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Nowlan, Maurice, mort 1813 Montréal (Québec : Ville) Soldats
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Lettre de Maurice Nowlan, Trois-Rivières, à Agathe Perrault, Montréal

Le lieutenant Nowlan remarque que le nouveau colonel embête les soldats. Le gouverneur Georges Prévost voudrait garder les troupes au pays et lever des régiments dans le Haut-Canada, possiblement dans les établissements écossais. Nowlan s'inquiète des sentiments que la mère d'Agathe éprouve pour lui et voudrait avoir sa bénédiction. Il croit pouvoir aller à Montréal au milieu du mois prochain ou peut-être plus tôt. L'épouse du capitaine Burke devrait y aller au même moment

Lettre de Maurice Nowlan, lieutenant des grenadiers du 100e régiment, Kingston, à Agathe Perrault, Montréal

Le lieutenant Nowlan s'ennuie beaucoup d'Agathe. Il est toujours sans nouvelles d'elle et craint qu'elle soit malade. Selon lui, ils sont beaucoup supérieurs à l'ennemi et il croit que la bataille sera courte. Il espère qu'ils pourront se revoir dès que l'armée aura la maîtrise des lacs, dans 10 jours peut-être. Le colonel Young a trouvé, pour le capitaine Burke et Nowlan, une chambre dans une baraque, ce qui leur a évité de dormir à la belle étoile. Le général Sheaffe est en disgrâce pour sa conduite à York. Le général Proctor a fait 1 300 prisonniers. Le général Harrison a été coincé avec 700 hommes, il espère qu'il se rendra au général Proctor. Nowlan décrit une bataille entre le bateau américain Oneida et le bateau britannique Royal George. Le colonel Young est guéri

Lettre de Maurice Nowlan, lieutenant des grenadiers du 100e régiment, Turkey Point, à Agathe Perrault, Montréal

Plusieurs hommes sont malades, dont Murray. Le lieutenant Nowlan craint qu'il ne guérira pas. Agathe voudrait venir le rejoindre, Nowlan lui dit que c'est impossible : il ne reste pas une seule semaine au même endroit. Selon une rumeur, leur flotte postée sur le lac a été prise mais Nowlan croit que ce n'est pas vrai. Il est heureux de constater que le neveu d'Agathe a été recruté

Lettre de Maurice Nowlan, lieutenant des grenadiers du 100e régiment, Long Point, à Agathe Perrault, Montréal

Le lieutenant Nowlan ne sait pas s'ils vont rester longtemps à Long Point. Certains disent qu'ils iront à Amherstburg. S'ils descendent à York, les deux flancs de la compagnie joindront la grande armée à Fort George. M. Murray est malade depuis qu'il a quitté York. Il est heureux d'apprendre que le neveu d'Agathe a des chances d'être engagé dans les Voltigeurs. Le frère d'Agathe veut un poste d'officier pour le colonel de Salaberry, pour cela il doit recruter un certain nombre de miliciens. Le major Herriot est stationné près de Queenstown

Lettre de Maurice Nowlan, lieutenant des grenadiers du 100e régiment, Turkey Point, à Agathe Perrault, Montréal

Le lieutenant Nowlan est soulagé d'apprendre qu'Agathe habite encore avec sa mère et qu'elle n'a pas tenté de venir le rejoindre. Le général Proctor s'est retiré. Tous les rapports annoncent qu'ils ont perdu leur flotte sur le lac. Chaque jour ils s'attendent à recevoir l'ordre de se joindre à l'armée. Murray pourrait peut-être guérir. Nowlan s'est disputé avec un soldat. Il a l'impression qu'Agathe le traite durement

Lettre de Maurice Nowlan, lieutenant des grenadiers du 100e régiment, Turkey Point, à Agathe Perrault, Montréal

Le lieutenant Nowlan parle du neveu d'Agathe qui semble hésiter entre devenir soldat ou prêtre. Le général Proctor et toute la flotte ont subi une défaite sur le lac. Il croit que s'ils ne sont pas faits prisonniers, ils mèneront une très courte bataille. En ce moment, les choses ont une mauvaise apparence mais en quelques jours il pourrait y avoir un changement en leur faveur. Pinkerton n'est pas encore arrivé, il est à Burlington Heights. Le matin du 17 octobre, Nowlan ajoute qu'ils se retireront dans un jour ou deux

Lettre de Maurice Nowlan, lieutenant des grenadiers du 100e régiment, Stoney Creek, à Agathe Perrault, Montréal

Le lieutenant Nowlan craint que les ennemis attaquent Montréal mais il garde espoir qu'ils ne conquerront jamais cette région du pays. Le régiment attend les ennemis d'un jour à l'autre. Les menaces de revanche des indiens contre l'armée d'Harrison sont effrayantes. Selon Nowlan, les indiens sont tellement furieux qu'il serait impossible de les arrêter. Des hommes semblent avoir peur et vouloir se retirer

Lettre de Maurice Nowlan, lieutenant des grenadiers du 100e régiment, campement de Blair Finddie, à Agathe Perrault, Montréal

Le gouverneur Georges Prévost vient de passer et le lieutenant Nowlan a été relevé de la garde. La brigade sera stationnée à Chambly pour l'hiver. Il aura au moins une semaine pour aller visiter la famille à Montréal. Il espère qu'Agathe se servira de ses relations pour trouver un logement à Chambly. Il est difficile d'en trouver à ce moment, il y a beaucoup de demande. Nowlan maudit la taverne américaine de La Prairie où ils ont passé une mauvaise soirée. Les soldats n'ont toujours pas eu de nouvelles des américains. Nowlan croit qu'il sera de garde ce soir et ne pourra donc pas partir pour Montréal demain