Montréal, de (Québec : Seigneurie)

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Acte de concession par Jacques Duchesneau, intendant de la Nouvelle-France, aux Supérieur et Ecclésiastiques du Séminaire de Saint-Sulpice de Paris de toutes les îles et tous les îlets non concédés entre l'île de Montréal et l'île Jésus, comme aussi les autres îles non concédées adjacentes étant dans le contour de ladite île de Montréal, en titre de fief, seigneurie et justice

Acte de concession par Jacques-René de Brisay, Marquis de Denonville, et Jean Bochart Champigny, gouverneur et intendant de la Nouvelle-France, à Jean de la Porte (LaPorte), sieur de Louvigny, lieutenant d'une compagnie du détachement de la Marine en Nouvelle-France et habitant de Ville-Marie, d'un emplacement sis dans ladite ville, lequel contenant cent cinquante pieds de long sur trente-six pieds de large dans le bastion Saint-Jacques, à prendre depuis le flanc joignant la courtine (mur de fortifications), lequel emplacement tenant d'un côté à la face dudit bastion sur la grande rivière, de l'autre à la rue Capitale, d'un bout au chemin qui va de ladite rue Capitale à la guérite dudit bastion et de l'autre bout au flanc dudit bastion, à la charge d'y faire bâtir une maison avec de bonnes murailles de pierre et chaux et de prendre ratification du présent acte par le Roi et approbation par les Messieurs du Séminaire de cette ville, seigneurs de l'île de Montréal

Acte de concession par Jacques-René de Brisay, Marquis de Denonville, et Jean Bochart Champigny, gouverneur et intendant de la Nouvelle-France, à Jean de la Porte (LaPorte), sieur de Louvigny, lieutenant d'une compagnie du détachement de la Marine en Nouvelle-France et habitant de Ville-Marie, d'un emplacement sis dans ladite ville, lequel contenant cent cinquante pieds de long sur trente-six pieds de large dans le bastion Saint-Jacques, à prendre depuis le flanc joignant la courtine (mur de fortifications), lequel emplacement tenant d'un côté à la face dudit bastion sur la grande rivière, de l'autre à la rue Capitale, d'un bout au chemin qui va de ladite rue Capitale à la guérite dudit bastion et de l'autre bout au flanc dudit bastion, à la charge d'y faire bâtir une maison avec de bonnes murailles de pierre et chaux et de prendre ratification du présent acte par le Roi et approbation par les Messieurs du Séminaire de cette ville, seigneurs de l'île de Montréal

Acte de concession par Jacques-René de Brisay, Marquis de Denonville, et Jean Bochart Champigny, gouverneur et intendant de la Nouvelle-France, au sieur Jean Fezeret d'un emplacement à Ville-Marie, lequel contenant cent soixante-dix pieds de long sur trente quatre pieds de large dans le bastion Saint-René, à prendre à partir du flanc joignant la courtine (mur de fortifications) qui aboutit à la porte de Lachine tirant vers la petite rivière, lequel emplacement tenant d'un côté à la face dudit bastion qui regarde le dehors de ladite ville au sud-ouest, de l'autre côté à la rue Capitale, d'un bout au flanc dudit bastion et de l'autre bout à un chemin qui va de ladite rue Capitale à la guérite dudit bastion, à la charge d'y faire bâtir une maison avec de bonnes murailles de pierre et chaux et de prendre ratification du présent acte par le Roi et approbation par les Messieurs du Séminaire de cette ville, seigneurs de l'île de Montréal

Acte de concession par Jacques-René de Brisay, Marquis de Denonville, et Jean Bochart Champigny, gouverneur et intendant de la Nouvelle-France, au sieur Jean Fezeret, arquebusier de Ville-Marie, d'un emplacement à Ville-Marie, lequel contenant cent soixante-dix pieds de long sur trente quatre pieds de large dans le bastion Saint-René, à prendre à partir du flanc joignant la courtine (mur de fortifications) qui aboutit à la porte de Lachine tirant vers la petite rivière, lequel emplacement tenant d'un côté à la face dudit bastion qui regarde le dehors de ladite ville au sud-ouest, de l'autre côté à la rue Capitale, d'un bout au flanc dudit bastion et de l'autre bout à un chemin qui va de ladite rue Capitale à la guérite dudit bastion, à la charge d'y faire bâtir une maison avec de bonnes murailles de pierre et chaux et de prendre ratification du présent acte par le Roi et approbation par les Messieurs du Séminaire de cette ville, seigneurs de l'île de Montréal

Acte de concession par Jacques-René de Brisay, Marquis de Denonville, et Jean Bochart Champigny, gouverneur et intendant de la Nouvelle-France, au sieur Jean Petit d'un emplacement sis à Ville-Marie, lequel contenant cent trente pieds de long sur vingt-cinq pieds de large dans le bastion Saint-Jacques, à prendre depuis le flanc joignant le petit port vis-à-vis la rue Saint-Joseph, lequel emplacement tenant d'un côté à la face dudit bastion sur la grande rivière, de l'autre côté à la rue Capitale, d'un bout audit flanc dudit bastion et de l'autre bout à un chemin qui va de ladite rue Capitale à la guérite dudit bastion, à la charge d'y faire bâtir une maison avec de bonnes murailles de pierre et chaux et de prendre ratification du présent acte par le Roi et approbation par les Messieurs du Séminaire de cette ville, seigneurs de l'île de Montréal

Acte de concession par Jacques-René de Brisay, Marquis de Denonville, et Jean Bochart Champigny, gouverneur et intendant de la Nouvelle-France, au sieur Jean Petit, habitant de Ville-Marie, d'un emplacement sis à Ville-Marie, lequel contenant cent trente pieds de long sur vingt-cinq pieds de large dans le bastion Saint-Jacques, à prendre depuis le flanc joignant la petite porte vis-à-vis la rue Saint-Joseph, lequel emplacement tenant d'un côté à la face dudit bastion sur la grande rivière, de l'autre côté à la rue Capitale, d'un bout audit flanc dudit bastion et de l'autre bout à un chemin qui va de ladite rue Capitale à la guérite dudit bastion, à la charge d'y faire bâtir une maison avec de bonnes murailles de pierre et chaux et de prendre ratification du présent acte par le Roi et approbation par les Messieurs du Séminaire de cette ville, seigneurs de l'île de Montréal

Acte de concession par la Compagnie de la Nouvelle-France à Pierre Chevrier, écuyer, sieur de Fancamp, et Jérôme Le Royer, sieur de la Dauversière, d'une grande partie de l'île de Montréal située dans le fleuve Saint-Laurent entre le lac Saint-Pierre et le lac Saint-Louis, à prendre à partir de la pointe qui regarde le nord-est, tirant en toute sa largeur vers le sud-ouest jusqu'à la montagne de Montréal qui a donné le nom à ladite île, et par-delà de la montagne encore quatre lieues françaises ou environ et jusqu'à l'embouchure du petit ruisseau qui est dans ladite île à ladite espace de quatre lieues ou environ, lequel ruisseau se déchargeant dans le canal qui sépare ladite île de Montréal d'une autre île appelée l'île de Jésus, le reste de ladite île à prendre depuis l'embouchure duquel ruisseau sera tirée une ligne droite jusqu'à l'autre bord de ladite île qui est sur ledit lac Saint-Louis, plus une étendue de terre de deux lieues de large le long du fleuve Saint-Laurent sur six lieues de profondeur dans

Acte de concession par Louis de Buade, Comte de Frontenac, gouverneur de la Nouvelle-France, au sieur abbé de Fénelon de trois îles dans le lac Saint-Louis le long de l'île de Montréal entre Lachine et le Cap-Saint-Gilles, appelées les îles Courcelles, pour faciliter l'établissement commencé pour élever de petits Sauvages (amérindiens), suivant les moeurs et coutume françaises, en titre de fief et seigneurie

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