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Title proper
Ministre responsable de l'application de la Charte de la langue française
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Statement of projection (cartographic)
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Dates of creation area
Date(s)
-
1989-1994 (Creation)
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Physical description
1,21 mètre(s) linéaire(s) de document(s) textuel(s)
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Biographical history
Après avoir été Chef de l'opposition officielle (mai 1979 - août 1982), Claude Ryan devint ministre de l'Éducation et ministre de l'Enseignement supérieur (déc. 1985 - oct. 1990). Il fut assermenté au titre de ministre responsable de l'application de la Charte de la langue française le 3 mars 1989, en remplacement de Lise Bacon. Il y demeura jusqu'aux élections de septembre 1994
Custodial history
Scope and content
Les documents ont été regroupés sous huit sous-séries: discours et notes, correspondance, comité et groupe de travail, notes au ministre (du Secrétaire à la politique linguistique, Guy Dumas), politique linguistique, législation et jurisprudence, relations avec les organismes, études et rapports sur la langue. Claude Ryan dirigea, au nom du gouvernement libéral de Robert Bourassa, la politique de la langue via ses discours et notes; sa correspondance démontre l'étendue de ses relations avec les groupes francophones hors Québec, ainsi qu'avec les citoyens et associations du Québec. Le groupe de travail qu'il dirigea, composé de hauts-fonctionnaires, s'intéressa surtout à ce que l'on nommait «l'actualisation de la Charte» à propos de sujets tels la langue d'affichage, l'apprentissage du français, la francisation des entreprises, l'intégration socio-linguistique des élèves et des immigrants. Quant aux dossiers de la législation, ils mettent en relief l'évolution de la Loi 101 amendée et modifiée par les lois 86 et 178, cette dernière portant sur la langue d'affichage. Enfin, les deux dernières sous-séries révèlent les liens tissés entre le ministre et ses interlocuteurs privilégiés: le Conseil de la langue française, l'Office de la langue française, la Commission de protection de la langue, la Commission de toponymie et, bien sûr, le Secrétariat à la politique linguistique qui assumait pour le ministre les travaux de logistique et de recherche. Les principales études concernent la langue maternelle, l'affichage, la signalisation routière, les communautés minoritaires de langue officielle