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Fonds Famille Louis Hébert

  • CA QUEBEC ZF55
  • Fonds
  • 1566-1686

Ce fonds renferme des copies des documents (contrats) concernant Louis Hébert et sa famille sur plus de cent ans et touche particulièrement aux débuts de la colonisation en Nouvelle-France

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Fonds Intendants

  • CA QUEBEC E1
  • Fonds
  • 1626-1760

Le fonds Intendants nous permet d'apprécier, à travers les procès-verbaux, la correspondance, les ordonnances et les requêtes, le travail réalisé par les intendants à l'époque de la Nouvelle-France en ce qui a trait à leur administration de la vie coloniale. Les intendants gèrent les fonds publics, président le Conseil supérieur, sont juges souverains en matière civile, interprètent le droit féodal et élaborent et appliquent toute la réglementation relative à la police, au commerce, aux prix, à la monnaie, à la milice, à la mise en valeur des terres et aux droits seigneuriaux. L'autorité des intendants s'affirme aussi sur plusieurs hauts fonctionnaires comme le grand voyer, l'ingénieur du roi, les arpenteurs royaux et le commissaire de la marine. Les chercheurs intéressés par l'époque du Régime français en Nouvelle-France trouveront donc une multitude de renseignements utiles sur différents aspects de la vie coloniale de nos ancêtres. Le fonds comprend les quatre séries suivantes : Ordonnances, Requêtes, Registres d'intendance et Papier terrier du Domaine. Cette dernière série comprend à son tour les cinq sous-séries suivantes : Cahiers d'intendance, Fois et hommage, Aveux et dénombrements, Déclarations des censitaires du roi, Index généraux pour les terres. Ce fonds se compose donc des documents produits ou reçus par les onze intendants suivants durant leur administration : Jean Talon (1665-1668 et 1670-1672), Claude de Bouteroue (1668-1670), Jacques Duchesneau de La Doussinière et d'Ambault (1675-1682), Jacques de Meulles (1682-1686), Jean Bochart de Champigny (1686-1702), François de Boische de Beauharnois (1702-1705), Jacques Raudot avec l'aide de son fils Antoine-Denis Raudot (1705-1710), Michel Bégon (1710-1726), Claude-Thomas Dupuy (1726-1728), Gilles Hocquart (1729-1748) et François Bigot (1748-1760)

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Collection Bernard Corriveau

  • CA QUEBEC P759
  • Fonds
  • 1642-1962

Cette collection est composée de documents dont les plus anciens remontent à 1663 et les plus récents au milieu du 20e siècle. L'importance de ces documents ne fait aucun doute, en raison des personnages qu'ils impliquent (dont Louis de Buade de Frontenac, Jean de Lauzon et Florent de la Cétière) et des faits qu'ils rappellent, comme la vie seigneuriale en Nouvelle-France, celle à Paris, de même que la vie mondaine, politique et sociale de Québec, ainsi que les autochtones des régions de la Gaspésie et de la Côte-Nord au 19e siècle. En effet, les documents témoignent de la vie en général sous le Régime français, un témoignage rendu par des lettres de change, des lettres autographes, de la correspondance privée et autres. Également, les familles Duchesnay, Juchereau et Lindsay sont représentées par de la correspondance et des actes notariés. Enfin, cette collection est composée du journal personnel d'Eugène Rouillard (1872-1904, 1906-1911) qui relate des observations et des réflexions quotidiennes sur la vie à Québec au tournant du 20e siècle

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Collection Pierre-Paul Côté

  • CA QUEBEC P745
  • Fonds
  • 1646-1900

Cette collection est composée de 80 pièces originales (quelques-unes seulement sont des copies) dont les plus anciennes remontent à 1646 et les plus récentes, à la fin du 19e siècle. L'importance de ces documents ne fait aucun doute, en raison des personnages qu'ils impliquent (les gouverneurs Lauson, Frontenac et les intendants Champigny, Duchesneau, Hocquart et Bigot, pour ne nommer qu'eux) et du fait qu'ils rappellent la vie seigneuriale, la chasse au castor, les réserves ou terres des Hurons et l'administration coloniale. En effet, les pièces témoignent des activités de l'administration coloniale sous le Régime français (arrêts, ordonnances, brevets, reconnaissances, requêtes, sentences), de même que de celles de la famille Juchereau-Duchesnay, propriétaire des seigneuries Gaudarville et Fossambault (concessions, baux, quittances, procès-verbaux d'arpentage et de grands voyers, conventions, ventes). Ces pièces, qui sont d'ailleurs en très bon état de conservation, sont marquées par le temps. En réalité, plus de 30 d'entre elles datent des 17e et 18e siècles

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Fonds Famille Joseph-Désiré Marcoux

  • CA QUEBEC P836
  • Fonds
  • 1658-2004

Le fonds de la famille de Joseph-Désiré Marcoux contient des documents relatifs à la famille Marcoux depuis la période de la Nouvelle-France jusqu'au début du 21e siècle. Il illustre la vie de Joseph-Désiré Marcoux, notaire ayant pratiqué dans la deuxième moitié du 19e siècle, ainsi que d'Adolphe et Guy, ses fils et petit-fils, médecins et hommes politiques, ayant oeuvré respectivement au sein de l'Union Nationale dans les années trente et du Crédit Social dans les années soixante. Le chercheur y trouvera également des documents sur l'histoire de Beauport, ville d'ancrage de la famille Marcoux. Le fonds se compose des cinq séries suivantes: S1 - Joseph-Désiré Marcoux, S2 - Adolphe Marcoux, S3 - Guy Marcoux, S4 - Documents historiques et notes généalogiques sur la famille Marcoux, S5 - Documents historiques sur Beauport

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Fonds Famille Guimond

  • CA QUEBEC P269
  • Fonds
  • 1674-1861

Ce fonds d'archives témoigne des activités de certains membres de la famille Guimond établie à Cap-Saint-Ignace dans la seigneurie de Vincelotte grâce à près de 90 actes notariés et autres documents légaux et judiciaires. Les généalogistes et les historiens seront particulièrement intéressés par ce fonds. Il se compose entre autres de contrats de ventes, d'inventaires de biens, de quittances, d'échanges, de requêtes, de billets, de donations, de cessions, de contrats de mariage, de reçus, de testaments, de procès-verbaux d'arpenteurs et de documents judiciaires

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Fonds Philippe Gaultier de Comporté

  • CA QUEBEC P920
  • Fonds
  • 1686-1686

Depuis la Renaissance, tant en France, en Angleterre, en Écosse, en Allemagne qu’en Italie, des individus se constituent des cabinets de curiosité où se côtoient peintures, gravures, médailles, cartes et plans, objets curieux ou rares, fossiles, spécimens de plantes, d’animaux ou de roches. Au 17e siècle, dans un monde où le savoir pour le savoir est valorisé, la recherche du rare et du curieux tend cependant à se tourner graduellement vers la recherche de cohérence et de sens. Les États deviennent de plus en plus conscients que savoir rime avec pouvoir. L’affirmation de prétentions territoriales au moyen de cartes ou de rapports d’exploration, la découverte de plantes médicinales et l’exploitation commerciale de ressources nouvelles ou précieuses sont autant d’enjeux pour justifier l’intervention royale. La gloire du Prince est ainsi évoquée par Colbert pour justifier en 1666 la fondation de l’Académie des sciences. De ces efforts individuels, souvent supportés et encouragés par le roi et son entourage, naissent des collections imposantes et diversifiées qui donneront à leur tour naissance à de grandes institutions muséales dont l’Ashmolean Museum en 1683 – le premier musée public anglais -, le British Museum en 1753 et le Louvre en 1793. Au XVIIe siècle, la Nouvelle-France offre aux Européens un territoire à conquérir, à évangéliser, à peupler et à exploiter. Objet de curiosité, elle suscite la mise sur pied d’un vaste réseau de collecte et d’échange d’informations, de produits et d’artéfacts. L’activité des Jésuites à cet égard est significative mais des laïcs aussi participent à cette effervescence. À Paris, Esprit Cabart de Villermont (1628-1707), qui occupe des fonctions de conseiller du roi, de gouverneur des îles d’Hyères et de lieutenant-général pour le roi à Cayenne, entretient, ainsi que son fils, une correspondance soutenue avec des gens bien placés, politiquement ou géographiquement, qui agissent comme autant de relais de l’information. En 1690, il est l’un des 25 membres étrangers de la Royal Society de Londres. Il meurt à Paris le 17 octobre 1707, âgé de 83 ans. Durant les années 1680, Esprit Cabart de Villermont compte parmi les savants, lettrés ou personnes influentes à la Cour qui s’intéressent à la géographie du continent américain et suivent avec attention les progrès de l’exploration française au Mississippi. Sa correspondance, recueillie par l’abbé Dangeau, lecteur de la chambre du roi et membre de l’Académie française, est acquise en 1749 par la Bibliothèque du roi. Elle est conservée aujourd’hui par la Bibliothèque nationale de France (BnF), Département des manuscrits, Fonds français, Collection de l’abbé de Dangeau, volumes 22799 à 22815. Le volume 1046 de la Collection Clairambault, conservé par la BnF, contient aussi des échanges épistolaires impliquant Villermont. Parmi les Européens qui entretiennent une correspondance régulière avec Cabart de Villermont, on note Michel Bégon de La Picardière, intendant de Saint-Domingue de 1682 à 1685, intendant des galères à Marseille de 1685 à 1688 puis intendant du port de Rochefort de 1688 jusqu’à sa mort en 1710. Il est le père de Michel Bégon qui sera intendant à Québec de 1710 à 1726. Il est cousin par alliance du ministre Colbert et beau-frère de l’intendant Jacques de Meulles qui sert à Québec entre 1682 et 1686. Amateur et collectionneur passionné, Bégon réunit dans son cabinet de Rochefort une des plus belles collections d’Europe de «curiosités». L’inventaire de son cabinet fait le premier juin 1699 indique la présence d’un bibliothèque exceptionnelle, de gravures, de médailles, de plans, d’un «grand canot d’écorces avec ses avirons dont se servent les sauvages de l’Amérique septentrionale» et d’un «canot des Esquimaux dans la construction duquel il n’entre ny bois, ny fer, qui ne peut servir que pour un seul homme, et qui ne peut faire naufrage, avec des avirons, sondes et habits propres a cette navigation». En Amérique, Cabart de Villermont est en relation avec Le Gallois de Beaujeu, capitaine de navire impliqué dans les explorations de La Salle; avec l’explorateur de Tonty; avec Nicolas Denys et Richard Denys de Fronsac, impliqués dans des établissements du golfe du Saint-Laurent; avec le missionnaire jésuite Jacques Gravier, présent à Michilimakinac puis au Pays des Illinois; avec le gouverneur de la Nouvelle-France Frontenac; avec le marin et soldat Pierre Lemoyne d’Iberville et avec Denis Riverin, fondateur en 1687 de la Compagnie des pêches sédentaires du Canada. Le marchand Philippe Gaultier de Comporté et le jésuite Thierry Beschefer, ancien supérieur de la mission du Canada, ont aussi échangé des lettres avec Cabart de Villermont. Leur correspondance est partagée entre la Bibliothèque nationale de France et Bibliothèque et Archives nationales du Québec (BAnQ). Ce fonds comprend des copies de lettres et un mémoire où est décrit le contenu de deux boîtes contenant des produits provenant des Amérindiens adressées au marchand Gitton, de La Rochelle, qui doit les envoyer à Villermont à Paris. L’adresse inscrite sur la dernière page des documents suggère qu’ils ont été reçus par Villermont, copiés puis envoyés à « Monsieur Begon Conser d honneur au parlement de provence & Intendent gnal des galeres A Marseille ». La première lettre, datée du 7 septembre 1686 et écrite de Québec, n’est pas signée. Elle traite de plusieurs sujets, dont l’envoi d’une carte de l’incendie de Gênes après son bombardement; d’une petite caisse mise entre les mains de Gitton, marchand de La Rochelle, contenant un petit habit d’Esquimau de peau de loup-marin; d’écorces de bouleau historiées avec des dents de « Sauvagesses » et de pierres luisantes servant à faire des pointes de flèche, des destructions faites par les Iroquois; ainsi que des nouvelles reçues du capitaine Le Gallois de Beaujeu et du mariage de Tonty. La seconde lettre, datée du 9 octobre, non signée mais écrite par le père Thierry Beschefer, mentionne un cristal rapporté par Tonty, les entreprises des Canadiens à la baie d’Hudson, un projet d’envoyer dans les îles du sucre d’érable pour le faire raffiner et des problèmes avec les Anglais à Michilimakinac. La troisième lettre, sans date, est indiquée comme étant la copie d’une lettre écrite de Québec à M. de Villermont le Jeune. Elle concerne l’envoi d’objets amérindiens et de cartes touchant l’expédition de La Salle. La quatrième lettre, datée du 6 novembre 1686, écrite de Québec, est une copie d’une lettre envoyée à Villermont et signée par De Comporté. Elle traite du conflit à la baie d’Hudson avec les Anglais. Elle comporte un jugement sur les coureurs des bois et mentionne l’envoi d’une perdrix blanche. Témoignage significatif sur la Nouvelle-France des années 1680 et de l’intérêt qu’elle éveillait chez certains Européens, la correspondance et les envois de Gaultier de Comporté, de Beschefer et des autres correspondants de Cabart de Villermont et de Michel Bégon préfigurent les contributions mieux connues des médecins du roi Michel Sarrazin et Jean-François Gaultier. Source : Rénald Lessard, « La Nouvelle-France comme aventure scientifique. La contribution d'Esprit Cabart de Villermont », dans À rayons ouverts, no 88 (Hiver 2012), p. 27-29

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Fonds Traité fait et conclu pour l'échange de prisonniers entre Philippe de Rigaud de Vaudreuil et Joseph Dudley

  • CA QUEBEC P919
  • Fonds
  • 1705-1705

Ce fonds d'archives se compose d'un seul document. Il s'agit d'un projet de traité entre le Massachusetts et le gouvernement du Canada et de l’Acadie par lequel sont prévus l’échange des prisonniers des deux camps et les règles de détention. Ce traité a été présenté par le marquis de Philippe de Rigaud de Vaudreuil à Joseph Dudley, gouverneur du Massachusetts, qui a refusé de le ratifier et qui a repris les hostilités

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