La série comprend des photographies et des vidéos de films dans lesquels a joué Gérard Poirier. Elle compte six dossiers

Le fonds porte sur la vie professionnelle de René Derouin en tant que graveur et artiste multidisciplinaire. Il documente l’ensemble de sa carrière artistique depuis ses études en beaux-arts, en 1955, jusqu’à 2013, année où il publie son autobiographie. Divisé en 10 séries, le fonds rend ainsi compte de plusieurs facettes de la vie de ce créateur réputé. Les dossiers de projets et carnets d’esquisses permettent de retracer l’évolution des œuvres de Derouin, entre 1955 et 2009, ainsi que son parcours créatif. La correspondance témoigne de ses relations amicales et professionnelles avec divers acteurs de la scène culturelle québécoise et internationale ainsi que de différents projets, notamment ses expositions dans plusieurs musées nationaux et internationaux. Des entrevues radiophoniques et télévisuelles ainsi que divers articles attestent la couverture médiatique accordée à l’artiste. Des captations audiovisuelles de ses œuvres et de ses interventions ainsi que des écrits personnels et publics viennent compléter la documentation de sa démarche artistique. Le fonds renseigne aussi sur la production de ses livres d’artiste et sur sa collaboration avec divers créateurs. À cet égard, il offre de l’information en particulier sur son travail avec le poète Gaston Miron, ami avec qui il réalise des projets d’édition et de conférence et à qui il rend hommage par son œuvre « À la recherche de l’Homme rapaillé ». Enfin, dans une moindre mesure, le fonds témoigne de la vie personnelle de René Derouin par une série de photographies familiales et la portion plus personnelle de sa correspondance. Le fonds contient des cahiers d’esquisses, des lettres personnelles et professionnelles, des manuscrits et des textes écrits par René Derouin pour des conférences, allocutions et ouvrages relatifs à l’art ainsi que des vidéos, films et enregistrements sonores d’entrevues qu’il a accordées ou de ses interventions artistiques. Il renferme également des photographies de famille, de voyages et de son travail, des agendas, des coupures de presse et des extraits d’articles écrits à son sujet ainsi que des notes de travail

La série porte sur la correspondance personnelle et professionnelle de René Derouin produite et reçue entre 1955 et 2013 et comprend à l'occasion quelques photographies. Elle rend compte de ses échanges avec sa famille, dont sa seconde épouse Jeanne Molleur, au cours de ses nombreux voyages, notamment au Mexique et en Islande. Elle témoigne de la réalisation de plusieurs de ses projets artistiques, dont la création et la mise en valeur de son œuvre « Migrations », de même que de sa collaboration avec nombre de musées, galeries d’art et artistes de la scène littéraire et du milieu des arts visuels canadiens et étrangers (particulièrement des États-Unis et du Mexique). Elle renseigne aussi de l’opinion de l’artiste sur différents sujets culturels à travers des lettres ouvertes qu’il a rédigées. Parmi ses correspondants l’on compte plusieurs de ses amis et collaborateurs dont plusieurs personnalités publiques : artistes, politiciens, écrivains, cinéastes et journalistes

Le dossier comprend des lettres provenant, entre autres, d'Aline et Philippe Carreau, Léo Coutu et Jerry Kampsitis, Janine [Derouin], Benoit Lacroix et Helen Escobedo

Le fonds nous renseigne sur l’enfance en Belgique de Sabine Martens, sur son mariage avec Souhail Eid et surtout sur leur cheminement à titre d’immigrants au Québec. Le fonds se compose essentiellement de correspondance. Il comprend des lettres de Sabine Eid écrites lors de ses séjours estivaux chez sa grand-mère, au pensionnat Val Notre-Dame, pendant son internat comme infirmière, ainsi que des lettres destinées à sa cousine Marie Halflants. Il compte une riche correspondance entre Sabine Eid et sa mère, Élisabeth Martens (de Halleux), lors du séjour du couple au Liban (1963-1966) et à compter de son établissement à Montréal (1967-1987). Il comprend en outre des lettres échangées entre Sabine et Souhail Eid, alors que ce dernier organise l’arrivée de sa famille à Montréal, des lettres reçues d'autres membres de la famille, des frères et sœurs notamment, et de la correspondance témoignant des démarches de la famille pour préparer leur immigration au Québec. Des photographies représentent des sujets tels que l’enfance de Sabine Martens, son mariage avec Souhail Eid, ainsi que leurs enfants. Quelques autres documents s’ajoutent au fonds : des faireparts, des diplômes, des cartes d’identités et des coupures de presse liées à l'implication bénévole de Sabine et à sa production artistique. Le fonds comporte quatre séries : S1 Jeunesse de Souhail Eid et Sabine Martens, S2 Vie commune en Belgique, S3 Vie au Liban et S4 Vie au Québec

Ce dossier comprend le tapuscrit « Graphies d'atelier : le trait continu / René Derouin », textes établis et présentés par Gilles Lapointe, publié en 2013

Le fonds Roger Varin et Jacqueline Rathé porte sur les orientations et réalisations des Compagnons de Saint-Laurent, de l’Ordre de Bon Temps, du Centre d’art dramatique, de la Compagnie de Montréal, des Compagnons de Saint-Thomas et de différents mouvements de jeunesse. Les archives de Roger Varin témoignent également de sa carrière de journaliste, d’éditeur de nombreux imprimés et d'éditeur-conseil à la compagnie d’assurance-vie la Société des Artisans. Le fonds comprend une volumineuse correspondance de Roger Varin et des lettres de Jeanne Benoit (Sauvé) et de Simonne Monet-Chartrand adressées à Jacqueline Rathé. S'y trouvent également des manuscrits des jeux scéniques écrits et mis en scène par Roger Varin pour souligner l'anniversaire de fondation de différents mouvements de jeunesse (Jeunesse ouvrière catholique, Jeunesse étudiante catholique, Jeunesse rurale catholique); le centenaire de Princeville (1948) et de la paroisse Notre-Dame de Lévis (1950); le cinquantenaire des caisses populaires Desjardins (1950) et de la ville de Shawinigan (1951). Le fonds compte aussi des rapports d'activités de l'Ordre de Bon Temps, des scénarios de l'émission « Samedi-Jeunesse », dans laquelle Roger Varin personnifiait le clown Poum, ainsi que des textes de l'émission « Dans tous les cantons » dont Roger Varin assurait la recherche et l'animation. Le fonds est composé de 15 séries : « Vie personnelle et familiale de Roger Varin et Jacqueline Rathé » (S1), « L'Ordre de Bon Temps » (S2), « Jeunesse étudiante catholique et Jeunesse étudiante catholique féminine » (S3), « Mouvements de jeunesse » (S4), « Mouvements nationalistes et sociaux » (S5), « Compagnons de Saint-Laurent » (S6), « Centre d'art dramatique » (S7), « Compagnies théâtrales et écoles de formation artistique » (S8), « Jeux scéniques et radiophoniques » (S9), « Maisons d'édition » (S10), « Journaux et revues » (S11), « Société Saint-Jean-Baptiste de Montréal » (S12), « Mouvements coopératifs et d'assurance-vie et caisses populaires » (S13), « Émissions radiophoniques et télévisuelles » (S14), « Rôles au cinéma et agent de distribution de films » (S15)

Ce fonds comprend l'ensemble des dossiers de juridiction pénale produits et conservés par la Cour municipale de Repentigny. Cette Cour municipale dessert plusieurs municipalités et garde des dossiers de causes en provenance des municipalités de Repentigny, Le Gardeur, Charlemagne et Lachenaie. Les documents des cours municipales permettent surtout l'analyse des contraventions aux règlements municipaux de toutes sortes, bien que les règlements touchant la circulation et le stationnement dominent. Des infractions aux lois et règlements provinciaux et fédéraux s'y trouvent aussi, encore une fois avec une dominance massive des causes découlant du Code de la route. Tandis que toutes les cours municipales ont la même juridiction criminelle que la Cour des sessions de la paix, elles n'ont pas toutes choisi d'exercer cette compétence. Il est parfois possible d'étudier l'évolution des moeurs et de la criminalité à travers les fonds des cours municipales. Enfin, à travers les causes pour recouvrement des taxes municipales, une analyse des relations entre la ville et ses contribuables est également possible. Plus globalement, des documents des cours du recorder et des cours municipales éclairent sur l'évolution du milieu de vie urbain et des moeurs des citadins. Ce fonds comprend les échantillons des dossiers de la juridiction civile ainsi que des dossiers des juridictions pénales, qui, dans ce tribunal, ont été classés dans un seul ensemble, sans distinction entre les lois et règlements municipaux, provinciaux et fédéraux. Les dossiers fournissent des détails utiles aux recherches de nature spécifique, quantitative ou sérielle. Ils contiennent les pièces déposées par les avocats des parties et des intervenants ainsi que les documents produits par les juges et les officiers de justice comme les huissiers et le greffier. Un dossier peut se limiter à une seule pièce, généralement une procédure introductive d'instance (comme un constat d'effraction). Par contre, les dossiers contiennent parfois une grande variété de pièces de procédure ainsi que des pièces à conviction ou «exhibits» déposées par les parties. Si les pièces de procédure offrent des renseignements d'ordre technique, les pièces à conviction ainsi que les déclarations, les répliques ou autres plaidoyers éclairent sur les fondements du litige. Pour retrouver un dossier, le chercheur qui ignore le numéro doit dépouiller les dossiers un à un, car il n'y a ni plumitif ni index des parties. Les dossiers concernent majoritairement des contraventions au code de la route avec les avis de paiement ou leur transfert à la cour municipale qui poursuit le contrevenant

Les documents conservés dans cette sous-série témoignent des stratégies communicationnelles mises en place par Fortier Danse-Création dans la poursuite de la réalisation de sa mission et de ses activités artistiques au Québec, au Canada et à l'étranger. Ils brossent, entre autres, un portrait de la signature visuelle officielle de la compagnie, des relations de presse avec les divers médias ainsi que des campagnes publicitaires mises de l'avant et de tout le volet promotionnel lié à la diffusion des spectacles