André Kaltenbach du ministère de l'Industrie et du Commerce a commandé cette photographie montrant le départ de la mission économique à Dorval

Le fonds présentent en images un voyage réalisé par Soeur Réjeanne Tremblay stagiaire dans les écoles normales de France d'août 1965 à août 1966. Les documents illustrent également d'autres coins de l'Europe et du Québec

Ce dossier comprend surtout des notes de généalogie et de la correspondance de Léda Dagneau concernant les familles Dagneau-Laprise et Daniau dit Laprise en France, ainsi que les familles Giroux, Ramsay et Toussaint entre 1951 et 1971. Ce sont des documents manuscrits et dactylographiés. Nous y retrouvons entre autres une circulaire (3 septembre 1901) de la Supérieure générale des Soeurs de la Charité de Québec, adressée aux diverses maisons de son Institut concernant le décès de Soeur Ste-Marthe (née Marie-Anne-Joséphine Dagneau, fille de Calixte Dagneau) dans laquelle on relate la vie de Soeur Ste-Marthe. De plus, Mlle Dagneau a conservé quelques documents de la Société généalogique canadienne-française tels que des convocations à des assemblées annuelles (1951, 1952 et 1960), à des congrès (1954 et 1956), des circulaires aux membres (1958), ainsi qu'un projet de constitution et règlements de la Société adressé à tous les membres par le Comité de révision de la constitution. On y retrouve aussi un certificat original émis par le Wallace College de Québec à Mlle Léda Dagneau daté du 14 juillet 1915 pour un cours de traduction. Un récit de voyage en Terre Sainte (37 pages) écrit par Jeanne L. Patenaude le 14 juillet 1961 vient compléter le dossier. Ce récit dactylographié porte le titre de « Pèlerinage en Terre Sainte auquel s'ajoutent des séjours au Portugal, en Italie, en Égypte, au Liban, en Syrie, en Jordanie et en Israel ». Jeanne L. Patenaude raconte son voyage effectué entre le 26 mars et le 14 avril 1961 avec douze autres personnes

Paysage bucolique, en avant-plan un pauvre garçon joue des flutes, deux personnes à gauche sur l'image gardent des chèvres, lac et vue de Naples en arrière-plan, montagne, d'après une peinture

Le fonds Étienne Hastrel de Rivedoux s'avère un témoin sensible, singulier parce qu'empreint de la personnalité et du caractère de ses créateurs, et explicite quant à la vie militaire aux époques de Montcalm, de la Révolution française et de l'empire napoléonien. Deux générations prennent place dans ce qui constitue un fonds historique et familial diversifié. La mémoire de Christophe-Claude d'Hastrel se voit rendue par un ensemble de pièces officielles témoignant de son oeuvre militaire, tandis que celle de son fils prend la forme d'un récit de vie via des mémoires à la fois factuels et personnels. En effet, ces Mémoires du général d'Hastrel jettent un regard subjectif sur la vie militaire, l'attitude d'autrui et le quotidien d'après la Révolution, le tout rendu par un verbe subtile, très bien maîtrisé, dont les détails et critiques sur le monde, caractéristiques du premier tome, s'effacent graduellement avec les années. Ainsi, d'Hastrel nous offre de véritables visites commentées de la France, l'Allemagne, l'Italie ou la Hollande, visites qui font état des guerres et combats des hommes de Napoléon Bonaparte dans ces lieux, mais encore plus des villes, moeurs, faits politiques, quotidiens et anecdotiques des peuples qui les habitent. Conséquemment, les pièces qui constituent ce fonds couvrant près de deux siècles sont fort variées. Concernant d'Hastrel de Rivedoux père, nous retrouvons des transcriptions évoquant ses combats, sa carrière militaire et son déménagement du Québec à la France. Complété de correspondances, de maintes photocopies d'actes notariés et de preuves de noblesse (1664-1774), ainsi que d'un document s'attardant au conseil de famille au cours duquel fut élu le tuteur de son fils Étienne en 1792, ce fonds dépeint le destin de cet homme ayant travaillé sous le régiment de Montcalm. Quant au fils, le Baron d'Hastrel, ses MÉMOIRES DES PRINCIPAUX ÉVÉNEMENTS DE MA VIE, DEPUIS LE JOUR DE MA NAISSANCE, LE 4 FÉVRIER 1766; JUSQU'AU MOMENT OÙ J'AI ÉTÉ ADMIS À LA RETRAITE, 1er JANVIER 1825, consistent en la pièce d'intérêt majeur de ce fonds. Ces deux tomes de réflexions et de descriptions sont de plus complétés de brevets de régiments et de l'État Major (1792-1793), de correspondances avec le Ministre de la Guerre (1812-1813) et d'une copie de son contrat de mariage avec Marie Geneviève Joseph d'Hastrel (23 novembre 1796). S'ajoutent, rappelant les origines canadiennes-françaises de cette famille, des extraits de registres des mariages, baptêmes et sépultures de Pointe-aux-Trembles, près de Québec

Le fonds témoigne d’un soldat canadien servant en Europe avec le Corps de santé royal canadien durant la Seconde Guerre Mondiale. [Il représente des militaires, hommes et femmes, se détendant, visitant des attractions touristiques, étant dans des hôpitaux ou des campements ou faisant des photographies de groupe.] Ce fonds contient des photographies d’Angleterre, d’Italie, d’Écosse, d’Algérie. Les documents de ce fonds sont regroupés en sept séries : 1. Arrivée en Angleterre, 2. Aspect médical de la guerre, 3. Portraits et photographies de groupe, 4. Lieux inconnus, 5. Relations avec les civils, 6. Vacances et journées de repos, 7. Vie au campement

Cette sous-série comprend : des pièces de correspondance d'affaires d'Olivier Rolland entre 1959 et 1974; un recueil manuscrit intitulé «Souvenir de vacances - Les plaideurs à St-Jérôme» écrit par le père jésuite Léon Sigouin et dédié à Olivier Rolland en 1902; des spicilèges concernant la famille d'Olivier Rolland entre 1920 et 1948 et des voyages de celui-ci et de son épouse en Europe entre 1920 et 1930; des photographies d'un voyage du couple Rolland en Italie, en Palestine, en Syrie, au Liban et en Égypte en 1950 de même qu'en Espagne, à Gibraltar, au Maroc, aux Baléares, en Italie, en Turquie, en Grèce, en Suisse et en France en 1954. Nous y trouvons également de la correspondance de Pierre Elliott Trudeau et Margaret Sinclair adressée à Aline Dorion, épouse d'Olivier Rolland