Le fonds est surtout constitué de scénarios écrits par Denyse Benoit, qu'ils aient été réalisés ou non. Ces documents illustrent le travail professionnel de Denyse Benoit comme scénariste. Le fonds comprend également le cahier de production et le découpage technique du film "La fuite" (1983) de Robert Cornellier, ainsi que des documents divers comme une nouvelle de Louise Carré et un guide général.

Le fonds est constitué de six séries dont quatre subdivisions générales (1/ Affaires administratives, 2/ Structure organisationnelle, 3/ Ressources financières, 4/ Ressources humaines) et deux subdivisions spécifiques (5/ Diffusion au Québec et au Canada, 6/ Diffusion à l'étranger). Il contient des dossiers relatifs aux modes de diffusion, de la correspondance reçue et échangée entre le C.Q.D.C. et divers organismes à travers le Québec ou à l'étranger ; des dossiers sur les films inscrits au répertoire du C.Q.D.C. et des rapports. Il comprend aussi des dossiers sur des festivals et événements organisés ou parrainés par le C.Q.D.C. Enfin, certains dossiers contiennent des cahiers de projet. Ceux-ci se rattachent aux activités de publication de répertoires et de monographies sur les cinéastes ou à l'organisation d'événements thématiques sur le cinéma québécois. Parmi ces documents, certains sont relatifs aux films suivants : "Où êtes-vous donc ?" (Gilles Groulx, 1969), "La vraie nature de Bernadette" et "La mort d'un bûcheron" (Gilles Carle, 1972 et 1973), "La maudite galette" (Denys Arcand, 1972), "Le martien de Noël" (Bernard Gosselin, 1971), "Les dernières fiançailles" et "On n'engraisse pas les cochons à l'eau claire" (Jean Pierre Lefebvre, 1973), "Faut aller parmi l'monde pour le savoir" (Fernand Dansereau, 1971), "Jeunesse année zéro" (Louis Portugais, 1964), "Le retour de l'Immaculée Conception" (André Forcier, 1971), "Quelques arpents de neige" (Denis Héroux, 1972), "À soir, on fait peur au monde" (François Brault, 1969), "Guitare" (Richard Lavoie, 1974), "Les ordres" (Michel Brault, 1974), "Tu brûles…tu brûles" (Jean-Guy Noël, 1973), etc. Dans les régions, il y a eu plusieurs tournées qui ont eu lieu dans les endroits suivants : Trois-Rivières, Rimouski, Valleyfield, Gatineau, Rouyn, Saint-Césaire, Abitibi, Jonquière, Lanaudière, Estrie, Saguenay Lac-Saint-Jean, Thetford Mines, Gaspé, Kamouraska, Rivière du Loup, Matane, Sept-Îles, Napierville, etc.

Le fonds est constitué de scénarios, de projet de films, de rapports, de documents et de dossiers divers. On y retrouve entre autres des documents sur l'ACPAV et sur l'Association des producteurs de films, des dossiers divers sur des films ou des projets de films, sur le fonds canadien de film et vidéo, des documents administratifs et des agendas.

Le fonds est constitué de films, acétates et documents de divers sur les films d'animation. On y retrouve entre autres des documents administratifs et les éléments de production et de tirage des 30 productions de Ciné-clic ou de Vilains-Garnements, notamment les publicités pour Greenpeace, S.O.S. Racisme, La Croix-Rouge, Ambulance St-Jean. Le matériel témoigne des années de formation de ses fondateurs, notamment Pierre M. Trudeau, Cilia Sawadogo et Gérard Goulet. Parce qu'il documente tous les aspects du travail d'une maison de production, il permet de retracer et d'étudier l'évolution d'une compagnie spécialisée en animation artisanale. On y voit l'utilisation de techniques variées : animation sur acétate, papiers découpés, animation sur papiers découpés, animation sur papier dessiné au pastel, etc.

Le fonds est constitué de documentation sur les films d'Arthur Lipsett et sur sa manière particulière de travailler, de notes, montage et assemblage découpés. Il comprend les bobines de ses films ainsi que le matériel de production de certains films, dont "Fluxes" (1967) et "Strange Codes" (1972). Des centaines de photographies personnelles ou de photographies se rattachant à ses films complètent la documentation. On y retrouve entre autres des coupures de presse et de la correspondance, notamment une lettre de Stanley Kubrick et quelques lettres de John Cage qui témoignent de leur intérêt pour les films d'Arthur Lipsett. Le fonds contient aussi des objets, des accessoires, ainsi qu'une impressionnante collection de livres et de disques faisant partie de la bibliothèque de Arthur Lipsett. Ce fonds constitue une source d'informations unique pour l'étude du travail particulier de cet important cinéaste qui demeure méconnu au Québec.

Le fonds comprend des scénarios et synopsis, des plans de découpage techniques, des cahiers de production, des horaires de tournage ainsi que des documents divers. Les documents offrent une source d'information sur les productions auxquelles Jean-Baptiste Tard a collaboré en tant que directeur artistique, mais aussi comme décorateur ou assistant décorateur. Le Fonds contient aussi des photos et les plans d'une cloche conçue par Jean-Baptiste Tard, qui se veut une reproduction du clocher de l'église Saint-Jean-Baptiste sur la rue St-Jean à Québec.

Le fonds est constitué de documents qui informent sur les activités professionnelles de Vidéographe. En plus des documents administratifs (procès-verbaux du conseil d'administration, rapports d'activités…) le fonds possède une importante quantité de documents se référant au cinéma. On y retrouve des documents portant sur les festivals de cinéma, les productions et co-productions, ainsi que différents dossiers vidéographiques. Des photographies et de la correspondance viennent enrichir l'information contenue dans ce fonds incontournable pour qui veut étudier la production vidéographique québécoise.

Le fonds est constitué de documents iconographiques qui témoignent des activités du donateur comme photographe de plateau et de premières auprès de P. L'Anglais, R. J. Jarvis, P. Gury, R. Delacroix et généralement de Québec Productions ("Tit-Coq", "Un homme et son péché", "La Petite Aurore l'enfant martyre", "Le Curé de village", etc.). Il illustre aussi son travail comme pigiste pour le compte du journal "RadioMonde" qui l'amène sur plusieurs scènes de spectacles de variétés et dans les studios de la radio (CKVL). On retrouve aussi des documents relatifs aux premières années de la télévision de Télé-Métropole et à Joseph-Alexandre DeSève. Il y a également un grand nombre de photos qui portent sur la campagne électorale de Maurice Duplessis de 1948, sans oublier les originaux qui couvrent la période pendant laquelle Gariépy était membre des Fusiliers Mont-Royal. Ce fonds documente donc l'ensemble de la carrière de Roméo Gariépy. En plus de négatifs 4x5 noir et blanc pour lesquels existent des contacts classés par ordre de numéro de négatif donné par le créateur du fonds, il y a aussi des originaux en 35mm et en 2¼ x 2¼ ainsi que quelques diapositives.

Le fonds est constitué de documents de travail qui témoignent des activités du donateur comme réalisateur et directeur photo auprès de Francis Mankiewicz, Jacques Godbout, Anne Claire Poirier et Léa Pool. On trouve aussi des documents relatifs à son enseignement à l'Université du Québec à Montréal. On documente les différentes étapes de son travail : repérages, les tests d'éclairage et de sensitométrie et sa conception des images. Le fonds comprend quelques documents sur son travail et sa formation avant son arrivée au Canada. Ce fonds comporte également des documents sur sa période à la direction de la Production française de l'Office national du film qui témoignent de ses orientations et de ses réflexions. Il contient des photographies, scénarios, projets non réalisés, de la correspondance professionnelle et personnelle. Ce fonds documente donc l'ensemble de sa carrière.

Le fonds couvre toute l'activité artistique de François Girard. Les documents concernent surtout le film "The Red Violin" (Le Violon Rouge)(1999) dont on peut suivre toute la gestation et la réalisation depuis la recherche et les photos de repérage jusqu'à la musique originale et aux affiches étrangères. Des documents de même nature apportent également des renseignement sur les autres productions de François Girard comme "Short Films About Glenn Gould" (1993) ou "Cargo" (1990). Les documents renseignent également sur des mises en scènes et sur son travail en tant qu'artiste en résidence au Musée d'art contemporain de Montréal où il a monté l'installation mutimédia "La Paresse" (1999). On y retrouve aussi plusieurs projets non réalisés.