La présente pièce concerne indirectement des propriétaires voisins: Jean Bernier, seigneur du [fief de Saint-Joseph-du-Sud]; René Fortain (Fortin)

Cette série est constituée de différents actes notariés concernant les terres et les biens de la seigneurie de Tilly et envoyés au seigneur par les notaires devant lesquels ils ont été passés : baux et loyers, cessions de droits, concessions, déguerpissements, donations, échanges, reçus et enregistrements d'hypothèque, inventaire après décès des biens de Jean-Baptiste Noël de Tilly (1823) et inventaire des biens de Rosalie Boucher (1885-1886), contrat de mariage entre Jean-Baptiste Noël et de Marie-Geneviève Dussau (1756) et entre Joseph Cahier et Monique Fecteau (1809), obligations, protêts et sommations, quittances, retraits censuels, significations de transport, testaments de Charlotte Bergeron (1820), de Joseph Cote (1823) et de Charles François Dionne (1868), vente

Photographies et correspondances forment la richesse de ce fonds. La majorité des documents concernent Jonathan Würtele qui reçoit une imposante correspondance de son père Josias, de son fils Jonathan Saxton Campbell et des régisseurs de sa seigneurie, François-Xavier Gingras et Benjamin Therrien. Nous retrouvons, dans cet ensemble de lettres, des commentaires portant sur les troubles de 1837-1838, le Rapport Durham, l'Union du Haut et du Bas-Canada, et les incendies des faubourgs Saint-Roch et Saint-Jean en 1845. Les photographies concernent surtout à Saint-Thomas de Pierreville, à Pierreville et Odanak

A appris la mort de Cyril Bishop. Dans quelques jours, Edmond pourrait envoyer $ 3,00 au père de Bishop, pour avoir joué de l'orgue à l'enterrement de son oncle. Affaires d'argent qu'Edmond devra s'occuper. Lui envoie une copie d'une lettre qu'il a envoyée à Munro, de Harvard, sur l'ancienne tenure seigneuriale au Canada

Protestation des propriétaires de seigneurie contre les compagnies de chemin de fer. Danger incendie de forêt

Trouve que trop de seigneurs et avocats se présentent aux élections, les électeurs peuvent s’acquitter de leur reconnaissance d’une autre manière qu’en leur accordant leurs suffrages