Activités de pêche à la barbotte et à la perchaude se déroulant à la rivière l'Acadie, à proximité de Chambly (68-209-1 à 68-209-6). Au lac Saint-Louis à Dorion, se trouve une digue où se déroulent des activités de pêche à la perchaude à la main (68-209-6 et 68-209-8). En aval du pont, les perchaudes sont pêchées à la ligne (68-209-9) de même qu'au lac des Deux-Montagnes, en amont du pont de l'île aux Tourtes (68-209-10 et 68-209-11). À Vaudreuil, une cabane à sucre est située au nord de la route Transcanadienne (68-209-12)

Portraits des enfants de Marie-Louise Globensky et d'Alexandre Lacoste. Nous retrouvons Justine et Jeanne (P655,S1,SS3,D2,P5, P655,S1,SS3,D2,P7 et P655,S1,SS3,D2,P8) vers 1881 (P655,S1,SS3,D2,P1). Nous les apercevons aussi sur la photographie d'une peinture (P655,S1,SS3,D2,P6). Justine et Jeanne sont également en compagnie d'Yvonne (P655,S1,SS3,D2,P2), de cette dernière et d'Alexandre (P655,S1,SS3,D2,P3 et P655,S1,SS3,D2,P20). Justine et Jeanne sont accompagnées de leur père lors d'un voyage à Atlantic City aux États-Unis en 1920 (P655,S1,SS3,D2,P15). Une autre image représente Thaïs Lacoste en septembre 1960 (P655,S1,SS3,D2,P16). Par ailleurs, nous remarquons Louis et Blanche (P655,S1,SS3,D2,P9) et probablement Justine et Marie vers 1890 (P655,S1,SS3,D2,P19). À Vaudreuil, le 30 août 1894, Justine Lacoste est costumée en cartomancienne accompagnée de Jeanne, Blanche, Alexandre, Thaïs et Berthe Lacoste, ainsi que d'Eugénie Garneau et d'Élodie Globensky (P655,S1,SS3,D2,P10). En 1896, au même endroit, Justine et Jeanne Lacoste, Maude Bradley, Juliette Mathieu, Pauline et Anita Grant participent à une séance (P655,S1,SS3,D2,P11). En avril 1900, les soeurs Marie, Berthe, Justine, Jeanne, Yvonne, Blanche et Thaïs Lacoste sont réunies (P655,S1,SS3,D2,P12 et P655,S1,SS3,D2,P13). Elles sont en compagnie de leurs frères Alexandre et Paul en 1934 (P655,S1,SS3,D2,P21). Nous retrouvons Justine Lacoste en compagnie d'Eugénie Garneau (P655,S1,SS3,D2,P14). Enfin, Paul Lacoste (P655,S1,SS3,D2,P18) participe à un bal historique du Château Ramezay qui s'est tenu à l'Hôtel Windsor situé sur la rue Peel à Montréal le 18 janvier 1898 (P655,S1,SS3,D2,P17)

Parmi les pièces constituant le fonds de Monsieur Massicotte, nous retrouvons maints documents photographiques sur lesquels figurent des éléments précis de diverses régions québécoises. En fait, la presque totalité illustre des croix de chemin, des calvaires et des monuments érigés dans près d'une centaine de paroisses, villages, villes ou comtés du Québec tous précisés à l'endos des photos; Portneuf, Montmorency, Rivière-du-Loup, Québec, Île-de-Montréal, Nicolet, Verchères, Vaudreuil, Beauce, L'Assomption, Rouville, Napierville, Terrebonne, Maskinongé, Laval, Laprairie, Saint-Jean, Châteauguay, Champlain, Chambly sont quelques exemples de ces subdivisions territoriales. Il est à noter que ces photos ont été prises par Joseph Grenier, M.-M. Côté et C.M. Barbeau. Aussi, cinq pièces consistent en des stéréogrammes de L.P. Vallée et W. Notman, ceux-ci illustrant divers sites de Québec dont la rue Buade, la Citadelle, la Grande batterie, la maison Montcalm et l'intérieur de la Basilique. Certains des termes rattachés ont été extraits de descriptions à des niveaux inférieurs apparaissant dans l'instrument de recherche

Vue de l'intérieur

Les documents produits par la Cour de circuit offrent des renseignements sur une foule de sujets, de l'histoire événementielle à l'analyse quantitative de phénomènes socio-économiques et politiques, en plus de fournir une source essentielle pour les études sur l'administration de la justice. Ce fonds est d'autant plus riche qu'il couvre la période d'industrialisation et d'urbanisation intensive que connue le Québec de 1850 à 1920. Beaucoup plus décentralisée dans ses activités que la Cour supérieure, la Cour de circuit a généré des documents non seulement dans les chefs-lieux des districts mais également dans beaucoup de villages et petites villes, reflétant ainsi le développement de la vie urbaine et les relations entre agglomérations urbaines de toutes sortes et leur campagne environnante. Ce fonds porte sur des litiges en «matières civiles» mettant des sommes assez modestes en cause (moins de 200$). La majorité de ces litiges concernent le recouvrement de dettes, bien que d'autres types de causes s'y trouvent en moindre quantité, par exemple des causes en dommages-intérêt, des causes touchant les taxes municipales et jusqu'en 1919, des causes en citoyenneté. En définitive, ce fonds constitue une source très riche pour l'étude du niveau de vie de la majorité de la population en relation avec la conjoncture économique. La première série de ce fonds concerne les greffes où la Cour de circuit siégeait. Pour le Centre d'archives de Montréal, il s'agit des greffes des localités de Montréal, Saint-Jean, Joliette, Sorel, Saint-Hyacinthe, Sainte-Scholastique, Valleyfield, Saint-Jérôme, Beauharnois, Huntingdon, Marieville, Sainte-Martine, Napierville, l'Assomption, Sainte-Julienne, Coteau-Landing, Berthier, Saint-Liboire, Lachute, Terrebonne, Acton Vale, Saint-Benoît, Saint-Ours et Vaudreuil