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Fonds Yves Tardif

  • CA QUEBEC P77
  • Fonds
  • 1974-1976

Les documents de ce fonds concernent la correspondance du député libéral Yves Tardif relativement à des interventions auprès des électeurs de la circonscription d'Anjou

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Fonds Cour des plaidoyers communs du district de Montréal

  • CA QUEBEC TL16
  • Fonds
  • 1763-1801

Les documents produits par la Cour des plaidoyers communs du district de Montréal offrent des renseignements sur l'histoire événementielle, l'analyse quantitative de phénomènes socio-économiques et politiques ainsi que sur l'administration de la justice dans les années suivant la restauration du droit civil canadien en 1774. Ce fonds couvre une période de seulement seize ans mais s'inscrit dans la lignée de la Cour supérieure, en passant par les cours du banc du roi. Siégeant à Montréal, la Cour des plaidoyers communs du district de Montréal génère des documents témoignant de l'évolution de la vie urbaine et des relations entre la ville et la campagne dans la région de Montréal. Le fonds porte sur des litiges de toutes sortes en matière civile, sans limites monétaires. Les documents judiciaires de ce tribunal reflètent l'existence des «deux solitudes» linguistiques et culturelles au lendemain de la Conquête. Ils ouvrent une fenêtre sur la vie quotidienne à Montréal au début du régime anglais, offrant un complément aux renseignements disponibles dans les greffes des notaires. Les documents versés se répartissent dans quatre juridictions : les matières civiles inférieures, les matières civiles supérieures, en tournée et les documents non-traités

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Fonds Cour de circuit

  • CA QUEBEC TP10
  • Fonds
  • 1844-1953

Les documents produits par la Cour de circuit offrent des renseignements sur une foule de sujets, de l'histoire événementielle à l'analyse quantitative de phénomènes socio-économiques et politiques, en plus de fournir une source essentielle pour les études sur l'administration de la justice. Ce fonds est d'autant plus riche qu'il couvre la période d'industrialisation et d'urbanisation intensive que connue le Québec de 1850 à 1920. Beaucoup plus décentralisée dans ses activités que la Cour supérieure, la Cour de circuit a généré des documents non seulement dans les chefs-lieux des districts mais également dans beaucoup de villages et petites villes, reflétant ainsi le développement de la vie urbaine et les relations entre agglomérations urbaines de toutes sortes et leur campagne environnante. Ce fonds porte sur des litiges en «matières civiles» mettant des sommes assez modestes en cause (moins de 200$). La majorité de ces litiges concernent le recouvrement de dettes, bien que d'autres types de causes s'y trouvent en moindre quantité, par exemple des causes en dommages-intérêt, des causes touchant les taxes municipales et jusqu'en 1919, des causes en citoyenneté. En définitive, ce fonds constitue une source très riche pour l'étude du niveau de vie de la majorité de la population en relation avec la conjoncture économique. La première série de ce fonds concerne les greffes où la Cour de circuit siégeait. Pour le Centre d'archives de Montréal, il s'agit des greffes des localités de Montréal, Saint-Jean, Joliette, Sorel, Saint-Hyacinthe, Sainte-Scholastique, Valleyfield, Saint-Jérôme, Beauharnois, Huntingdon, Marieville, Sainte-Martine, Napierville, l'Assomption, Sainte-Julienne, Coteau-Landing, Berthier, Saint-Liboire, Lachute, Terrebonne, Acton Vale, Saint-Benoît, Saint-Ours et Vaudreuil

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Fonds Cour d'appel pour le Bas-Canada

  • CA QUEBEC TP7
  • Fonds
  • 1791-1849

Les documents produits par la Cour d'appel pour le Bas-Canada offrent avant tout une source primordiale pour l'étude de la jurisprudence à une époque où les sources de jurisprudence imprimées sont très rares. À travers les documents concernant des litiges portés en appel, le chercheur peut obtenir des renseignements sur une foule de sujets, de l'histoire événementielle à l'analyse quantitative de phénomènes socio-économiques et politiques. Le fonds fournit en plus une source essentielle pour les études sur l'administration de la justice, notamment sur l'évolution du tribunal de dernier ressort et sur les processus d'appel. Le fonds porte principalement sur des litiges civils dont les montants en cause excédaient 10£ (de 1777 à 1792) ou 20£ (de 1793 à 1849). Peu de causes criminelles s'y trouvent, car aucun droit d'appel automatique n'existait en droit criminelà l'époque. Le fonds se divise d'abord dans des séries qui représentent la production des deux greffes ou palais de justice où la Cour d'appel a siégé: Québec pour l'est de la province et Montréal pour l'ouest. Pour le Centre d'archives situé à Montréal, il s'agit du greffe de Montréal

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Fonds Cour du banc du roi/de la reine

  • CA QUEBEC TP9
  • Fonds
  • 1850-1975

Les documents produits par la Cour du banc de la reine offrent des renseignements sur une foule de sujets, de l'histoire événementielle à l'analyse quantitative de phénomènes socio-économiques et politiques, en plus de fournir une source essentielle pour les études sur l'administration de la justice. Ce fonds est d'autant plus riche qu'il couvre une période qui a vu des transformations profondes dans la société québécoise, notamment la période de l'industrialisation et de l'urbanisation intensives de 1850 à 1920 et l'émergence de l'état providence. Les documents produits par la Cour dans sa juridiction criminelle proviennent de toutes les régions de la province. Siégeant dans tous les chefs-lieux, la Cour du banc de la reine a généré des documents qui témoignent des moeurs et de la criminalité dans les milieux urbains, semi-urbains et ruraux. Dans sa juridiction d'appel, ce tribunal a produit des documents indispensables pour l'étude de la jurisprudence et du fonctionnement et de l'efficacité des procédures d'appel. Le fonds porte principalement sur des litiges en matières civiles provenant de la Cour supérieure, de la Cour de circuit, des cours de magistrat et de la Cour provinciale. Ces litiges impliquent des montants supérieurs à une somme minimale, passant par étapes progressives de 100$ en 1849 à celui de 500$ en 1965. Des appels en matière criminelle étaient très rares au dix-neuvième siècle. À cette époque, des appels en matière criminelle n'étaient permis que pour erreur au niveau du procès de première instance. Au cours du vingtième siècle, le droit d'appel en matière criminelle s'élargit dans des procès par voie de chef d'accusation pour couvrir des questions de droit. À partir de 1961, toute personne condamnée à mort a également un droit d'appel autant contre sa condamnation que contre la peine fixée par le juge de première instance. Dans sa juridiction criminelle de première instance, cette cour fournit une source très riche en renseignements sur la criminalité et la régulation sociale et éclaire sur l'évolution des moeurs et des valeurs normatives dominantes. Le fonds se divise d'abord en des séries qui représentent la production des greffes ou palais de justice où la Cour du banc de la reine a siégé. Pour le Centre d'archives situé à Montréal, il s'agit des greffes de Montréal, de Saint-Jean, de Joliette, de Sorel, de Saint-Hyacinthe, de Sainte-Scholastique, de Valleyfield, de Saint-Jérôme, de Mont Laurier, de Beauharnois, de Sainte-Martine, de Napierville et de Lacolle

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Fonds Cour supérieure

  • CA QUEBEC TP11
  • Fonds
  • 1850-2011

Les documents produits par la Cour supérieure offrent des renseignements sur une foule de sujets, de l'histoire événementielle à l'analyse quantitative de phénomènes socio-économiques et politiques, en plus de fournir une source essentielle pour les études sur l'administration de la justice. Ce fonds est d'autant plus riche qu'il couvre près d'un siècle et demi de l'évolution de la société québécoise et que ses séries proviennent de toutes les régions de la province. Siégeant dans les chefs-lieux des districts judiciaires, la Cour supérieure a généré des documents témoignant de l'évolution de la vie urbaine et des relations entre la ville et la campagne. Le fonds porte sur des litiges de toutes sortes. Des causes en matières civiles, en ex parte, en faillite et toutes les causes se rapportant au droit familial ou à la Loi sur le divorce. La plupart des compétences civiles particulières s'y trouvent ou s'y sont trouvées avant la création de tribunaux spécialisés, judiciaires ou administratifs. Par exemple, la Cour supérieure tranchait les causes en expropriation jusqu'à la création du Tribunal de l'expropriation en 1973. C'est sans doute le tribunal civil qui connaît la plus grande variété de types de litiges. Le fonds se divise d'abord dans des séries qui représentent la production des greffes ou palais de justice où la Cour supérieure a siégé. Pour le Centre d'archives situé à Montréal, il s'agit des greffes de Montréal, de Saint-Jean, de Joliette, de Sorel, de Saint-Hyacinthe, de Sainte-Scholastique, de Valleyfield, de Mont-Laurier, de Saint-Jérôme, de Beauharnois, de Longueuil et Laval. Chacune de ses séries se subdivise en sous-séries composées des ensembles documentaires distincts par «juridiction» (des catégories de causes que les greffiers ont choisies d'organiser distinctement, comme «les matières civiles en général», «la faillite», «l'expropriation», etc.). Enfin, des sous-sous-séries regroupent les documents judiciaires (par exemple des dossiers, des plumitifs ou des registres des jugements) produits par ces juridictions

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Fonds Cour provinciale

  • CA QUEBEC TP13
  • Fonds
  • 1966-2001

Les documents produits par la Cour provinciale offrent des renseignements sur une foule de sujets, de l'histoire événementielle à l'analyse quantitative de phénomènes socio-économiques et politiques, en plus de fournir une source essentielle pour les études sur l'administration de la justice. Ce fonds est d'autant plus riche qu'il couvre la période de la Révolution tranquille et la mise en place d'un appareil étatique plus élaboré. Beaucoup plus décentralisée dans ses activités que la Cour supérieure, la Cour provinciale a généré des documents non seulement dans les chefs-lieux des districts mais également dans beaucoup de villages et petites villes, reflétant ainsi le développement de la vie urbaine et les relations entre agglomérations urbaines de toutes sortes et leur campagne environnante. Ce fonds porte sur des litiges en «matières civiles» mettant en cause des sommes assez modestes (moins de 1 000$ en 1965 et moins de 15 000$ en 1988). La majorité de ces litiges concernent le recouvrement de dettes, bien que d'autres types de causes s'y trouvent en moindre quantité, par exemple des causes en dommages-intérêts, des causes touchant les taxes municipales, des dépôts volontaires, des expropriations et des causes en citoyenneté. Une division distincte de la cour entend des petites créances à partir de 1972. En définitive, ce fonds constitue une source très riche pour l'étude du niveau de vie de la majorité de la population en relation avec la conjoncture économique. Les premières séries de ce fonds concernent les greffes où la Cour provinciale siégeait. Pour le Centre d'archives de Montréal, il s'agit actuellement des greffes des localités de Cowansville, Granby, Joliette, Lachute, Longueuil, Marieville, Vaudreuil-Dorion, Châteauguay, La Prairie, Mont-Laurier, Sainte-Agathe-des-Monts, Sainte-Thérèse-de-Blainville, Saint-Jean, Saint-Jérôme, Sorel, Saint-Hyacinthe et Valleyfield

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Fonds Marcel Chaput

  • CA QUEBEC P96
  • Fonds
  • 1959-1974

Ce fonds se compose de documents textuels, de manuscrits, portant sur la participation de Marcel Chaput à la cause indépendantiste et sur l'activité des mouvements au sein desquels il a oeuvré, le Rassemblement pour l'indépendance nationale (RIN) et le Parti républicain du Québec. Ils comprennent, entre autres, sa correspondance, ses discours et ses mémoires. Nous y retrouvons aussi des documents relatifs aux campagnes électorales, au référendum et au dépôt du cautionnement permettant la libération de Pierre Vallières. Quelques photographies, coupures de presse et affiches témoignent également des activités de Marcel Chaput au cours de la même période. Pour leur part, les documents sonores donnent un éclairage original sur le développement de la pensée et des organisations indépendantistes puisqu'ils sont, en grande majorité, le résultat des interviews réalisés par Marcel Chaput avec des ténors du mouvement indépendantiste québécois. Parmi les personnes entendues, mentionnons, entre autres, André d'Allemagne, François-Albert Angers, Raymond Barbeau, Pierre Bourgault, Gilles Grégoire, Gustave Lamarche et Jacques Parizeau. Ces interviews permettent de saisir l'ampleur des appréhensions de plusieurs dirigeants «historiques» du mouvement indépendantiste au moment où le Parti québécois se dirigeait vers le pouvoir

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Fonds Champlain Marcil

  • CA QUEBEC P174
  • Fonds
  • 1940-1985

Le fonds illustre les événements politiques, sociaux, culturels, religieux, sportifs et mondains qui ont fait l'actualité dans l'Outaouais québécois et ontarien, principalement de 1945 à 1980. Le fonds est divisé en six séries correspondant aux activités documentées. La première série, la plus importante, porte sur la carrière de Champlain Marcil comme photographe professionnel, notamment sa collaboration au quotidien Le Droit d'Ottawa (1954-1985); la seconde série documente le Congrès Eucharistique de Trois-Rivières (1940); la troisième série couvre le Congrès Marial d'Ottawa (1947); la quatrième série, intitulée Diocèse d'Ottawa, illustre l'architecture religieuse du Diocèse et a servi à la publication d'un livre sur le Diocèse d'Ottawa (1947); la cinquième série porte sur le 35e anniversaire du journal Le Droit (Ottawa, 1948); enfin, la sixième série comprend des photographies effectuées pour le quotidien "Le Droit" alors que Champlain Marcil était pigiste (1947-1953)

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Fonds Gaston Isabelle

  • CA QUEBEC P159
  • Fonds
  • 1960-1988

Le fonds documente la vie politique de M. Gaston Isabelle. Il est constitué de dossiers politiques reliés à la carrière de M. Isabelle. Sa carrière comme maire de Lucerne (Hull-Sud) est documentée grâce à des états financiers, de la correspondance et des procès-verbaux. Les documents produits au cours de sa carrière au gouvernement fédéral peuvent être divisés en quatre parties. Tout d'abord, on retrouve les dossiers concernant l'Outaouais. Mentionnons le district fédéral (Commission de la Capitale nationale), la Communauté régionale de l'Outaouais et sa Commission de transport (CTCRO), la Conférence consultative des parlementaires de l'Outaouais, la construction d'édifices fédéraux dans l'Outaouais québécois et ses conséquences sur le logement en région, le réseau routier de l'Outaouais et l'aménagement du territoire. De la correspondance avec les électeurs, les organismes régionaux et d'autres politiciens de la région (Michel Légère, Oswald Parent, Gilles Rocheleau) complètent cette partie. On retrouve également des documents concernant les activités de Gaston Isabelle à l'intérieur du Parti libéral du Canada, concernant notamment le financement et les campagnes électorales de 1968 à 1984. Des documents ont également été produits lors des interventions de Gaston Isabelle à la Chambre des communes, entre autres, de la correspondance, des discours, des extraits des débats, les questions qu'il a posées en Chambre, ainsi que des communiqués de presse Des dossiers dits "nationaux" sont également très bien documentés. On y retrouve de nombreux documents concernant la constitution et l'unité canadienne, les langues officielles, ainsi que des dossiers relatifs à des commissions d'enquête sur des sujets variés (industrie pharmaceutique, intégrité du territoire, légalisation de la drogue) et d'autres concernant les vétérans

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