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Compagnie des Indes Québec (Québec : Ville)
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Déclaration faite au papier terrier de la Compagnie des Indes occidentales par Pierre Biron, laquelle déclaration étant relative à une place située près du fort Saint-Louis, en la Haute-Ville de Québec, où il a fait bâtir une maison

Transcription du texte avec orthographe modernisée : «Du 8 octobre 1667, les assises tenantes. Est comparu par-devant nous Pierre Biron (...) Déclare tenir de Messieurs de la Compagnie "des Indes Occidentales", seigneurs de ce pays, une place (...) proche le fort Saint-Louis (...) joignant d'un côté (...) Nicolas Marsolet (...) par derrière (...) D'icelui tous les ans au dit jour sur laquelle place le dit Biron a fait bâtir une maison consistant en une chambre (...) cabinet, cave et grenier et jardin derrière, de laquelle dite déclaration nous avons donné acte pour servir envers les seigneurs ce que de raison à la charge du dit cens et des droits seigneuriaux. L. T. Chartier Peuvret »

Déclaration faite au papier terrier de la Compagnie des Indes occidentales par Louis Fontaine, laquelle déclaration étant relative à six arpents de terre défrichée, bornés d'un côté par les Religieuses Ursulines et d'un bout par la Grande-Allée, sis et situés en la banlieue de Québec, sur lesquels il y a une maison

Transcription du texte avec orthographe modernisée : «Du dixième décembre 1667, les assises tenant à l'ordinaire, de relevée a comparu Louis Fontaine, lequel a avoué et déclaré tenir en la censive de nos dits seigneurs six arpents de terre six et situés en la banlieue de cette ville, joignant d'un côté aux religieuses Ursulines, d'autre Jacques Hédouin, d'un bout Noël Pinguet et d'autre bout la grande allée, les dits six arpents à lui appartenant par donation qui lui en aurait été faite par Antoine Brassard et Françoise Emery, sa femme, en considération du mariage du dit Fontaine avec Marie Madeleine Brassard, leur fille, par contrat passé devant Audouart (Audouard), notaire, le dix-neuvième octobre mille six cent soixante-trois, à la charge de six deniers de cens par chacun arpent payable à la recette du domaine du domaine par chacun an, au jour Saint-Rémi, le dit cens portant lods et ventes, saisines et amendes, &. &., la dite terre étant défrichée sur laquelle est une maison consistant en une chambre à feu, cave et grenier, se soumettant le dit Fontaine au payement du dit cens tant du passé que que pour l'avenir, et a déclaré ne savoir signer dont acte. L. T. Chartier Peuvret »

Déclaration faite au papier terrier de la Compagnie des Indes occidentales par Vincent Poirier, sieur de Bellepoire, en son nom et comme tuteur d'Anne Poirier et de Thérèse Poirier, laquelle déclaration étant relative à la quatrième partie en la consistance de quatre-vingt-cinq arpents de terre bornés d'un bout par le coteau Sainte-Geneviève et de l'autre par les terres de Coulonges, en la ville de Québec

Transcription du texte avec orthographe modernisée : «A comparu par-devant nous Vincent Poyrier (Poirier), Sieur de Bellepoire, au nom et comme père et tuteur de Anne et Thérèse Poyrier, enfants mineurs, issus de lui et de défunte Françoise Pinguet, vivante, sa femme, lequel au dit nom avoue et déclare tenir de nos dits seigneurs la quatrième partie en la consistance de quatre-vingt-cinq arpents de terre, tenant la dite quatrième partie d'un côté à la veuve et héritiers de feu Jean Gloria, d'autre aux enfants et héritiers de feu Pierre de Launay frère, vivant, des dits Anne et Thérèse Poyrier, d'un bout le coteau Sainte-Geneviève et d'autre bout les terres de Coulonges, la dite terre chargée de six deniers de cens par chacun arpent payable par chacun an au jour et fête Saint-Rémi portant lods et ventes etc. partie en labour et le reste en haut bois, aux dits enfants appartenant par partage qui en a été fait entre le dit Pierre Maheu (Maheux) et Henri de Launay (Delaunay), aïeul et tuteur des dits de Launay, lesquels ont divisé à l'effet du dit partage les dit quatre-vingt-cinq arpents qui appartiennent au dit Pierre de Launay par titre de concession qu'il en avait obtenu de l'ancienne Compagnie en date du vingt-neuvième mars mille six cent quarante-neuf, que le dit Sieur Poyrier nous a présentement exhibé signé Lamy, au payement duquel cent le dit Sieur Poirier s'est soumis au dit nom, tant du passé que pour l'avenir et a signé. L. T. Chartier Vincent Poirier Peuvret »

Déclaration faite au papier terrier de la Compagnie des Indes occidentales par Vincent Poirier, sieur de Bellepoire, laquelle déclaration étant relative à sept arpents de terre descendant vers la rivière Saint-Charles ainsi que quarante-deux arpents de terre en superficie pris sur six de front, sur lesquels sont quatre arpents défrichés et le reste en bois

Transcription du texte avec orthographe modernisée : «Plus le Sieur Poirier a déclaré tenir en son nom de nos dits seigneurs les terres qui se rencontrent en descendant vers la rivière Saint-Charles, tenant d'un côté Nicolas Bonhomme, d'autre la veuve et héritiers feu Jean Gloria, d'un bout le coteau Sainte-Geneviève, aux terres de Pierre de Launay (Delaunay), et de profondeur sept arpents vers la rivière Saint-Charles, à la charge de six deniers de cens pour chacun arpent et par chacun an payable au jour Saint-Rémi, le dit cens portant lods et ventes etc, la dite terre au dit Sieur Poyrier appartenant par titre de concession de Monsieur de Lauson (Lauzon), lors gouverneur, par lui à nous exhibé en date du vingtième juin mille six cent cinquante-six, contenant quarante-deux arpents de terre en superficie prise sur six de front sur laquelle sont quatre arpents défrichés, et le reste en bois, au payement duquel cent le dit Sieur Poirier s'est soumis tant du passé que pour l'avenir dont acte et a signé. L. T. Chartier Vincent Poirier Peuvret »

Déclaration faite au papier terrier de la Compagnie des Indes occidentales par Martin Boutet, sieur de Saint-Martin, laquelle déclaration étant relative à quelques arpents de terre défrichés sis et situés près du jardin du château en la ville de Québec

Transcription du texte avec orthographe modernisée : «Du dixième du dit mois et an de relevée, les assises tenant, le procureur fiscal présent. A comparu par-devant nous Martin Boutet, Sieur de Saint-Martin, lequel avoue et déclare tenir en la censive des dits seigneurs (...) arpents de terre défrichés six et situés (...) diamant près le jardin du château (...) appartenant par donation qui lui en (...) par contrat de mariage et en faveur (...) feu Monsieur le chevalier de Montmagny (...) Contrat de mariage passé par-devant (...) Notaire en cette ville le dix-huitième (...) quatre dont il a fait exhibition (...) deux arpents ne sont chargés (...) procureur fiscal nous avons (...) pour chacun des dits (...) domaine au jour Saint-Rémi (...) lods et ventes saisines et amendes duquel cent le dit procureur fiscal (...) passé que pour (...) L'advenir (...) . L. T. Chartier M. Boutet Peuvret »

Déclaration faite au papier terrier de la Compagnie des Indes occidentales par Vincent Poirier, sieur de Bellepoire, laquelle déclaration étant relative à un emplacement contenant vingt-cinq toises de longueur sur dix toises et demie de largeur par-devant la rue de la Grande-Allée, en la Haute-Ville de Québec, sur laquelle il y a une maison, une écurie, une cour et un jardin

Transcription du texte avec orthographe modernisée : «A comparu par-devant nous Vincent Poirier, Sieur de Bellepoire, lequel avoue et déclare tenir de nos dits seigneurs un emplacement sis en cette haute ville de Québec contenant vingt-cinq toises de longueur sur dix toises et demie de largeur tenant d'un côté au palais de cette juridiction, d'autre à la veuve de Antoine le Boesme (Leboesme), par-devant la rue de la grande allée ou Saint-Louis, et par derrière l'huissier Levasseur sur laquelle place est une maison que le dit Sieur Poirier a fait bâtir consistant en une chambre à feu, cave et grenier, et proche d'icelle maison une écurie et un fournil a côté, le reste consistant en cour et jardin clos, le dit emplacement chargé de cinq sols de cens payable par chacun an au jour Saint-Rémi à la recette du domaine de nos dits seigneurs le dit cens portant lods et ventes saisines et amendes, au payement duquel cent le dit Sieur Poirier s'est soumis tant pour le passé que pour l'avenir, lequel dit emplacement lui appartient par titre de concession qu'il a obtenu de Monsieur Davaugour (D'Avaugour), lors gouverneur, le douzième octobre mille six cent soixante et duquel a été retranché neuf pieds en un sens et vingt-deux en l'autre par monseigneur de Mesy pour accroître le palais de cette juridiction, dont acte et a signé. L. T. Chartier Vincent Poirier Peuvret »

Déclaration faite au papier terrier de la Compagnie des Indes occidentales par Martin Prévost, laquelle déclaration étant relative à une place sise en la Basse-Ville de Québec, par-devant la rue Sous-le-Fort, sur laquelle il y a une maison consistant en une chambre, un cabinet, une cave et un grenier, et à un emplacement par-devant la rue descendante au Cul-de-Sac et port de Québec

Transcription du texte avec orthographe modernisée : «Du dixième décembre 1667, les assises tenant, de relevée, à l'ordinaire, le procureur fiscal présent. Est comparu par-devant nous Martin Prevost (Prévost), lequel a avoué et déclaré tenir en la censive de la Compagnie des Indes Occidentales, seigneurs de ce pays, une place sise en la basse-ville de Québec joignant d'un côté Mathieu Damour (Damours), écuyer, Sieur Deschaufour (Des Chaufours), conseiller du Roy au Conseil Souverain de ce pays, d'autre côté Guillaume Couture, par-devant la rue sous le fort, et par derrière le dit Prevost, sur laquelle dite place est une maison à lui appartenant, consistante en une chambre, un cabinet cave et grenier, la dite place par lui acquise du père Paul Ragueneau, procureur des Pères de la Compagnie de Jésus, par contrat de bail d'héritage passé par-devant Audouart, lors notaire, le vingt-deuxième juin mille six cent cinquante-neuf, moyennant la somme de huit livres de rente annuelle de bail d'héritage rachetable à toujours par la somme de cent soixante livres réduite par acte du (blanc) mois de mai mille six cent soixante et un à la somme de cent sols de rente, et attendu que la dite place est chargée de ces, Ouï le procureur fiscal nous l'avons chargée de trois sols payable par chacun an au jour Saint-Rémi à la recette du domaine des dits seigneurs au payement duquel cent le dit Prévost s'est soumis tant pour le passé que pour l'avenir, le dit cens portant lods et ventes etc, etc. Item, le dit Prévost avoue et déclare tenir des dits seigneurs un autre emplacement étant derrière le susdit tenant d'un côté le dit Sieur Damours, d'autre le dit Couture, par-devant la rue descendante au Cul-de-Sac et port de Québec, et par derrière la dite maison du dit Prévost, laquelle dite place lui appartient par contrat d'acquêt qu'il en a fait de Pierre Petit et sa femme passé par-devant le dit Audouart (Audouard), notaire, le vingt-cinquième juillet mille six cent soixante, moyennant le prix et somme de deux cent trente livres non chargée de cens pourquoi Ouï le procureur fiscal avons la dite place chargé de deux sols de cens portant lods et ventes saisines et amendes, le dit cens payable au dit jour Saint-Rémi par chacun an, au payement duquel cent il s'est soumis tant pour le passé que pour l'avenir dont acte et a signé, desquels contrats nous a été fait exhibition. L. T. Chartier M. Prevost Peuvret »

Déclaration faite au papier terrier de la Compagnie des Indes occidentales par Charles de Launay (Delaunay), en son nom et au nom de Louis de Launay (Delaunay) et Henri de Launay (Delaunay), laquelle déclaration étant relative aux trois quarts en la consistance de quatre-vingt-cinq arpents de terre d'un bout sur le coteau Sainte-Geneviève et d'autre bout sur les terres de Coulonges, sur laquelle il y a un corps de logis consistant en deux chambres à feu, une cave, un grenier, une grange et une étable

Transcription du texte avec orthographe modernisée : «Du quatorzième jour de décembre 1667, du matin, les assises tenant, le procureur fiscal présent. A comparu par-devant nous Charles de Launay (Delaunay), tant pour lui que pour Louis et Henri de Launay, ses frères, lequel avoue et déclare tenir en la censive de nos dits seigneurs les trois quarts en la consistance de quatre-vingt-cinq arpents de terre ou environ sur le coteau Sainte-Geneviève, l'autre quart appartenant à Anne et Thérèse Poirier, leurs soeurs utérines, joignant les dits trois quarts d'un côté Nicolas Bonhomme, d'autre côté les dits Poirier, d'un bout le coteau Sainte-Geneviève, et d'autre bout les terres de Coulonges, de laquelle dite quantité de quatre-vingt-cinq arpents de terre ou environ feu Pierre de Launay, père des dits Charles, Louis et Henri de Launay, aurait obtenu titre de concession de l'ancienne Compagnie à nous exhibé en date du vingt-neuvième mars mille six cent quarante-neuf signé Lamy, chacun desquels arpents étant chargé envers nos dits seigneurs de six deniers de cens portant lods et ventes etc., payable au jour Saint-Rémi par chacun an, laquelle étendue de terre est en labour y ayant sur icelle un corps de logis consistant en deux chambres à feu de plein pied, cave et grenier, une grange de quarante pieds de long et une étable de vingt-cinq pieds au payement duquel dit cens le dit Charles de Launay s'est soumis tant pour lui que pour ses dits frères en bas âge, duquel dit aveu et déclaration nous avons donné acte pour servir ce qu'il appartiendra et a signé. L. T. Chartier Charles des Launay Peuvret »

Déclaration faite au papier terrier de la Compagnie des Indes occidentales par Anne Convent, femme d'Étienne Blanchon dit Larose, veuve de feu Jacques Maheu (Maheux), laquelle déclaration étant relative à une place sise sur le quai, rue Notre-Dame, en la Basse-Ville de Québec, sur laquelle il y a une maison et deux boutiques

Transcription du texte avec orthographe modernisée : «Du douzième jour d'octobre mille six cent soixante-sept, de matin. Est comparue Anne Convent, femme d'Etienne Blanchon dit Larose de lui autorisée, auparavant veuve de feu Jacques Maheu (Maheux), laquelle avoue et déclare tenir des dits seigneurs la moitié d'une place située sur le quai et basse-ville de Québec, rue notre-Dame, contenant huit toises et demie ou environ de front sur la rue (...) Et de profondeur depuis la dite rue jusqu'au grand chemin (...) tendant de la basse à la haute ville tenant d'un côté au (...) de la dite rue et d'autre côté à Jean Maheu (Maheux), son fils (...) La dite place a été partagée comme dit est par moitié à la charge de trois deniers de censive, faisant moitié de six pour le total de la dite place ainsi qu'énoncée est apparu par titre en date du (...) mille six cent cinquante-cinq signé de Lauson (Lauzon), et plus bas, par Monseigneur, Roger, et scellé de ses armes, obtenu par le dit défunt Jacques Maheu (Maheux) le dit cens portant lods et ventes saisines et amendes (...) échoira que la dite Anne Convent s'est soumise (...) pour les arrérages du passé que pour la continuation à l'avenir chaque jour et fête Saint-Rémi, chef d'octobre, à la recette de Québec sur laquelle place la dite Anne Convent (...) appartenant consistant en une chambre (...) avec cour et grenier, deux boutiques sur le pignon avec une réserve à côté duquel aveu et déclaration et soumission nous avons donné acte pour servir et valoir en temps et lieu ce que de raison laquelle Convent a déclaré ne savoir signer. Peuvret L. T. Chartier »

Déclaration faite au papier terrier de la Compagnie des Indes occidentales par Nicolas Juchereau, sieur de Saint-Denis, laquelle déclaration étant relative au tiers d'une place sise en la ville de Québec, de quatre-vingts pieds de long, adjacente à un bâtiment appelé le Magasin neuf, appartenant à Jean Talon, intendant royal, sur laquelle il y a un corps de logis consistant en une chambre basse et haute, une cave et un grenier

Transcription du texte avec orthographe modernisée : «Du 14e décembre du matin, les assises tenantes à l'ordinaire, le procureur fiscal présent. A comparu Nicolas Juchereau, Sieur de Saint-Denis (Denys), lequel avoue et déclare tenir en la censive de nos dits seigneurs le tiers en une place de quatre-vingt pieds de long sur la moitié de l'espace qui se rencontre entre la maison des Gagnons (Gagnon) et un vieux bâtiment vulgairement appelé le magasin Neuf de présent appartenant à Messire Jean Talon, conseiller du Roy en ses conseils d'état et privé, intendant de justice, police et finances de ce pays, à cause de son acquêt, le dit tiers au dit Sieur de Saint-Denis (Denys) appartenant par contrat d'acquêt passé en cette ville par-devant Audouart, notaire, le vingt-sept décembre mille six cent cinquante-six, moyennant le tiers de la somme de seize cents livres tant pour le prix du dit emplacement que pour celui de la dite maison dite magasin Neuf à lui, à Jean Juchereau, Sieur de la Ferté, et François Bissot vendu par messire Charles de Lauson (Lauzon), prêtre, seigneur de Charny, lequel dit Sieur de Charny était propriétaire du dit emplacement par titre de concession qu'il en aurait obtenu de feu messire de Lauson (Lauzon), son père, en date du vingtième novembre mille six cent cinquante-quatre, moyennant trois deniers de cens pour le total du dit emplacement, payable au jour Saint-Rémi par chacun an, à la recette du domaine de nos dit seigneurs, le dit cens portant lods et ventes etc, sur partie duquel dit tiers d'emplacement le dit Sieur de Saint-Denis (Denys) a fait construire conjointement avec le dit Sieur de la Ferté un corps de logis dont la moitié lui appartient, lequel consiste en une chambre basse et une haute à feux de cheminées, cave et grenier, avec un fournil a côté, le surplus étant occupé en cour, se soumettant le dit Sieur de Saint-Denis (Denys) au payement d'un denier de cens par chacun an pour son dit tiers tant pour le passé que pour l'avenir dont acte et a signé, sans tirer à conséquence au partage fait entre lui et le Sieur de la Ferté et Bissot. L. T. Chartier Juchereau de Saint-Denis (Denys) Peuvret »

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