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Archival description
Fonds Famille Pouliot
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Correspondance de Jean-Baptiste Pouliot et de sa famille

Le corpus documentaires de ce fonds est principalement composé de correspondances, télégrammes, cartes postales, cartes ou reçus qui permettent tous de retracer les liens, d'affaires ou personnels, de Monsieur Pouliot avec sa famille et les citoyens. Cette sous-série comprend donc trois parties: la correspondance de Jean-Baptiste Pouliot, de son épouse Sophronie Blais et de leurs enfants. La correspondance reçue et expédiée par Jean-Baptiste Pouliot couvre les années 1842 à 1878 et témoigne surtout de ses activités de notaire. Sont donc regroupés des demandes de renseignements, des réponses, des avis de cabinets d'avocats, des successions, des actes de donation, des lettres du Bureau de la Chambre de notaires, etc. Nous pouvons aussi y lire des lettres retraçant son rôle d'agent pour la seigneurie des Fraser à Rivière-du-Loup, tout comme celles reliées aux intérêts et à la succession des Fraser. Nous pouvons, de plus, y retrouver des informations concernant ses affaires personnelles, dont des causes judiciaires, des comptes financiers, des placements divers avec des compagnies d'assurance et des cabinets d'avocats, des polices d'assurance, diverses actions, ses transactions financières, des assemblées de créanciers, etc. Également, ce fonds trace le portrait de ses activités de prêteur d'argent à des particuliers et à certains membres de sa famille plus ou moins immédiate. Le dernier élément relié à ses affaires concerne, par exemple, ses nombreuses propriétés, terrains, ventes et revenus de location. Les lettres concernant son travail de préfet du comté de Témiscouata concernent, quant à elles, principalement les divers aspects de la colonisation de ce territoire. Ses intérêts dans les chemins de fer sont reliés au commerce du bois de sciage (lumber) et du transport de la poste (ex.: Isle Verte). Il se trouve aussi des lettres témoignant de ses relations d'affaires avec Grand Trunk Railway of Canada et l'Intercolonial Railway, lettres traitant d'achats de terrains par ces compagnies, d'évaluations de propriété, de négociations reliées au dessin du trajet emprunté par le chemin de fer et les coûts des tarifs ferroviaires reliés au commerce du bois. La correspondance de Sophronie Blais témoigne principalement de ses relations avec les membres de sa famille et ses ami(e)s. Enfin, il se trouve quelques lettres d'individus lui demandant d'intercéder en leur faveur auprès de son mari au sujet de prêts d'argent. Enfin, la correspondance des enfants réunit principalement des lettres de leur père, des membres de la famille et d'amis

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Correspondance de Charles-Eugène Pouliot et de sa famille

Cette sous-série comprend trois parties reflétant la correspondance compilée de Charles-Eugène Pouliot, de son épouse Stella Bertrand et, enfin, de ses enfants. La correspondance reçue et expédiée par Charles-Eugène Pouliot couvre principalement les années 1873 à 1897. Ses études au Séminaire de Québec regroupent des lettres témoignant de ses relations avec les membres de sa famille et ses amis. D'abord, ses activités d'avocat font état d'une correspondance régulière avec son frère Alphonse au sujet des affaires de leur père Jean-Baptiste Pouliot et de leurs démêlés juridiques avec la succession d'Alexandre Fraser. Par exemple, il y est question de transactions financières, d'achats et ventes de terres ou de propriétés, de poursuites et de stratégies à mettre sur pied en vue des poursuites en cours, de saisies, etc. Fait intéressant, nous pouvons y voir des lettres témoignant de l'attitude de leur père envers ses emprunteurs, des réactions des gens face aux montants demandés, des menaces de saisies, des lettres d'emprunteurs expliquant les raisons de leur incapacité de payer, etc. Il se trouve ensuite des lettres concernant les activités des cabinets d'avocats où Charles-Eugène Pouliot a été impliqué, soit des lettres traitant des sommes destinées à des honoraires d'avocats, à des individus, des paiements de compte, placements, verdicts de procès, renseignements échangés sur des individus et des procès. Ses relations avec l'Intercolonial Railway permettent des lettres fournissant des informations sur des poursuites diverses, des terrains et lots possédés par la compagnie, les frais de service demandés par ce dernier à l'Intercolonial et, enfin, des requêtes de propriétaires de terrains. Par ailleurs, ses activités de politicien témoignent de son intérêt pour la politique avant son entrée en politique active. Les lettres s'intéressant à son travail de député fédéral de Témiscouata (libéral) font état de ses relations avec le Premier ministre du Canada de l'époque, Wilfrid Laurier, des injustices vécues par ses partisans sous le règne des Conservateurs, de différentes requêtes de citoyens (demandes d'emplois, de services, de faveurs, etc.), des félicitations pour sa victoire aux élections fédérales de 1896, etc. Notons la présence de lettres témoignant de son implication dans le patronage de l'Intercolonial Railway dans son comté. À cet effet, nous y retrouvons plusieurs lettres au sujet d'emplois au sein de cette compagnie, dans des usines, ateliers, etc. Quant à la correspondance de Stella Bertrand, elle regroupe principalement des lettres de sa famille et de ses amis, et la correspondance des enfants réunit uniquement les lettres de Soeur Marie de l'Ange-Gardien (Alexandrine). Outre les lettres, nous trouvons, dans cette sous-série, des cartes postales, des télégrammes et des listes de noms

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Correspondance de Joseph-Camille Pouliot et de sa famille

Correspondance, télégrammes, listes de noms, accusés de réception, cartes postales, cartes et reçus, autant de pièces pour constituer un fonds complet et faisant un tableau détaillé des relations de cette famille. En fait, cette sous-série comprend trois parties: la correspondance de Joseph-Camille Pouliot, de ses épouses et de ses enfants. La correspondance reçue et expédiée par Joseph-Camille Pouliot couvre les années 1874 à 1935. Quant à la partie traitant de ses activités d'avocat, elle regroupe des documents ayant trait à ses relations avec ses frères Louis-Alphonse et Charles-Eugène. Il y est question de ses affaires, des causes en cours et stratégies à adopter. Il se trouve aussi des lettres concernant ses relations avec plusieurs Premiers ministres successifs du Québec (Honoré Mercier, Simon-Napoléon Parent et Louis-Alexandre Taschereau) et différents ministres fédéraux et provinciaux. À ce sujet, nous pouvons y voir une correspondance soutenue avec son beau-frère politicien sur la scène fédérale, Rodolphe Lemieux, qui a occupé différents ministères au cours de sa carrière politique. Il y a aussi des échanges de renseignements concernant différentes causes avec des confrères avocats, des lettres concernant ses activités de prêteur (dettes de particuliers, créances et saisies) et affaires conclues en son nom par Charles-Eugène. Il se trouve aussi des documents reliés aux successions de F.-X. Blais, de Charles-Eugène et Alexander Fraser (polices d'assurance, balances de compte, débiteurs, terrains, etc.). Les documents relatant son implication en politique font état d'une correspondance soutenue avec le Premier ministre du Canada de l'époque, Wilfrid Laurier. Nous pouvons y retrouver des lettres concernant plusieurs élections fédérales, dont celles de 1891, 1897, 1900 et 1908. L'organisation électorale montre son implication à divers niveaux: le journal libéral LE CLAIRON, les enquêtes sur des individus, le patronage politique, les listes électorales (par exemple Isle Verte, Trois-Pistoles), brochures, discussions et orateurs, assemblées menées par Joseph-Camille Pouliot à Fraserville, lettres concernant la corruption électorale, etc. Également, se retrouvent des lettres d'électeurs lui demandant d'utiliser son influence pour avoir un emploi ou encore, des lettres recommandant certaines personnes pour des postes précis, par exemple, au sein de l'Intercolonial Railway, des bureaux de poste, de la fonction publique, etc. Enfin, nous y voyons des lettres concernant des travaux, contrats, services, etc. Dans un autre ordre d'idées, les pièces traitant de ses activités en tant que juge font état de ses relations entretenues avec les autres juges de la Cour supérieure du Québec et avec des cabinets d'avocats. Par exemple, nous pouvons y voir des lettres provenant de confrères juges et des demandes de renseignements. La correspondance relative à ses propriétés regroupe des documents ayant trait à ses intérêts dans plusieurs compagnies et, plus particulièrement, dans l'intercolonial Railway, Canada Paper Company, Compagnie des Eaux, Compagnie électrique et du téléphone (Saguenay), Témiscouata Railway, Fraserville Company, Canadian Rubber Co. of Montreal, Canadian Paper Co. Limited, etc. À propos de ses propriétés foncières, se trouve également la correspondance soutenue avec Yvonne Chamberland et madame L. de la Cuevale , dames qui s'occupaient de ses affaires (propriétés, terrains, locataires), et nous pouvons y retrouver des documents concernant les seigneuries (Saint-Fabien, Île d'Orléans). En ce qui concerne ses activités d'historien, elles font état de l'intérêt de Joseph-Camille Pouliot et de son épouse Eugénie Lemieux pour l'Histoire du Canada et la généalogie des familles Pouliot et Lemieux. Il y a d'ailleurs une vaste correspondance concernant la généalogie. Il est question des nombreux ouvrages écrits par ce dernier (commandes, critiques, reçus), dont VIE DE LA VÉNÉRABLE MARIE-CRESCENCE DE KAUFBEUREN EN BAVIÈERE de 1897, GLANURES HISTORIQUES ET LÉGALES AUTOUR DE L'ORDONNANCE DE LA MARINE DE 1681 de 1925, QUÉBEC ET L'ÎLE D'ORLÉANS de 1927, ÉVOCATIONS HISTORIQUES, HISTORICAL REMINDER et GLANURES HISTORIQUES ET FAMILIALES tous de 1928, LES GLANURES GASPÉSIENNES et LA GRANDE AVENTURE DE JACQUES CARTIER de 1934. Nous pouvons voir aussi des lettres concernant ses relations avec ses imprimeurs, éditeurs et des librairies. Il se trouve des demandes de renseignements à la Bibliothèque nationale, aux Archives nationales du Canada, à des particuliers, etc. Enfin, il y a plusieurs lettres concernant ses ouvrages et ses dons de livres à plusieurs personnes ou groupes. La correspondance d'Yvonne Hudon fait état du voyage de son époux en Europe en 1894. Il y est question de l'itinéraire emprunté par ces derniers à travers des lettres relatant ses aventures en sol européen. La correspondance reçue et expédiée par Eugénie Lemieux couvre précisément les années 1899 à 1963. Nous y retrouvons des lettres de son époux, de ses enfants et de la famille Lemieux. Ces lettres relatent la vie familiale et, en particulier, la naissance de leurs enfants. S'y retrouvent aussi des lettres concernant l'intérêt d'Eugénie Lemieux pour l'Histoire du Canada. À ce sujet, il y a des documents reliés à la commercialisation de son jeu de cartes QUI SAIT ? / WHO KNOWS ? sur l'Histoire du Canada datant de 1908 et à son livre EN ROUTE POUR LE NOUVEAU MONDE AVEC CARTIER de 1934. Il y a aussi des lettres concernant ses affaires et celles de son mari (placements, actions, propriétés, etc.) et ses relations constantes avec Yvonne Chamberland. Enfin, nous retrouvons des lettres concernant le décès de son mari, en décembre 1935, et la succession. Finalement, la correspondance des enfants réunit principalement des lettres de leurs parents, des membres de la famille et des amis

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Documents d'Eugénie Lemieux-Pouliot

Les documents textuels conservés par Eugénie Pouliot concernent tout d'abord la succession de son époux, Joseph-Camille Pouliot, notamment son testament, ainsi que la gestion des biens légués et des biens personnels provenant de la famille Lemieux. Nous y trouvons des actes notariés (ventes, dation, interdiction, etc.), des certificats d'action, des livrets de banque, des livres de comptes (1927-1957), des reçus, des chèques et des états de ses diverses rentes provenant de placements ou de biens immobiliers, etc.; complètent ce fonds des documents personnels (notes, cartes) que lui adressent ses enfants ainsi que des recettes manuscrites ou imprimées extraites de journaux et de revues. Notons que les documents iconographiques sont surtout constitués de photos d'Eugénie Pouliot au manoir Mauvide-Genest à l'Île d'Orléans. Certains des termes rattachés ont été extraits de descriptions à des niveaux inférieurs apparaissant dans l'instrument de recherche

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Île d'Orléans et ses paroisses

Cette série est composée des documents accumulés par Joseph-Camille Pouliot pour la rédaction de ses ouvrages historiques sur la région de Québec et sur l'Île d'Orléans. Elle se voit donc composée de documents anciens, de transcriptions des registres d'état civil, de listes des noms de famille de l'Île, liste des électeurs, de sermons des curés et d'actes notariés qui expriment l'évolution du territoire et des familles qui l'habitent. De nombreux chapitres de l'histoire de l'Île sont couverts par des conférences du juge Pouliot; celui-ci y parle des notes et textes des colons, des curés, du régime seigneurial, du Chantier maritime Saint-Laurent. Une documentation a aussi été regroupée par paroisse (Saint-Laurent, Saint-Jean, Sainte-Famille, Saint-Pierre, Saint-François) et elle comprend des notes au sujet des familles, des transcriptions, des coupures de presse, des conférences lors d'anniversaires, des sermons, des lettres et déclarations de citoyens, etc. En parcourant l'Île d'Orléans, en 1929-1930 surtout, Joseph-Camille Pouliot avait accumulé un nombre considérable de documents du Régime français dont il a dressé des listes sous le titre «Papiers à moi donnés». (P436,S8/2). Ces papiers lui permirent, d'une part, d'étoffer ses connaissances topographiques et historiques de l'Île et, d'autre part, de dresser la généalogie des familles grâce aux testaments, aux inventaires après décès et à la transcription des registres paroissiaux. Ainsi, trouvons-nous des compilations par noms de famille, par paroisse et par ordre alphabétique des noms de famille. Certaines figurent en évidence, telles les d'Estimauville, les Mauvide-Genest, les Pouliot mais aussi les Asselin, les Blais, les Blouin, les Coulombe, les Gosselin, les Hébert, les Létourneau, les Poulin, les Royer, les Turcotte, etc. Nous trouvons, en outre, quelques dossiers relatifs aux familles de Château-Richer, de Montmagny (les ) et de l'Île-aux-Grues. Les documents qui portent sur le Manoir Mauvide-Genest et la famille sont toutefois peu nombreux. Les documents iconographiques de cette série concernent surtout le manoir Mauvide-Genest ainsi que quelques personnages, activités et édifices de l'Île d'Orléans. Les documents de l'acquisition numéro 2012-02-016 nous proviennent de Monsieur Guy Turcotte - famille Jean-Joseph Turcotte. Ces documents illustrent principalement les activités de certains membres des familles Mauvide, Genest, Pouliot et Turcotte. Les documents (principalement des documents notariés) couvrent les années 1732 à 1915 et permettent de retracer l’histoire de l’Île d’Orléans. Les documents de l'acquisition numéro 2013-08-004 nous proviennent de Monsieur Guy Turcotte - famille Jean-Joseph Turcotte. Cette acquisition contient quatre (4) documents textuels à savoir : un document officiel authentifiant que Jean Mauvide exerce la profession de chirurgien sur l'Île d'Orléans, signé le 20 juillet 1732 par Michel Sarrazin; un document signé par l’intendant François Bigot, daté du 11 mai 1753, nommant Jean Mauvide Chirurgien Major; un calepin dans lequel Wenceslas Turcotte décrivait toutes les tâches à accomplir pendant qu'il était lieutenant dans la milice en 1872; une liste des achats entre le 18 septembre 1875 et le 31 janvier 1876 de Mme veuve François Simard (née Olympe Clavet), épouse en secondes noces de Wenceslas Turcotte

[Fête champêtre]

Groupe de jeunes gens qui préparent une fête : installation de tables et chaises à l'extérieur, préparation de sandwiches, installation de banderolles, panneau «Café terrasse Le Tournesol», épluchette de blé d'Inde. Fleurs, arrivée des invités, gens costumés, dessin collectif, musiciens, clown, voitures anciennes. Numéro de référence: FC2001-092

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