Showing 65 results

Archival description
Place des Arts (Montréal, Québec)
Print preview View:

Cahier de notes 2005-2007

Ce dossier renferme un carnet où le chorégraphe a noté des idées en vrac lors de son séjour en résidence à la Cinquième Salle de la Place des Arts à Montréal de 2005 à 2007. Il témoigne de plusieurs projets mis de l'avant par l'artiste, entre autres d'un projet de solo avec John Ottmann. Il s'agit probablement la pièce « Social Studies » commandée par la compagnie Danse Cité pour John Ottmann. Il porte également sur la planification de l'événement-performance « Nuit Blanche » à la Cinquième Salle de la Place des Arts ainsi que sur la genèse du concept de la chorégraphie « Solo 30 x 30 », un solo de 30 minutes, qui serait repris trente fois. Plusieurs pages de notes et de graphiques indiquant la position du danseur dans l'espace sont consacrées à l'élaboration de cette oeuvre solo interprétée par Paul-André Fortier. Nous y retrouvons l'horaire des répétitions et des séances de composition de Paul-André Fortier à la Cinquième Salle de la Place des Arts. La seconde partie du carnet regroupe des notes générales prises en anglais lors d'un atelier de composition donné par le chorégraphe aux danseurs du « School of Contemporary Dancers » de Winnipeg », ainsi que des notes concernant chaque danseur participant. Cet atelier donnera naissance à la pièce « Sparks », interprétée par huit étudiants de l'école. Pour finir, les grandes lignes d'une conférence traitant de la notion de performance « in situ » en danse figurent au dossier

Yvon Deschamps récital

Ce dossier porte sur un spectacle récital d'Yvon Deschamps présenté en 1975 au Théâtre Maisonneuve de la Place des Arts de Montréal et à Québec dans une mise en scène de Jean Bissonnette. Il contient les textes des monologues, des notes de production, des coupures de presse, de la correspondance et la liste des enchaînements

Entrevue "Danse et confidence". Ginette Laurin

Ce dossier porte sur une entrevue donnée devant public par Ginette Laurin, dans le cadre de la série « Danse et confidences », initiée par Paul-André Fortier, lors de sa résidence à la Cinquième salle de la Place des arts. Johane Despins anime cette entrevue radiophonique d’une heure qui sera retransmise sur la chaîne culturelle de Radio-Canada dès l’automne 2004. L’animatrice brosse un bref portrait de la carrière de Ginette Laurin, gymnaste, danseuse, chorégraphe montréalaise de réputation internationale, directrice artistique de la compagnie O Vertigo. Celle-ci fait se débuts avec le Groupe Nouvelle Aire sous la direction de Martine Époque. Elle fonde sa propre troupe O Vertigo en 1984, une compagnie de danse axée principalement sur la recherche. L’Appelation O Vertigo possède plusieurs connotations. Elle suggère l’idée de vertige, fascination de l’abîme, déséquilibre, de vivacité et d’effervescence . Dans son œuvre qui compte plus d'une quarantaine de chorégraphies à ce jour, l’énergie, la gestuelle et le rapport au temps domine plutôt que la forme. Elle dit aimer travailler avec d’autres créateur et rappelle sa collaboration avec la sculpteure Françoise Sullivan, signataire du Refus global. Tout récemment, elle a collaboré avec un astrophysicien pour la création de « Luna », une chorégraphie poétique qui utilise une technologie optique pour dessiner dans l’espace les traces lumineuses du mouvement. Elle cherche à combiner plusieurs médiums dans la conception de ses œuvres : vidéo, photographie, arts plastiques, installation. Elle parle du processus de création de sa prochaine pièce « Passare ». Selon elle, le marché québécois est malheureusement trop restreint. Il faut se positionner sur la scène internationale, miser sur les tournées et la diffusion à l’étranger. La danse devrait être aussi plus présente à la télévision. Les fonds pour la création sont restreints. Elle doit porter plusieurs chapeaux : chorégraphe, directrice artistique et gestionnaire. Il faut investir beaucoup d’énergie à la gestion de la compagnie : déposer une quarantaine de demandes de subventions par année, chercher des co-producteurs, mettre sur pied des activités d’auto-financement. Elle n’écarte pas la possibilité de revenir à la danse à l’occasion. Elle projette de travailler avec des danseurs de tous âges, ainsi que des non-danseurs, de créer des installations chorégraphiques et des œuvres multimédia

Nuit Blanche. Festival Montréal en lumière

Ce dossier renferme des documents vidéos et sonores témoignant d'une performance chorégraphique offerte par Fortier Danse-Création sur la scène de la Place des Arts le 26 février 2005. Lors de l'événement "Nuit blanche" du Festival Montréal en lumière, Paul-André Fortier exécute une performance, accompagné de deux autres danseurs, sur une musique électronique d'Alain Thibault. Les danseurs évoluent devant un écran géant sur lequel se trouvent projetée une création multimédia intitulée "Passagers". Cette performance est réalisée alors que l'artiste est chorégraphe en résidence à la Cinquième salle de la Place des Arts. Les documents audiovisuels produits à cette occasion présentent un montage d'extraits (00:15:30) de cette performance qui dura en réalité 4 heures, soit de 11h00 pm à 3h00 am

Chorégraphie : Densité

Ce dossier illustre l'oeuvre intitulée « Densité », composée par le chorégraphe Paul Lapointe pour huit danseurs sur une musique d'André Prévost et présentée pour la première fois par le Groupe Nouvelle Air à la Place des Arts, à l'occasion de « Montréal à l'heure de la danse contemporaine »

Chorégraphie : Diptyque 1984

Ce dossier illustre l'oeuvre intitulée « Dyptique 1984 », composée pour douze danseurs sur une musique de Sven Éric Back et présentée pour la première fois par le Groupe Nouvelle Air à la Place des Arts

Chorégraphie : Le songe

Ce dossier comprend des notations chorégraphiques, quelques indications concernant les éclairages et les costumes ainsi que des photographies de l'oeuvre intitulée « Le songe », composée par Martine Époque sur une musique de N'Guyen Thien Dao pour le Groupe Nouvelle Aire et présentée à la salle Maisonneuve de la Place des Arts

1966

Ce dossier contient un programme pour un récital le 2 mai à la Place des Arts et le calendrier artistiques des évènements de cette salle

Untitled

Vues de la ville de Montréal

Le dossier porte sur des vues aériennes de Montréal et recense certains secteurs tels que l’Expo 67, le centre-ville, le Vieux Montréal, Ville Mont-Royal de même que quelques grandes artères soit le boulevard Saint-Joseph, la rue Sherbrooke, le boulevard Dorchester devenu René-Lévesque où se trouve le commerce McLennan Lumber; la rue Sainte-Catherine, le boulevard Saint-Laurent, le boulevard Métropolitain et l’échangeur d’Anjou. Du Vieux-Montréal et de ses environs, nous retenons le port de Montréal, des quais dont celui de King Edward et des bateaux accostés (dont le navire Richelieu de la Canada Steamship Lines et le paquebot Homeric), la basilique Notre-Dame, le Marché Bonsecours, le séminaire de Saint-Sulpice sur la rue Notre-Dame, l’hôtel de Ville, la Tour de l’horloge. À proximité se trouve le site de l’Expo 67 avec l’inauguration des travaux de construction, le remplissage du bassin de l’île Ronde, le pont Jacques-Cartier, le pont de la Concorde, l’île Sainte-Hélène, l’île Notre-Dame, différents pavillons de l’Expo 67 dont celui des Etats-Unis. En aéronautique, nous remarquons l’aéroport de Dorval et les bâtiments de l’avionnerie Canadair à Ville Saint-Laurent. Parmi les édifices et bâtiments, nous retenons la tour de la Banque de Montréal, l’usine Purina Chows, l’Oratoire Saint-Joseph, l’édifice Hydro-Québec, la place Ville-Marie, l’édifice de la Banque royale, l’hôtel Reine-Elizabeth, l’édifice Sun Life, le magasin Eaton, la City District Savings Bank, un bâtiment du Canadien national, la cathédrale Marie-Reine-du-Monde, la tour CIBC, l’édifice de la Banque canadienne nationale (devenu le 500 Place d’Armes), la Place-des-Arts, le siège social de la Commission des écoles catholiques de Montréal (CECM, rue Sherbrooke), la Banque provinciale du Canada, le cinéma Palace, le magasin Bond, le restaurant Astor, le magasin Morgan, devenu La Baie, tous situés sur la rue Sainte-Catherine. Parmi les autres édifices montréalais se trouvent la brasserie Dow, l’école de musique Vincent d’Indy, l’hôpital Santa-Cabrini, les jardins de l’Hôtel-Dieu, la KLM Dutch Airlines, la Sabena Belgian World Airlines et un bâtiment d’Esso, le magasin Yvette Brillon (rue Sherbrooke Ouest) et enfin, le magasin Reitmans, la pharmacie Jenber du boulevard Saint-Laurent, le Musée d’art contemporain situé dans les locaux de la Cité du Havre. Enfin s’ajoutent des vues du square Dominion devenu le square Dorchester, du square Viger, du square Chaboillez, du square Victoria, du parc Lafontaine, un kiosque à journaux, un poste d’alarme d’incendie en plein air, le monument Maisonneuve, une calèche et une affiche du Quartier chinois. Quelques scènes intérieures telles qu’une troupe de danseuses de French cancan, un spectacle de ballet, des clients attablés dans un restaurant et des enfants membres de la Société d’Histoire de Montréal projetant un diaporama historique s'ajoutent au dossier

Results 1 to 10 of 65