Zone du titre et de la mention de responsabilité
Titre propre
Plans et dessins techniques
Dénomination générale des documents
Titre parallèle
Compléments du titre
Mentions de responsabilité du titre
Notes du titre
Niveau de description
Sous-série organique
Dépôt
Cote
Zone de l'édition
Mention d'édition
Mentions de responsabilité relatives à l'édition
Zone des précisions relatives à la catégorie de documents
Mention d'échelle (cartographique)
Mention de projection (cartographique)
Mention des coordonnées (cartographiques)
Mention d'échelle (architecturale)
Juridiction responsable et dénomination (philatélique)
Zone des dates de production
Date(s)
-
1948-1950 (Production)
Zone de description matérielle
Description matérielle
,22 mètre(s) linéaire(s) de document(s) textuel(s)
Zone de la collection
Titre propre de la collection
Titres parallèles de la collection
Compléments du titre de la collection
Mention de responsabilité relative à la collection
Numérotation à l'intérieur de la collection
Note sur la collection
Zone de la description archivistique
Nom du producteur
Notice biographique
Né en 1849, François-Xavier Drolet fonde la compagnie qui porte son nom en ouvrant, en 1875, un atelier de mécanique sur la rue Desfossés, à Québec, près de la rue du Pont. Il s'occupe de fabrication et de réparation de machines diverses pour des industries de Québec, notamment de pompes et de machines à vapeur très utilisées à l'époque. Les conditions économiques s'améliorant, F.-X. Drolet ouvre, en 1885, une fonderie pour alimenter l'atelier de mécanique. Plusieurs incendies majeurs ayant ravagé Québec, F.-X. Drolet s'intéresse dès 1900 à la création d'une bouche d'incendie ou borne-fontaine. La Ville de Québec devient bientôt son principal client et, en 1907, la croissance des affaires oblige l'entreprise à déménager dans un édifice nouvellement construit à l'est de la rue du Pont, entre la voie ferrée et la rivière Saint-Charles. En 1908, avec l'accroissement des immeubles en hauteur, F.-X. Drolet se lance dans la fabrication et l'installation d'ascenseurs et de monte-charges par traction à câbles. Cette nouvelle division des ascenseurs devient rapidement la plus rentable et fait connaître la compagnie tant au Québec qu'à l'extérieur. Au cours de la Première Guerre mondiale, l'usine ajoute à sa production courante, la fabrication de munitions et le reconditionnement des obus pour fins militaires; lors de la Seconde Guerre mondiale, la compagnie est déclarée industrie essentielle de guerre. En 1945, la compagnie compte donc trois divisions, soit une pour les ascenseurs, une pour les matériaux d'aqueduc et d'égouts, et une troisième spécialisée en mécanique industrielle. Après avoir procédé à sa restructuration administrative en 1960, la compagnie acquiert plusieurs sociétés entre 1968 et 1974. En 1975, elle célèbre son centenaire, comptant alors plus de trois cents employés et un chiffre d'affaires annuel de plus de douze millions. L'entreprise n'existe plus depuis, les activités de la filiale des ascenseurs ayant cessé en 1996