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La famille
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Date(s)
-
1870-2002 (Creation)
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Physical description
,71 mètre(s) linéaire(s) de document(s) textuel(s) 2 vidéo(s) 2 bande(s) magnétique(s) 8 autre(s) document(s) 731 photographie(s) 2 gravure(s) 2 carte(s) 1 plan(s)
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Name of creator
Biographical history
Né à Montréal le 9 août 1930, Jacques Parizeau est le fils de Gérard Parizeau (1899-1994) et de Germaine Biron (1898-1993). Il est le petit-fils de Télesphore Parizeau (1867-1961), médecin, lui-même fils de Damase Parizeau (1841-1915), président de la Chambre de commerce de Montréal. Homme politique et économiste, il épouse, le 2 avril 1956, l'écrivaine Alicja Poznanska (1927-1990) dont il a deux enfants : Bernard et Isabelle. Le 12 décembre 1992, il épouse en secondes noces Lisette Lapointe, née le 13 septembre 1943. Titulaire d'un baccalauréat français obtenu au collège Stanislas de Montréal en 1947, il fait ses études à l'École des hautes études commerciales d'où il obtient une licence en sciences commerciales (1949). Il obtient ensuite un diplôme de l'Institut d'études politiques de Paris (1952) ainsi qu'un doctorat en sciences économiques de la London School of Economics (1955). Jacques Parizeau débute sa carrière comme professeur à l'École des hautes études com-merciales de Montréal où il a enseigné de 1955 à 1965, de 1969 à 1976 et, enfin, de 1985 à 1989. Il est professeur honoraire de la même école depuis 1997. Parallèlement à l'enseignement, Jacques Parizeau a assumé plusieurs fonctions administratives à l'École des HEC dont la direction du Département d'économie, de 1973 à 1975, et celle de l'Institut d'économie appliquée de 1974 à 1976. Parallèlement à ses activités d'enseignement et de recherche, Jacques Parizeau est consultant auprès des ministères des Finances, des Richesses naturelles et de l'Éducation du Québec de 1961 à 1970. Il est aussi conseiller économique et financier du Conseil des ministres de 1961 à 1967, puis du bureau du premier ministre de 1967 à 1969. De plus, au début des années 1970, il est chargé de recherche à la Banque du Canada et à la Commission royale d'enquête sur le système bancaire et financier. Au cours de sa carrière, Jacques Parizeau est membre de plusieurs conseils d'administration et d'établissement dont ceux du Conseil supérieur du travail, de l'Assemblée universitaire de l'Université de Montréal, de Sogefor, de la Caisse de dépôt et placement du Québec, de la Société générale de financement, etc. Dans le domaine journalistique, il est directeur de la revue « L'Actualité économique » de 1955 à 1961, chroniqueur de l'hebdomadaire « Québec-Presse » de 1969 à 1974, puis président du conseil d'administration et éditorialiste du journal « Le Jour » de 1974 à 1975. Membre et président du bureau de direction du Parti québécois entre 1970 et 1971, il est candidat défait aux élections provinciales de 1970 et de 1973, puis est élu député de la circonscription de L'Assomption aux élections de 1976 et de 1981. Le 26 novembre 1976, il est nommé ministre des Finances et ministre du Revenu du gouvernement Lévesque. Puis il est président du Conseil du trésor de 1976 à 1981. Le 30 avril 1981, il est nommé ministre des Finances et ministre des Institutions financières et Coopératives; il est aussi membre du Comité des priorités et président du Comité ministériel permanent du développement économique. Il démissionne comme ministre des Finances le 22 novembre 1984 et comme député le 27 novembre de la même année. En 1985, il retourne à l'enseignement à l'École des hautes études commerciales de Montréal. D'octobre 1985 à novembre 1986, il est président de la Commission d'étude sur les municipalités, créée par l'Union des municipalités du Québec. Jacques Parizeau effectue un retour en politique le 18 mars 1988 en tant que chef du Parti québécois. Le 25 septembre 1989, il est élu député de la circonscription de L'Assomption et devient chef de l'Opposition officielle. En septembre 1994, il est élu premier ministre du Québec. Il prépare un référendum sur la souveraineté tenu le 30 octobre 1995. Après la défaite du « oui », il annonce sa démission et quitte la politique en janvier 1996. Depuis Jacques Parizeau prononce de nombreuses conférences tant au Québec qu'à l'étranger. Il publie deux ouvrages : « Pour un Québec souverain »(1997) et « Le Québec et la mondialisation : une bouteille à la mer? » (1998). Il est membre du conseil d'administration de la firme Biorthex inc. de 1998 à 2004. En 2010 il reçoit le prix Richard-Arès du meilleur essai publié au Québec pour son livre « La souveraineté du Québec : hier, aujourd'hui et demain »
Custodial history
Scope and content
Cette sous-sous-série témoigne des relations familiales de Jacques Parizeau. Elle comprend des documents sur l'histoire et la généalogie de la famille de Jacques Parizeau. Nous y trouvons de la correspondance d'Olivar Asselin à Édouard Biron et des textes de Gérard Parizeau et d'Alice Poznanska Parizeau. Dans le court film d'amateur de Télesphore Parizeau « Le Chaperon rouge » [1937], d'après un texte de Jean Dalpé [nom de plume de Gérard Parizeau], nous voyons Jacques Parizeau jouant le rôle d'un chasseur. Parmi les documents iconographiques nous remarquons un album de photographies du train-exposition - il s'agit de « camions-automobiles » à l'intérieur desquels étaient rangés des produits du Canada, oeuvres d'art, livres, fourrures et articles divers - qui sillonne les routes de la France et de la Belgique pendant plusieurs mois en 1923. Gérard Parizeau, Henry Laureys, Raoul Dandurand, Charles-Philippe Beaubien et Alphonse Désilets prennent part à cette promotion commerciale visant à faire connaître les réalisations de l'industrie canadienne outre-mer