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Suisse
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Ordre donné par la Chambre d'administration du canton de Thurgau [Suisse], sur de prétendues rumeurs de déplacement de troupe française, en remontant le canton de Thurgau vers le canton de Senlis

Charge est donnée à Salomon Fehr, commissaire supérieur du canton de Thurgau de prendre sur toute la route que ces troupes pourraient prendre, les mesures qui s'imposeront aussi bien pour le cantonnement que la fourniture des besoins nécessaires pour fournir les fruits, les vins et le bétail nécessaires. Document signé à Frauenfeld par le secrétaire de la Chambre d'administration

Extrait du protocole de la cour d'appel du canton de Thurgau. Lecture d'une lettre de Salomon Fehr, premier secrétaire de la cour d'appel

Lettre par laquelle il demande pour le 31 mars de cette année, son départ du poste de premier secrétaire, détenu par lui depuis sept ans, et donnant comme motif pour sa démission, des engagements commerciaux qu'il a pris avec la manufacture Joli, Jagurnod's Corp., de France, lesquels l'obligent à être présent audit endroit

Etwas über den Krieg, gegen den Allgemeinen Willen im Kanton Thurgau, und Beantvortung der Proclamation der Regisrung, vom 18ten April 1814, von Salomon Fehr, Junger, Bürger von Frauenfeld, wohnhaft in Contamine bei Genf, 1814. Sur la guerre contre la volonté publique dans le canton de Thurgau et réponse à la proclamation

Document imprimé en Gothique. Proclamation politique. À la fin du régime, ou après l'abdication de Napoléon, le gouvernement du canton de Thurgovie octroyait au canton une nouvelle constitution que devait approuver le Conseil du canton. Or d'après Salomon Fehr, le gouvernement et le conseil étaient nés de la Révolution et de l'influence française en Suisse, et il leur manquait la continuité du droit. Il y avait une controverse entre le gouvernement issu du régime révolutionnaire français d'une part, et d'un comité de quatre d'autre part, ayant la majorité du peuple derrière lui selon Salomon Fehr, et réclamant une constitution à être établie par une entente entre les trois états. Le gouvernement avait fait appel aux miliciens du canton, pour se protéger contre les agissements du comité des quatre. C'est à ce moment que Salomon Fehr proclame ses vues

Etwas über den Krieg, gegen den Allgemeinen Willen im Kanton Thurgau, und Beantvortung der Proclamation der Regisrung, vom 18ten April 1814, von Salomon Fehr, Junger, Bürger von Frauenfeld, wohnhaft in Contamine bei Genf, 1814. Sur la guerre contre la volonté publique dans le canton de Thurgau et réponse à la proclamation

Traduction en français du document N° 23. Ceci est une proclamation politique. À la fin du régime, ou après l'abdication de Napoléon, le gouvernement du canton de Thurgovie octroyait au canton une nouvelle constitution que devait approuver le Conseil du canton. Or d'après Salomon Fehr, le gouvernement et le conseil étaient nés de la Révolution et de l'influence française en Suisse, et il leur manquait la continuité du droit. Il y avait une controverse entre le gouvernement issu du régime révolutionnaire français d'une part, et d'un comité de quatre d'autre part, ayant la majorité du peuple derrière lui selon Salomon Fehr, et réclamant une constitution à être établie par une entente entre les trois états. Le gouvernement avait fait appel aux miliciens du canton, pour se protéger contre les agissements du comité des quatre. C'est à ce moment que Salomon Fehr proclame ses vues

Société d'encouragement pour l'industrie nationale

Monsieur de la Chabeaussière, membre de la Société présente monsieur Salomon Fehr, propriétaire de plusieurs établissements d'industrie, demeurant à Genève [Suisse], lequel désire devenir membre de la Société, et a rempli les conditions exigées. Salomon Fehr est reçu sous le titre de correspondant étranger

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