouvelle-France

Thérèse Lapierre et Rita Parenteau, apprenties jardinières, marchent dans une allée d'un potager du Jardin botanique de Montréal. L'une porte un arrosoir, des râteaux et un sarcloir, l'autre, une caisse de bois

Des apprentis jardiniers marchent dans une allée d'un potager du Jardin botanique de Montréal en portant des râteaux, une fourche à bécher, un sarcloir et une houe

Dessin d'un hoyau simple ou bec-de-cane. Il s'agit d'une petite houe à lame courbe taillée en biseau. Sorte de pioche constituée par un fer courbe assez large, fixé perpendiculairement à un manche d'environ un mètre de long, ce type de hoyau sert à creuser la terre en la tirant vers soi. D'usage courant, cet outil est employé lors des travaux de construction relatifs aux activités militaires et défensives; lors des travaux de maçonnerie et de menuiserie réalisés tant en construction navale que sur les chantiers routiers et miniers. Selon les inventaires après décès répertoriés par le spécialiste en ethnologie du Québec, Robert-Lionel Séguin, son usage se trouvait largement répandu parmi les habitants de la Nouvelle-France

Dessin d'un marteau à double tranchant. Cet outil sert à fendre les blocs de pierre de taille pour leur donner leur première forme. D'usage courant, il est employé pour la maçonnerie, le terrassement et le travail de la pierre en général. Il est lié au secteur de la construction immobilière, militaire, défensive ou encore routière

Il s'agit de fermes situées à Sainte-Clotilde-de-Châteauguay. Nous remarquons les visiteurs devant un bâtiment (E6,S7,SS1,P53073), aux champs (E6,S7,SS1,P53075 et E6,S7,SS1,P53076); visitant une culture de céleri (E6,S7,SS1,P53078). Un ouvrier travaille avec une sarcleuse (E6,S7,SS1,P53079, E6,S7,SS1,P53080); des champs de brocolis appartiennent à M. Ampleman (E6,S7,SS1,P53081). Les scènes ont été photographiées pour le Service de l'information du ministère de l'Agriculture

Groupe d'ouvriers de la voirie travaillant munis de pioches à la construction d'un système d'égouts à l'angle de l'avenue Hickson et de la rue Gertrude à Verdun, devant des maisons à logements multiples. Nous remarquons des tuyaux placés sur le trottoir et des passants observant les travaux

Nous voyons un groupe d'hommes de la voirie travaillant à la construction d'un système d'égoût, à l'aide de pioches sur la rue Gertrude à Verdun. Nous apercevons quelques personnages en tenue de ville observant les travaux

Nous voyons un groupe d'hommes de la voirie travaillant à la construction d'un système d'égoût, à l'aide de pioches devant le numéro 3991 de la rue Gertrude, à Verdun. Nous apercevons derrière eux deux camions chargés de terre et une boutique placardée d'enseignes publicitaires de coca-cola et d'autres boissons gazeuses

Dans la première partie de la caricature, un homme s'apprête à donner un coup de pioche à un blanchon. Dans la deuxième partie, l'homme souffre énormément de s'être donné un coup de pioche sur le pied. Pendant ce temps, le blanchon applaudit à la suite de la maladresse de l'homme