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Only top-level descriptions BAnQ - Vieux-Montréal Québec (Province)
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Collection Famille Massue

  • CA QUEBEC P114
  • Fonds
  • 1700-1970

Les documents textuels de cette collection renferment des éléments permettant de retracer la brillante carrière de certains membres de la famille Massue. Propriétaire terrien, chanteur d'opéra ou membre du Sénat, les Massue ou leur entourage ont, chacun à leur façon, écrit une page de notre histoire. Ils comprennent de la correspondance et des actes notariés concernant la famille Massue, de la correspondance de Nicolas Massue, des actes notariés relatifs à Marc-Amable Girard ainsi que de la correspondance, des discours et des états financiers de la Coopérative de lait et crème de Montréal. Les photographies montrent des membres de la famille Massue, des personnalités politiques, des membres du clergé, des scènes de la vie familiale, des paysages du Québec (particulièrement la région de Varennes) et de l'étranger. Notons que la famille Massue a été associée à d'illustres personnages politiques québécois et que plusieurs des membres de cette famille ont été députés à l'Assemblée législative de Québec. Parmi les personnalités représentées, mentionnons, entre autres, Georges-Étienne Cartier, Philippe-Baby Casgrain, Louis-Joseph Papineau et Louis-Hippolyte Lafontaine, monseigneur Charles-François Baillargeon, monseigneur Ignace Bourget, Gustave Drolet, Paul Lussier, Alfred Évanturel et John A. Macdonald. Signalons que la plupart des images de cette collection ont été produites par les grands studios de l'époque, tels Archambault, Livernois et Bienvenue, Notman, etc. Cette collection comprend aussi des plans de subdivisions de lots à Sainte-Famille de Boucherville et à Varennes appartenant à la famille Massue. Le plan de classification comporte les séries suivantes : famille Massue; Nicolas Massue (carrière artistique); Coopérative de lait et crème de Montréal; Marc-Amable Girard, sénateur; documents divers sur la famille Massue; imprimés; épreuves noir et blanc; plans

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Fonds Conseil militaire de Montréal

  • CA QUEBEC TL279
  • Fonds
  • 1761-1764

Ce fonds permet d'analyser le recours aux tribunaux d'appel intermédiaires établis sous le régime militaire. Il comprend les procès-verbaux des séances en appel du Conseil militaire de Montréal. Les appels entendus devant ce conseil proviennent de la Chambre des milices de Pointe-Claire qui dessert les habitants des Cèdres, de Vaudreuil, de l'Île Perrrault, de Sainte-Anne, de Sainte-Geneviève, du Sault-au-Recollet, de Lachine et de Saint-Laurent. Les appels concernent des litiges relatifs aux billets de change, à la propriété immobilière, aux questions d'héritages ou de dommages-intérêts. Il s'agit des seuls renseignements disponibles sur les causes provenant de la Chambre des milices de Pointe-Claire, car les documents de ce tribunal ne semblent pas avoir survécu aux aléas du temps. Le chercheur qui s'intéresse à une cause en particulier doit également vérifier s'il y a eu un deuxième appel entendu par le commandant Thomas Gage. Les registres du Conseil militaire de Montréal sont en ordre chronologique et n'ont pas d'index. Les pages 64 à 77 du premier registre contiennent des procès-verbaux d'audience couvrant la période du 20 janvier 1762 au 21 octobre 1763. Des extraits d'un deuxième registre conservés dans une chemise contiennent des procès-verbaux d'audience mélangés des trois conseils militaires (celui de Montréal, celui de Varennes et celui de Saint-Sulpice)

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Collection Max Bauer

  • CA QUEBEC P93
  • Fonds
  • 1765-1980

Les documents textuels de cette collection offrent une vue d'ensemble du métier d'arpenteur et particulièrement de la famille de l'arpenteur et inspecteur des chemins Louis Guy. Soulignons la présence du document nommant les juges de paix du premier parlement de la province de Québec. Les documents photographiques sont des images des membres de la famille Bauer et de leurs amis. Les documents cartographiques sont constitués de cartes d'arpentage, d'architecture intérieure de maisons d'été et de logements à Montréal. Signalons finalement la présence du plan de l'église Saint-Patrick d'Ottawa

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Fonds Cour du banc du roi

  • CA QUEBEC TP8
  • Fonds
  • 1782-1782

Les documents de la Cour du banc du roi offrent des renseignements sur l'évolution de la criminalité et des moeurs dans la province de Québec pour la période s'écoulant de l'adoption de l'Acte de Québec à l'Acte constitutionnel. Le fonds porte sur des crimes et délits majeurs, notamment tous les crimes capitaux tels que meurtre, trahison, sédition, incendie criminel, etc. La grande majorité des délits traités par ce tribunal concernent des vols de divers types (grand et petit larcin, vol de bestiaux, vol à l'intérieur des édifices, vol de grand chemin), mais la gamme des types de causes est assez vaste. On y trouve des documents qui témoignent d'une grande variété de délits, contre les personnes mais surtout contre la propriété, en passant du faux au viol, de la fraude à l'émeute, du sacrilège à l'incitation à la désertion, de l'incendie criminel aux voies de faits, du recel au meurtre, du complot à la contre-façon. Les archives de ce tribunal constituent ainsi une source intéressante pour une foule de sujets d'études. Les sujets possibles vont de la criminologie aux rapports de force entre les sexes

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Fonds Succession Jacques Béïque

  • CA QUEBEC P344
  • Fonds
  • 1790-1986

Les documents de ce fonds illustrent l'implication de la famille Béïque dans divers secteurs de la vie économique du Québec aux 19e et 20e siècles. S’y trouvent des dossiers relatifs au développement du chemin de fer à LaSalle et à Lachine, au développement foncier à Montréal et dans les environs en plus des procès-verbaux de compagnies dans lesquelles monsieur Jacques Béïque était actionnaire. Ces compagnies sont : Albert Associated Limited, LaSalle Land Development, Mount Pleasant Land Corporated, Semec Incorporated, Rainbow of the Sea Products, les Entreprises de Casson limitée et la Galerie des peintres canadiens incorporée. Ce fonds comprend également des notes sur le juge Siméon Beaudin, des documents de Louis-Joseph Béïque, François-Joseph et Béatrice Bisaillon, les successions de Caroline Dessaulles, Frédéric-Liguori Béïque, Frédéric-Auguste Béïque et Victor Béïque, le manuscrit de l'essai de Caroline Dessaulles intitulé « Quatre-vingts ans de souvenirs » et le livre de comptes de l’avocat Pierre Moreau. Des cartes montrent le canal Lachine et diverses propriétés

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Collection Monique Mercure-Vézina

  • CA QUEBEC P157
  • Fonds
  • 1825-1976

Les documents qui forment cette collection se composent majoritairement de la correspondance des membres de la famille Mercure. Nous retrouvons aussi quelques documents relatifs à des fonctions occupées par Narcisse Mercure, tant à la milice de Portneuf qu'à la fabrique puis au conseil municipal de la Pointe-aux-Trembles-de-Neuville. Les documents iconographiques et photographiques montrent Neuville et plusieurs photos ont été prises par Napoléon Mercure (aïeul de Monique Mercure-Vézina), propriétaire du magasin général de Neuville. On compte des photos-souvenirs de voyages à travers le Québec, des portraits de membres du clergé, des cartes mortuaires ainsi que des cartes postales du Québec et des États-Unis. Les documents cartographiques comprennent des cartes de Québec en 1918 et un plan de la paroisse de la Pointe-aux-Trembles-de-Neuville. Le plan de classification comporte les séries suivantes : famille Mercure; Narcisse Mercure; documents divers; photographies; cartographie

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Fonds Famille Landry

  • CA QUEBEC P155
  • Fonds
  • 1826-1975

Ce fonds d’archives est constitué de documents de membres de quatre générations successives de la famille Landry et couvre une période s'échelonnant sur un siècle et demi, soit de 1825 à 1975. La présence d’une collection de souvenirs de famille composée principalement de photographies, qui ne pouvant être départagées entre les membres, a favorisé le maintien des autres types de documents dans un seul et même fonds familial. Il y a d’abord les documents du docteur Jean-Étienne Landry, complétés notamment au niveau de la correspondance par ceux de son épouse Caroline Lelièvre. Ces documents produits et accumulés entre 1825 et 1885 présentent des témoignages particulièrement intéressants sur la vie et les préoccupations de l’époque. De Carleton dans la Baie des Chaleurs, place natale de Jean-Étienne Landry, à Québec avec des haltes plus ou moins longues à Saint-Anne-de-la-Pocatière, au lac Témiscouata et à Rivière-du-Loup, le parcours de cet homme qui s’est illustré en tant que médecin dans le Bas-Canada et co-fondateur de la faculté de médecine de l’Université Laval, se révèle à travers les documents que lui et son épouse ont légués à leur descendance. Des échanges familiaux donc, mais aussi professionnels, des descriptions du quotidien des troupes à l’origine du Fort Ingall, des traces de mission en Europe et de gestion de l’asile d’aliénés de Beauport susceptibles de documenter maintes recherches. S’ensuivent les archives de l’un de leurs trois enfants, Philippe Landry, complétées encore-là par celles de sa première épouse, Wilhelmine Couture, et de sa seconde, Amélie Dionne. Ces documents couvrant la période 1857-1920 abordent la vie étudiante de ces gens au Séminaire de Québec, à l’École normale Laval, au Collège de Saint-Anne-de-la-Pocatière, mais elles témoignent surtout de leurs relations familiales, sociales et professionnelles. Wilhelmine Couture, étant originaire de Saint-Gervais-et-Protais, et Philippe Landry agriculteur, agronome et politicien dans le comté de Montmagny, leurs plus anciens documents dépeignent abondamment la vie sur la Côte-du-Sud. D’autant plus que les archives de Wilhelmine Couture comprennent aussi des archives familiales (1833-1899), dont celles de son père Jean-Étienne Couture, marchand, et de son frère et grand ami de Philippe Landry, Hilaire-Wilfrid Couture. La grande majorité des documents découle cependant des activités professionnelles de Philippe Landry et témoignent de leurs variétés : l’agriculture à la ferme de Saint-Pierre-de-la-Rivière-du-Sud, mais aussi à l’échelle provinciale, la milice dans le 61e bataillon d’infanterie de Montmagny et L’Islet, la politique au sein du Parti conservateur, la gestion de l’asile d’aliénés de Québec à Beauport et le Sénat à Ottawa. Que ce soit à travers sa correspondance avec les autorités civiles et religieuses ou à travers les dossiers thématiques qu’il a constitués, les chercheurs intéressés par exemple aux querelles politico-religieuses de l’époque ou à la défense des droits des minorités françaises et catholiques en Ontario et au Manitoba y trouveront plusieurs renseignements. Une troisième génération laisse ses empreintes avec les documents de leur fils, Joseph Philippe Landry, et ceux de son épouse Blanche Lacoste qui couvrent respectivement les périodes 1880-1926 et 1882-1957. Traces encore ici de vie étudiante au Séminaire de Québec, au Collège et Université d'Ottawa, à l'Université de Lille et à l'Université McGill; et de vie professionnelle à titre d’avocat, mais surtout de militaire aux commandes du 5e district militaire à Québec et de camps en Angleterre durant la Première Guerre mondiale. Plusieurs témoignages aussi de vie familiale et sociale dans les régions de Montréal et Québec, notamment par l’association avec les familles Lacoste, Globensky, Garneau, Gérin-Lajoie et autres. Puis toujours dans la même lignée, l’un de leurs enfants, Jules Landry, ajoute au fonds de la famille une partie de ses archives (1912-1975) et de celles son épouse, Patricia Power. Ces documents, en grande partie de la correspondance, témoignent de leur vie familiale et sociale, de la carrière en droit et de militaire de Jules Landry notamment dans la région du Saguenay où ceux-ci et leurs enfants ont vécu pendant plusieurs années. À l’instar des documents de son père qui renseignent sur l’époque de la Première Guerre mondiale, ceux de Jules Landry abordent la Seconde Grande guerre avec des thèmes parfois similaires tels la conscription et la représentation canadienne-française. Ce fonds se subdivise en douze séries : Souvenirs de famille (S1), Jean-Étienne Landry (S2), Caroline Lelièvre (S3), Philippe Landry (S4), Wilhelmine Couture (S5), Amélie Dionne (S6), Joseph Philippe Landry (S7), Blanche Lacoste (S8), Jules Landry (S9), Patricia Power (S10), Autres membres de la famille (S11) et Successions Landry (S12)

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Fonds Cour du banc du roi/de la reine

  • CA QUEBEC TP9
  • Fonds
  • 1850-1975

Les documents produits par la Cour du banc de la reine offrent des renseignements sur une foule de sujets, de l'histoire événementielle à l'analyse quantitative de phénomènes socio-économiques et politiques, en plus de fournir une source essentielle pour les études sur l'administration de la justice. Ce fonds est d'autant plus riche qu'il couvre une période qui a vu des transformations profondes dans la société québécoise, notamment la période de l'industrialisation et de l'urbanisation intensives de 1850 à 1920 et l'émergence de l'état providence. Les documents produits par la Cour dans sa juridiction criminelle proviennent de toutes les régions de la province. Siégeant dans tous les chefs-lieux, la Cour du banc de la reine a généré des documents qui témoignent des moeurs et de la criminalité dans les milieux urbains, semi-urbains et ruraux. Dans sa juridiction d'appel, ce tribunal a produit des documents indispensables pour l'étude de la jurisprudence et du fonctionnement et de l'efficacité des procédures d'appel. Le fonds porte principalement sur des litiges en matières civiles provenant de la Cour supérieure, de la Cour de circuit, des cours de magistrat et de la Cour provinciale. Ces litiges impliquent des montants supérieurs à une somme minimale, passant par étapes progressives de 100$ en 1849 à celui de 500$ en 1965. Des appels en matière criminelle étaient très rares au dix-neuvième siècle. À cette époque, des appels en matière criminelle n'étaient permis que pour erreur au niveau du procès de première instance. Au cours du vingtième siècle, le droit d'appel en matière criminelle s'élargit dans des procès par voie de chef d'accusation pour couvrir des questions de droit. À partir de 1961, toute personne condamnée à mort a également un droit d'appel autant contre sa condamnation que contre la peine fixée par le juge de première instance. Dans sa juridiction criminelle de première instance, cette cour fournit une source très riche en renseignements sur la criminalité et la régulation sociale et éclaire sur l'évolution des moeurs et des valeurs normatives dominantes. Le fonds se divise d'abord en des séries qui représentent la production des greffes ou palais de justice où la Cour du banc de la reine a siégé. Pour le Centre d'archives situé à Montréal, il s'agit des greffes de Montréal, de Saint-Jean, de Joliette, de Sorel, de Saint-Hyacinthe, de Sainte-Scholastique, de Valleyfield, de Saint-Jérôme, de Mont Laurier, de Beauharnois, de Sainte-Martine, de Napierville et de Lacolle

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Fonds Cour supérieure

  • CA QUEBEC TP11
  • Fonds
  • 1850-2011

Les documents produits par la Cour supérieure offrent des renseignements sur une foule de sujets, de l'histoire événementielle à l'analyse quantitative de phénomènes socio-économiques et politiques, en plus de fournir une source essentielle pour les études sur l'administration de la justice. Ce fonds est d'autant plus riche qu'il couvre près d'un siècle et demi de l'évolution de la société québécoise et que ses séries proviennent de toutes les régions de la province. Siégeant dans les chefs-lieux des districts judiciaires, la Cour supérieure a généré des documents témoignant de l'évolution de la vie urbaine et des relations entre la ville et la campagne. Le fonds porte sur des litiges de toutes sortes. Des causes en matières civiles, en ex parte, en faillite et toutes les causes se rapportant au droit familial ou à la Loi sur le divorce. La plupart des compétences civiles particulières s'y trouvent ou s'y sont trouvées avant la création de tribunaux spécialisés, judiciaires ou administratifs. Par exemple, la Cour supérieure tranchait les causes en expropriation jusqu'à la création du Tribunal de l'expropriation en 1973. C'est sans doute le tribunal civil qui connaît la plus grande variété de types de litiges. Le fonds se divise d'abord dans des séries qui représentent la production des greffes ou palais de justice où la Cour supérieure a siégé. Pour le Centre d'archives situé à Montréal, il s'agit des greffes de Montréal, de Saint-Jean, de Joliette, de Sorel, de Saint-Hyacinthe, de Sainte-Scholastique, de Valleyfield, de Mont-Laurier, de Saint-Jérôme, de Beauharnois, de Longueuil et Laval. Chacune de ses séries se subdivise en sous-séries composées des ensembles documentaires distincts par «juridiction» (des catégories de causes que les greffiers ont choisies d'organiser distinctement, comme «les matières civiles en général», «la faillite», «l'expropriation», etc.). Enfin, des sous-sous-séries regroupent les documents judiciaires (par exemple des dossiers, des plumitifs ou des registres des jugements) produits par ces juridictions

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