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Place des Arts (Montréal, Québec)
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1969

Ce dossier contient le programme de spectacle à la Comédie-Canadienne, incluant les recettes et dépenses ainsi que les rapports quotidien de caisse, ainsi que les programmes de la Place des Arts avec l’Orchestre symphonique de Montréal, dans le cadre des Concerts populaires, à cela s’ajoute aussi des communiqués de presse

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Yvon Deschamps récital

Ce dossier porte sur un spectacle récital d'Yvon Deschamps présenté en 1975 au Théâtre Maisonneuve de la Place des Arts de Montréal et à Québec dans une mise en scène de Jean Bissonnette. Il contient les textes des monologues, des notes de production, des coupures de presse, de la correspondance et la liste des enchaînements

1976

Ce dossier contient un communiqué de presse, les listes de ses chansons par spectacle, des notes, un texte de présentation entre ses chansons pour son récital à la Place des arts, ainsi que la programmation de spectacles au « Théâtre de l’Île » pour le récital « Le temps d’une saison » avec Félix Leclerc

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Entrevue "Danse et confidence". Paul-André Fortier en résidence à la Place des arts

La série « Danse et confidences » fut initiée par Paul-André Fortier, premier chorégraphe en résidence à la Cinquième Salle de la Place des Arts. Cet enregistrement vidéo réalisé en avril 2004 montre une première entrevue donnée devant public par l'artiste. Johane Despins anime cette entrevue radiophonique d’environ une heure qui sera retransmise sur la chaîne culturelle de Radio-Canada à l’automne 2004. Les cinq chorégraphes interviewés au cours de cette série d'entretiens sont Paul-André Fortier, Ginette Laurin, Marie Chouinard, Margie Gillis et Édouard Lock. Johane Despins résume brièvement les trente ans de carrière de Paul-André Fortier, depuis ses débuts comme danseur (1973) et chorégraphe (1979) avec le Groupe Nouvelle aire. Fortier quitte l’enseignement littéraire au cégep de Granby pour se consacrer entièrement à l’étude de la danse au sein du Groupe Nouvelle Aire avec Michèle Febvre et Martine Époque. Il suit également les classes du samedi des Grands Ballets canadiens. Il danse dans les premières chorégraphies créées par Édouard Lock et Daniel Léveillé, collabore avec la sculpteure et chorégraphe Françoise Sullivan. Il crée une première chorégraphie de 12 minutes avec Ginette Laurin au sein du Groupe Nouvelle Aire. En 1979, il fonde sa propre compagnie, Danse-Théâtre Paul-André Fortier, qui prendra l’appelation Fortier Danse-Création en 1981. Il se dit surtout influencé par la danse européenne et la célèbre chorégraphe allemande Pina Bausch. Il remporte plusieurs prix dont le Prix Jean A. Chalmers en 1985 pour « Chaleur ». Considéré comme l’enfant terrible de la danse, Paul-André Fortier, auteur d’une quarantaine de chorégraphies, aime la danse qui dérange. Son art propose une réflexion, défait les tabous, provoque, questionne les idées reçues et les stéréotypes. La notion de liberté est fondamentale dans son oeuvre. L’artiste tente d’expliquer son processus de création. Sa première préoccupation en est une de contenu. Il conçoit d’abord l’architecture de la pièce et travaille de concert avec sa répétitrice, Ginelle Chagnon. Il se considère exigent avec ses danseurs comme avec lui-même et ressent encore, dans la cinquantaine, le besoin de monter sur scène. Paul-André Fortier croit en la poésie du corps vieillissant. Selon lui, trop peu d’homme se consacre à l’art de la danse. Ses projets pour la suite des choses : aider les jeunes chorégraphes, poursuivre son enseignement, assurer la conservation du répertoire contemporain en danse, écrire et réfléchir sur la danse. Il n’a aucune intention de prendre sa retraite, mais désire plutôt continuer de créer et de collaborer avec d’autres artistes, comme il le fit par le passé avec la sculpteure Betty Goodwin, le chorégraphe Édouard Lock ou l’artiste visuel Pierre Bruneau

Entrevue "Danse et confidence". Ginette Laurin

Ce dossier porte sur une entrevue donnée devant public par Ginette Laurin, dans le cadre de la série « Danse et confidences », initiée par Paul-André Fortier, lors de sa résidence à la Cinquième salle de la Place des arts. Johane Despins anime cette entrevue radiophonique d’une heure qui sera retransmise sur la chaîne culturelle de Radio-Canada dès l’automne 2004. L’animatrice brosse un bref portrait de la carrière de Ginette Laurin, gymnaste, danseuse, chorégraphe montréalaise de réputation internationale, directrice artistique de la compagnie O Vertigo. Celle-ci fait se débuts avec le Groupe Nouvelle Aire sous la direction de Martine Époque. Elle fonde sa propre troupe O Vertigo en 1984, une compagnie de danse axée principalement sur la recherche. L’Appelation O Vertigo possède plusieurs connotations. Elle suggère l’idée de vertige, fascination de l’abîme, déséquilibre, de vivacité et d’effervescence . Dans son œuvre qui compte plus d'une quarantaine de chorégraphies à ce jour, l’énergie, la gestuelle et le rapport au temps domine plutôt que la forme. Elle dit aimer travailler avec d’autres créateur et rappelle sa collaboration avec la sculpteure Françoise Sullivan, signataire du Refus global. Tout récemment, elle a collaboré avec un astrophysicien pour la création de « Luna », une chorégraphie poétique qui utilise une technologie optique pour dessiner dans l’espace les traces lumineuses du mouvement. Elle cherche à combiner plusieurs médiums dans la conception de ses œuvres : vidéo, photographie, arts plastiques, installation. Elle parle du processus de création de sa prochaine pièce « Passare ». Selon elle, le marché québécois est malheureusement trop restreint. Il faut se positionner sur la scène internationale, miser sur les tournées et la diffusion à l’étranger. La danse devrait être aussi plus présente à la télévision. Les fonds pour la création sont restreints. Elle doit porter plusieurs chapeaux : chorégraphe, directrice artistique et gestionnaire. Il faut investir beaucoup d’énergie à la gestion de la compagnie : déposer une quarantaine de demandes de subventions par année, chercher des co-producteurs, mettre sur pied des activités d’auto-financement. Elle n’écarte pas la possibilité de revenir à la danse à l’occasion. Elle projette de travailler avec des danseurs de tous âges, ainsi que des non-danseurs, de créer des installations chorégraphiques et des œuvres multimédia

Diane Dufresne à la Place des Arts

Ce dossier porte sur un spectacle de Diane Dufresne présenté à la salle Wilfrid-Pelletier de la Place des Arts du 10 au 13 janvier 1974 dans une mise en scène de Jean Bissonnette. Il contient des copies de production, la liste des enchaînements et des notes de production manuscrites

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