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Fonds Paul-André Fortier Groupe Nouvelle Aire (Montréal, Québec)
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Revue de presse 1979-1980

Ce dossier de presse témoigne des débuts de Paul-André Fortier comme chorégraphe indépendant au Québec comme à l'étranger. Nous suivons sa carrière à travers ses premières créations, notamment deux chorégraphies créées en 1979 pour le Groupe Nouvelle Aire : Rêve 1 » en février et mai 1979 et « Parlez-moi du cul de mon enfance » en novembre 1979. Suit une tournée en France au cours de laquelle il interprète une chorégraphie de Michel Caserta, intitulée « Visage de sable » à Vitry en avril 1980. Il présente une nouvelle création intitulée « Violence Décadence et Indécence » tour à tour à Paris, Vitry, Colombe, Bordeaux (France) et à Cologne en Allemagne. Ce dossier renferme une entrevue avec l'artiste accordée en décembre 1980

Échange France-Québec avec Michel Caserta

Ce dossier porte sur une coopération franco-québécoise dans le domaine de la danse entre l'Ensemble chorégraphique de Vitry sous la direction de Michel Caserta et les compagnie Danse-Théâtre Paul-André Fortier et le Groupe Nouvelle Aire. Le chorégraphe Michel Caserta présente « Les abysses » à la salle de L'Institut canadien de Québec et au Théâtre Marie-Gérin Lajoie de l'UQAM alors que Paul-André Fortier offre trois chorégraphies de son cru : « Fin, Violence et Pow...T'es mort... ». Le Groupe Nouvelle Aire accueille Michel Caserta dans le cadre de ses Choréchanges à la Galerie UQAM

Cahier de notes 1978-1980

Ce dossier comprend un cahier de notes dans lequel nous retrouvons certaines données techniques concernant les deux premières chorégraphies créées en 1978 par Paul-André Fortier pour le Groupe Nouvelle Aire : « Derrière la porte un mur » et « Images noires » (costumes, décors, souliers, musique et éclairage). L'artiste y consigne également des images en vrac pour une chorégraphie non identifiée, commandée par le Groupe Nouvelle Aire, ainsi que les principaux éléments d'un cours d'interprétation en danse. Une bonne partie de ce carnet est consacré à l'organisation logistique d'une tournée au Québec du chorégraphe français Michel Caserta (étapes de la tournée, liste d'accessoires, contacts, programmation). Y figurent aussi les coordonnées de personnalités issues du milieu culturel québécois et français, d'organismes, de salles de spectacles, de ministères, consulats, ambassades. Des représentations des trois chorégraphies « Fin », « Violence » et « Pow » y sont également mentionnées à plusieurs reprises

Portrait de Daniel Léveillé

Portrait du chorégraphe-interprète Daniel Léveillé dont Paul-André Fortier a interprété plusieurs oeuvres. Mentionnons "Fleur de peau" en 1979, "L'étreinte" au début des années 1980 et "La tache rebelle" de 1987 à 1990 lors du spectacle "Fortier en solo". Tous deux ont débuté leur carrière au sein du Groupe Nouvelle Aire. Daniel Léveillé enseigne toujours la création chorégraphique au Département de danse de l'UQAM

Images noires. Versions 1981 et 1992

Cette vidéo comprend deux versions de la chorégraphie « Images noires ». La première datant de 1981 fut réalisée par Yves Racicot et produite par le service audiovisuel de l’UQAM. L’œuvre est interprétée par huit danseurs du Groupe Nouvelle Aire : Louise Bédard, Ginette Boutin, Gilles Brisson, Marie Brodeur, Louise Lecavalier, Manon Levac, Charles st-Onges et Alain Gaumond. La seconde version date de 1992. Toutefois, les danseurs et le contexte de création de ce spectacle ne sont pas identifiés

Entrevue "Danse et confidence". Édouard Lock

Ce dossier renferme deux enregistrements vidéo et sonore d'une entrevue donnée devant public par le chorégraphe montréalaise de réputation internationale Édouard Lock, dans le cadre de la série « Danse et confidences », initiée par Paul-André Fortier, lors de sa résidence à la Cinquième salle de la Place des Arts. Johane Despins anime cette émission radiophonique d’une heure qui sera retransmise sur la chaîne culturelle de Radio-Canada à l’automne 2004. L’Animatrice évoque d’abord l’enfance du créateur, né d’une mère espagnole et d’un père marocain. Élevé dans le judaïsme, il est un mélange de plusieurs cultures, se considère autant francophone qu’anglophone. Il n’est cependant pas issu d’un milieu artistique. Enfant plutôt rêveur et solitaire, il est très observateur, curieux des règles et des non-dits. Johane Despins rappelle ses trente ans de carrière, depuis ses débuts dès 1974 avec le Groupe Nouvelle Aire, aux côté de pionniers de la danse contemporaine au Québec : Martine Époque, Michèle Febvre, Paul-André Fortier, Ginette Laurin, Philippe Vita et Daniel Léveillé. L’artiste a beaucoup aimé cette compagnie où la hiérarchie n’existait pas vraiment et où chacun pouvait laisser libre cours à sa créativité. C’est dans ce contexte qu’il crée sa première chorégraphie en explorant des mouvements avec Ginette Laurin. Il a aussi dansé dans une œuvre de Daniel Léveillé avec Paul-André Fortier. Il débute ses propres tournées en Europe en 1982. Édouard Lock apprécie Montréal qu’il considère comme une capitale culturelle. L’anonymat dont il peut jouir ici lui semble très propice à la création qui exige une forme d’isolement. Lors du processus de création, il préfère rester dans sa réalité intérieure pour ne pas être influencé par d’autres créateurs. Il dit travailler en premier lieu sur la structure de l’œuvre, son architecture, sans musique et sans miroir. La musique ne vient qu’en dernier lieu. Il accorde aussi une grande importance au choix de ses danseurs avec lesquels il travaille en mode coopératif. Ses danseurs marquants, Marc Béland et Louise Lecavalier, allient force d’’interprétation et force athlétique. Les extrêmes jouent un rôle de premier plan dans la composition de ses œuvres. Il se dit fasciné par les extrêmes. Extrême lenteur et extrême rapidité sont pour lui deux polarités qui se rejoignent. Il faut pouvoir accepter la confrontation des limites. L’artiste ne cherche pas à intellectualiser ou à expliquer son œuvre. Tout est question de perception, selon lui. Il préfère laisser chaque spectateur construire sa propre interprétation de ce qu’il perçoit. Son œuvre peut paraître déroutante, voire déstabilisante pour certains. La danse comme le théâtre offre selon lui un contre-point aux valeurs affichées socialement. C’est un lieu unique de renouveau et de remise en question. Il apprécie beaucoup le caractère dynamique de la relation interprètes / spectateurs, propre à l’art de la danse

Revue de presse 1976-1978

Ce dossier comprend une couverture de presse portant sur les débuts de Paul-André Fortier comme danseur et chorégraphe au sein du Groupe Nouvelle Aire, sous la direction de sa fondatrice et directrice artistique Martine Époque. Il interprète entre autres les chorégraphies « Lianes », « Maboul » de Martine Époque. Il y crée sa toute première chorégraphie intitulée « Derrière la porte un mur »

Notes biographiques

Ce dossier contient plusieurs biographies en anglais et en français retraçant le cheminement de Paul-André Fortier dans l'univers de la danse contemporaine depuis ses débuts en 1973 avec le Groupe Nouvelle Aire et la création de sa propre compagnie Fortier Danse-Création jusqu'à aujourd'hui. Des notes biographiques sur l'artiste, extraites du site Internet de la compagnie et un disque compact contenant des biographies des principaux collaborateurs et membres de la compagnie dont Ginelle Chagnon, Alain Thibault, Denis Lavoie, Patrick Masbourian, Pierre Bruneau viennent compléter ce dossier. Ce disque renferme également divers documents de nature administrative

Derrière la porte un mur. Répétition

Nous assistons à une répétition en studio d’une chorégraphie intitulée « Derrière la porte un mur », sur une musique de Zoltan Kodaly. Il s’agit d'une œuvre commandée par le Groupe Nouvelle Aire, la première chorégraphie créée par Paul-André Fortier qui interprète ce duo lui-même avec la danseuse Ginette Laurin. La fiche technique de cette chorégraphie est la suivante : Chorégraphe : Paul-André Fortier Musique : Zoltan Kodaly Interprète : Paul-André Fortier et Ginette Laurin Décor : Françoise Sullivan Costume : Martine Haug

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