Ce dosssier en matières civiles provient de la Prévôté de Québec

Sur ce plan d'arpentage figurent outre le terrain en litige les lignes tirées et bornées par les arpenteurs Demers et Lefrançois, probablement Jean-Baptiste Demers et Nicolas Lefrançois, entre la seigneurie de Lauzon et la seigneurie de Tilly à la hauteur des deuxième et troisième rang. On y voit également les ruisseaux du Petit lac, du Rocher et des Prairies ainsi que les chemins du second et du troisième rang

Ce dossier comprend deux petits plans, dont l'un avec texte et mentions de procès-verbaux faits dans cette cause et un autre où est illustré trois traits-carrés

Ce dossier comprend une requête des marguilliers de Saint-Thomas (Montmagny) afin de faire dresser un procès-verbal d'arpentage; une ordonnance aux parties faisant référence à un procès-verbal de bornage et de mesurage dressé par Vallée, arpenteur, le 29 avril 1772, lesdites parties devront nommer un arpenteur afin de vérifier ledit bornage et mesurage et d'en dresser un procès-verbal

Ce dossier comprend un procès-verbal en anglais dressé par les arpenteurs Simon Zelotes Watson et James Whitman, le 26 mars 1798, dans l'affaire Piédalue et autres contre Jacques Merceau (Marceau). En plus de ce document, il y a un plan de ces arpenteurs des lignes et divisions entre la baronnie de Longueil et la seigneurie de Léry, près de la Petite Rivière à Montréal dans la paroisse Blairfindie où figurent la terre vendue par Piédalue au nommé Patenaude, puis la part qui devint possession de Jacques Merceau (Marceau). Ce dernier a obtenu cette portion de terre par donation de René-Pascal Lanctôt, curateur des syndics de la paroisse de Blairfindie. Le terrain sis entre la baronnie de Longueuil et la seigneurie de Léry avait d'abord été concédé par Joseph Fleury, sieur Deschambault aux nommés Alexis, Albert, Étienne et Julien Piédalue

Ce procès-verbal comporte un plan du terrain et de la maison de feu Pierre Normand dit Labrière situés rues Sous-le-Fort, Champlain et du Cul-de-Sac dans la Basse-Ville de Québec, entre les propriétés du nommé Frenes (Frêne) et de la dame Soupiran. Y sont indiqués l'emplacement de la forge, de la cour et de l'escalier