Le dossier comprend des portraits de membres des familles Langevin et Laforce. On y trouve également les abbés Majorique Bolduc, François-Xavier Bossé et Éloi-Victorien Dion, le vicaire apostolique Jos.-P. Machebeuf, le baron de Gauldrée-Boilleau, Frédérick Gerbié et autres. En outre, le dossier contient des vues de la Gaspésie, du port et de la basilique de Québec, des édifices fédéraux et de l'église Saint-Patrick d'Ottawa. Plusieurs photographies illustrent un voyage fait par sir Hector Langevin dans l'Ouest canadien et dans les territoires du Nord-Ouest. On y trouve des paysages de l'Ouest canadien, les chemins de fer et les viaducs, quelques villes et lieux, entre autres Fort Edmonton, ainsi que de la documentation relative aux indiens et métis dont Big Bear faisant la traite au Fort Pitt. Le dossier comprend des photographies relatives à Thomas Chapais et à son épouse Hectorine Langevin. On y voit entre autres, le sénateur Chapais discourant à la Place d'Armes à Québec et Hectorine Langevin parmi ses compagnes de la classe de dessin aux Ursulines. On y trouve aussi un album, ayant appartenu à madame Chapais qui contient des cartes, des poésies, des dessins et des gravures. Les photographies sont signées de A. Henderson (Montréal), Horetsky, Notman, Livernois, Livernois & Bienvenu, L.P. Vallée. Un ferrotype porte l'indication C.P.R. (exploring expedition). Quelques pièces iconographiques sont signées Walker. Certains des termes rattachés ont été extraits de descriptions à des niveaux inférieurs apparaissant dans l'instrument de recherche

Les documents photographiques de cette série illustrent divers aspects de la vie économique et sportive sur l'Ile d'Anticosti, les intérieurs du manoir et des images de voyages à Québec. Les photos sont contenues dans six dossiers : celles des années 1901 et 1905 étaient en album, les autres sont classées par année

Ce fonds est composé de documents qui illustrent la variété des travaux d'un marin, son emploi du temps et ses loisirs. Il est constitué de correspondance, notes, journaux de bord personnels dont un relatif à la vie sur le bateau "l'Artic" commandé par J.E. Bernier, mais aussi un journal de bord dont l'auteur est inconnu et un journal de bord du caporal T.R. Michelson annoté par Claude Vigneau. On pourra aussi se faire une idée des diverses controverses suscitées autour de la découverte du Pôle Nord vers 1910 grâce à des coupures de presse. Certains articles concernent plus précisément le capitaine Bernier. Enfin, on retrouve une copie du manuscrit de l'oncle de Claude Vigneau, Placide Vigneau, gardien de phare, sur la vie quotidienne et l'histoire de l'île d'Anticosti, dont l'original date de 1829. Les documents iconographiques contenus dans ce fonds représentent principalement les activités de Claude Vigneau durant sa carrière de marin. Pour terminer, un premier document cartographique représentant le trajet qu'a effectué le Capitaine Bernier lors de son voyage au Pôle Nord en 1896, et le second illustre plus ou moins bien le Détroit de Lancaster (Territoire du Nord-Ouest) en 1923

Illustration d'un voyage effectué par la famille Veilleux à Québec : Parlement, Château Frontenac, Terrasse-Dufrin, Place d'Youville, Basilique Notre-Dame de Québec et autres vues significatives. Des voyages à Rivière-du-Loup et Trois-Pistoles sont aussi représenté, de même qu'un camp forestier du Maine

Le fonds contient plusieurs documents textuels dont des programmes d'activités artistiques et culturelles réalisées à Québec, des cartes d'invitations, des lettres de Rose-Mary Coderre et de Jean Narrache (Émile Coderre), un journal de voyage de Marie-Emma Lavergne, des documents illustrant la carrière musicale de Joseph Lavergne, des coupures de presse et des documents retraçant l'histoire de l'Institution Chanoine-Beaudet de Saint-Pascal-de-Kamouraska. Les documents iconographiques de ce fonds sont majoritairement des documents produits par Lavergne comme photographe et artiste. Ces documents font voir les intérêts et les goûts de Lavergne pour la ville de Québec, pour la magie, la musique et le cinéma. Les documents sonores contiennent une entrevue du magicien, une émission de radio relatant un voyage et quelques enregistrements de pièces musicales. À titre de directeur de l'Institut canadien, de la Société de géographie de Québec et de plusieurs autres sociétés culturelles et artistiques québécoises, Joseph Lavergne a aussi rassemblé beaucoup de documents concernant ces sociétés. Ainsi a-t-il recueilli systématiquement les programmes des activités artistiques et culturelles qui se sont déroulées à Québec de 1916 à 1964. Ces documents enrichissent, entre autres, la collection que les Archives nationales du Québec possèdent sur le théâtre et la musique au Québec. Le seul document cartographique est une copie du plan du deuxième étage de la maison de M. Lavergne, rue Crémazie, en 1942 Le fonds d'archives se divise en quatre séries : Documents personnels (S1); Documents familiaux (S2); Activités professionnelles (S3); Activités sociales et culturelles (S4)

Cette sous-série est composée des documents produits ou reçus par Joseph-Camille Pouliot depuis ses années de collège jusqu'à son décès en 1935. De l'étudiant au Séminaire de Québec, nous possédons ses notes de cours de philosophie (rédigées en latin) alors que l'étudiant en droit a conservé les questions d'examen pour l'admission à l'étude du droit en 1885 ainsi que celles de l'examen du barreau en 1887. Le citoyen, l'avocat, le candidat libéral et le juge ont prononcé de nombreux discours, conférences, adresses sur les sujets les plus divers, dont la Nation française (1885), Wilfrid Laurier, le journal l'UNION DES CANTONS DE L'EST, Laure Conan, l'agriculture, le barreau d'Arthabaska, la guerre 1914-18, la magistrature au Québec à l'occasion de l'ouverture des sessions judiciaires ou ouverture des tribunaux, l'histoire de l'Île d'Orléans, la société québécoise, les canadiens-français (à titre de président de la Société Saint-Jean-Baptiste de Fraserville), l'éducation. Parmi les écrits de Joseph-Camille, nous possédons son journal de voyage en France pour 1894 (et non pas en 1884) ainsi que les documents relatifs à celui de 1906 en Angleterre, en Belgique et en France; nous possédons des textes manuscripts concernant Octave Crémazie, la notion de patrie, l'ordonnance de la marine de 1681, le capitaine J.-E Bernier, la VIE DE LA VÉNÉRABLE MARIE-CRESCENCE DE KAUFBEUREN, les historiques et familiales, qui traitent de l'Île d'Orléans de ses paroisses et de sa seigneurie; des notes historiques sur la ville de Québec, ses monuments et ses édifices (la Citadelle, l'Hôpital Laval, la Maison Maizerets, le Kent House, le couvent de Bellevue, l'Académie commerciale, le Château Bigot, etc.); nous avons également des poèmes et des chansons de circonstances dédiés parfois à Joseph-Camille (1899-1935), les commentaires manuscrits ou tirés de la presse à propos de ses publications à caractère historique (1927-28), l'enregistrement de ses droits d'auteur et brevets d'invention (mesure pour toiser le bois et poulie et courroie de sauvetage individuel en cas d'incendie). De l'avocat nous possédons ses livres de comptes (1902-1927) des activités de son bureau, alors que du juge nous avons des commentaires de la presse sur ses jugements ainsi que les dossiers, les causes qui l'opposèrent à la ville de Fraserville, (au sujet de l'expropriation de terrains) et à J.-Oscar Lavoie de Sainte-Cécile du Bic. Les documents de cette sous-série révèlent l'implication de Joseph-Camille dans diverses entreprises: propriétaire foncier, il fit construire ou aménager entre 1888 et 1917 des édifices qui abritèrent l'Hôtel Vandôme, l'Hôtel Victoria, la Maison dite «des Grecs», la Maison McKinnon; en octobre 1902, il se portait acquéreur d'un sixième de la Compagnie de téléphone de Kamouraska qui étendit bientôt ses activités aux comtés de Témiscouata, à Rimouski et jusqu'à Edmunston au Nouveau-Brunswick; dès 1901, il s'intéressa au pouvoir électrique en achetant «divers pouvoirs d'eau» à Saint-Pascal de Kamouraska, puis à Saint-Aubert, à la Rivière-Ouelle et au Bic et en se joignant, en 1903, la Corporation du Bic, du moins jusqu'en 1926; la même année, soit en 1901, il investit dans la St Lawrence Furniture Co dont il se retira bientôt en raison de conflits internes; il prit l'initiative de créer, vers 1908, la Compagnie Trans Saint-Laurent qui, grâce à Rodolphe Lemieux, recevait des subventions du gouvernement fédéral pour assurer la traversée entre Rivière-du-Loup et Tadoussac. Joseph-Camille Pouliot participa, de plus, à la création du Syndicat des touristes, compagnie formée pour faire l'acquisition du journal LE SAINT-LAURENT, et publier une revue hebdomadaire, LE SYNDICAT DES TOURISTES, ayant pour but de «faire connaître les endroits de villégiature du Bas Saint-Laurent et spécialement Saint-Siméon et la Rivière-du-Loup». Joseph-Camille Pouliot avait aussi accumulé des documents sur trois personnes: Roch Lyonnais, luthier, l'abbé F.X. Blais, beau-frère et curé de Rivière-du-Loup, J.-Elzéar Bernier, capitaine et explorateur. Les documents iconographiques de la sous-série portent essentiellement sur Joseph-Camille, sa famille, ses voyages et ses publications. Nous y trouvons des portraits du juge, de membres de sa famille, d'amis, comme le capitaine J.-Elzéar Bernier, le lieutenant-gouverneur Pierre-Évariste Leblanc ainsi que plusieurs photos de rencontres et d'activités familiales, particulièrement au manoir Mauvide-Genest de Saint-Jean sur l'Île d'Orléans. Les documents illustrent aussi des résidences, divers sites et personnages à Rivière-du-Loup, Québec, en Gaspésie, aux Îles-de-la-Madeleine et en d'autres lieux; quelques documents portent sur Jacques Cartier: plusieurs de ces photos, certaines sous forme de cartes postales, ont servi dans les publications de Pouliot. Enfin, la sous-série comprend quelques cartes de sympathie et de condoléances reçues lors du décès de J.-Camille Pouliot. Plusieurs photos ont été prises par Pouliot. Notons que les documents ont été classés en 11 dossiers. Certains des termes rattachés ont été extraits de descriptions à des niveaux inférieurs apparaissant dans l'instrument de recherche

La sous-série comprend quelques stéréogrammes et plusieurs épreuves photographiques illustrant divers événements en divers lieux, comme par exemple des expéditions, des visites de personnalités, des congrès ainsi que des personnages, des édifices, des moyens de transport, etc. Ces photographies ont été classées en quarante-cinq dossiers thématiques ou reportages

Cette série contient l'ensemble des dossiers produits et reçus par le Parti libéral du Québec au cours du mandat de Claude Ryan. Elle compte dix sous-séries dont les titres sont : organisation et activités du Parti libéral du Québec; allocutions, discours, écrits, conférences de presse de personnalités québécoises et canadiennes; élections générales et partielles au Québec; congrès à la direction, congrès pléniers et colloques; conférences fédérales-provinciales, interprovinciales et conférences spéciales; référendum de mai 1980; Commission sur l'unité canadienne; organisation, conventions du parti libéral (provincial et fédéral) et élections fédérales; autres partis politiques provinciaux et fédéraux; dossiers sectoriels. La série comprend des portraits de candidats et des photographies qui illustrent des assemblées et le congrès à la chefferie de 1983. On y trouve des photos de résidences de membres de l'Union nationale, d'autres relatives au Parti québécois ainsi que des affiches électorales, référendaires et promotionnelles. Un dossier concerne un voyage de militaires et de politiciens dont Jean Lesage dans le nord du Canada et au Groenland; les documents sont répartis dans huit dossiers. Les photos sont signées de : Studio St-Cyr (Trois-Rivières), Cinéphotec Inc. (Mtl), Ministère de la Défense nationale, Gérard Lacombe (Riki), Henri Leclerc, Rosaire Gamache (Beauce), Gaby, Hélène Côté, Thérèse Croteau, Bernard Duchesne, Jean Gravel, Doris Lamontagne (Mtl), Ginette Roux, Nicole Roux, Michel Tremblay. Certains des termes rattachés ont été extraits de descriptions à des niveaux inférieurs apparaissant dans l'instrument de recherche

Cette série contient une part importante et variée de la production des Livernois, soit plusieurs portraits de l'élite civile et religieuse de Québec, des mosaïques de divers groupes ainsi que des reportages variés sur des événements, des lieux ou illustrant des édifices de la ville de Québec. Un grand nombre de documents de la période de Jules-Benoit sont constitués de reproductions d'oeuvres d'art européennes, d'images religieuses, de représentations de personnages historiques et religieux dans tous les secteurs d'activité, comme les arts, les lettres, les sciences et la politique. En plus de représentations historiques sur le Canada, plusieurs autres documents sont le résultat de la cueillette de ce Livernois lors de son voyage en Europe, en 1863, cueillette que l'historien Michel Lessard présente comme "une histoire de l'Occident en 1200 images". Cette documentation sera publiée en 1866, soit après son décès, dans la Nouvelle galerie historique de la Maison Livernois. La reproduction par procédé photographique a permis de rendre accessibles et disponibles tous ces personnages et toutes ces oeuvres, particulièrement aux maisons d'enseignement, comme les collèges et couvents. Les documents étaient généralement numérotés et ces numéros inscrits sur les négatifs ou sur les épreuves. Concernant les pièces qui n'avaient pas de numéro, nous avons utilisé une numérotation qui commence à 300 000 pour éviter les duplications possibles. Certains des termes rattachés ont été extraits de descriptions à des niveaux inférieurs apparaissant dans l'instrument de recherche

Le Fonds Paul Vaillancourt, bien qu'incomplet, témoigne néanmoins de la vitalité d'une industrie florissante et bien connue dans la région de Québec. Outre la gestion et l'organisation du travail pour les années 1950-1972, les documents les plus significatifs se rapportent à la gestion des ressources humaines. En effet, Paul Vaillancourt, afin de tenir éloignés le syndicat et le syndicalisme de ses entreprises, avait conçu et élaboré un «plan social» qui régissait tout autant les relations sociales (y compris certains loisirs) que les relations de travail. L'arrivée d'un syndicat chez Jos Vaillancourt marqua donc la fin de l'ère d'une entreprise familiale axée sur la bonne entente, parfois «forcée», et le paternalisme éclairé. Les pièces photographiques contiennent des portraits des fondateurs, quelques scènes familiales et concernent surtout les installations des usines incluant les équipements, les divers produits fabriqués et, bien sûr, les employés au travail ou en groupes lors d'événements. Quelques autres documents visuels sont de type promotionnel, comme des emballages et des éléments publicitaires. Certains des termes rattachés ont été extraits de descriptions à des niveaux inférieurs apparaissant dans l'instrument de recherche. Plusieurs films sont à contenu familial, c'est-à-dire que nous y retrouvons divers épisodes de la vie de chacun des enfants de Paul, les noces d'or d'Adélard Deslauriers et de Marie-Anne Ferland en 1951 et plusieurs voyages à travers le Québec, les Amérique, les Antilles et l'Europe. Quatre documentaires promotionnels des années quarante, dont deux réalisés par Herménégilde Lavoie, font le portrait de l'entreprise Jos. Vaillancourt Inc.: technologie, installations, préparation des produits et employés