Ce fonds contient beaucoup de portraits des membres de la famille de l'architecte Honorius Lebon et des familles alliées. Nous y voyons, entre autres, les familles de Philias Larochelle, Joseph Poulin, du docteur Camille Simard et de Wilfrid Simard. Également, nous y reconnaissons le docteur Boissinot du Lac-Mégantic, ainsi que Charlotte Samson et son époux, Justin Rochefort. Les documents présentent aussi des scènes de vacances, pique-niques et divers véhicules, dont une motocyclette conduite par une femme. Il y a encore plusieurs photos d'enfants en action, des résidences, dont celle de l'architecte Lebon à Giffard, ainsi que des scènes d'hiver, comme un attelage de chiens sur la Terrasse Dufferin à Québec, des vues de Québec, Beauport, Port-Alfred et Jackman, en plus de photos d'étudiants. Certains des termes rattachés ont été extraits de descriptions à des niveaux inférieurs apparaissant dans l'instrument de recherche

Le fonds comprend des documents créés ou reçus par George-Frédéric et ses descendants directs de son premier mariage avec Charlotte Giroux. Les documents les plus significatifs sont ceux rédigés par Frédérica et par son père, Frédéric-Alexandre, qui fut prêtre et directeur de la revue LE COUVENT. Frédérica, jeune fille modèle, conserva ses cahiers de devoirs et de compositions, ses premières ébauches littéraires -prose et poésie- ainsi qu'un journal intime. Nous y trouvons, de plus, une correspondance amoureuse avec Ulric Brunet, un prétendant de Frédérica qui renonça à la vie matrimoniale pour des études de théologie. Les écrits de Frédéric-Alexandre se composent également d'un journal personnel (couvrant les années 1897 à 1917 et 1923 à 1927), de lettres échangées avec ses frères et ses soeurs ainsi que de notes diverses sur la religion et l'histoire sainte. Outre quelques documents de Fabiola et de Victor Baillairgé, le fonds contient des actes notariés sur la maison des Cèdres située à Saint-Joseph-de-Soulanges, de même que deux pièces sur la Fondation Thomas Baillairgé créée, semble-t-il, en 1859. Les documents photographiques comptent beaucoup de portraits des membres de la famille Baillairgé et des familles alliées, comme les Girouard, les Berthelot, les Bruchési. Nous y trouvons aussi des vues des résidences de la famille et des enfants avec leurs jouets. Plusieurs des photos sont de H.E. Archambault, Ellisson & co, Jones, J.E. Livernois, Montminy, L.P. Vallée, entre autres photographes

Ce fonds d'archives reflète les divers aspects de l'activité ministérielle de Denis Vaugeois. Il témoigne, par conséquent, de l'histoire politique et culturelle du Québec. Plusieurs dossiers composent ce fonds comme ceux du ministère des Affaires culturelles constitués des documents en lien avec l'Assemblée nationale (1977-1981), le cabinet du ministre (1978-1981), le Comité ministériel permanent du développement culturel (1978-1981), le Conseil du trésor ((1976-1982), le ministre, Denis Vaugeois, et les sous-ministres (1980-1981), les ministères (1974-1980), le Parti québécois (1979-1981), la réforme parlementaire (1960-1981), le ministère des Communications (1971-1981), les relations fédérales-provinciales (1975-1980) et les relations extérieures (1976-1984). Cet ensemble documentaire est constitué, entre autres, d'agendas, de correspondances expédiées (1976-1981) et aussi, avec les ministres et les députés (1977-1981), de chronologies, de discours et conférences, de lois et de protocoles d'ententes avec les municipalités. D'autres documents concernant également le ministère des Affaires intergouvernementales (1974-1981), le Conseil des ministres (1978-1981), la Société québécoise de développement des industries culturelles (1977-1981), les Archives nationales du Québec (1977-1981), la Bibliothèque nationale du Québec (1977-1981), le Conservatoire de musique et d'art dramatique du Québec (1975-1981), de même que des documents relatifs à la région de Trois-Rivières (1977-1981) et aux Éditions Boréal Express (1963-1978). Un autre ensemble documentaire relatif au patrimoine (archéologie, ethnologie) et aux musées composent également ce fonds. Il s'agit de dossiers relatifs à des demandes de classement et de reconnaissance, de biens culturels, des sociétés historiques et de demandes de subventions. Les documents iconographiques sont des photographies de Vaugeois prises au cours de cérémonies officielles, lors de ses mandats de député du Parti québécois et de ministre. Nous le voyons avec, entre autres, Gratien Gélinas, Félix Leclerc, René Lévesque, Claude Morin, Lise Payette, Clément Richard, Jean Drapeau, Jacques Parizeau, Yves Michaud, Jean Duceppe, Gilles Pelletier, Jean Pelletier, Micheline Lanctôt, Marie Tifo; des vues de Trois-Rivières et des îles de Mingan complètent le fonds. Certains des termes rattachés ont été extraits de descriptions à des niveaux inférieurs apparaissant dans l'instrument de recherche. Les documents vidéos sont des copies d'émissions de télévision et les documents sonores contiennent des entrevues radiophoniques, un discours lors du dévoilement du buste de l'écrivain Hubert Aquin et un rappel de la convention libérale d'octobre 1980

Les quelques photographies du fonds illustrent divers édifices comme les écoles de Gaspé, de Causapscal et de Montmagny, l'église de Rivière-Bleue et l'Hôpital général de Québec. Les dossiers contiennent aussi des vues générales en cartes postales de Causapscal, de Mont-Louis et de Gaspé et un intérieur du Bureau de poste de Québec

Cette importante entreprise de photographie des XIXe et XXe siècles québécois laisse derrière elle un fonds permettant la reconstitution de son histoire et d'une partie de celle de la province. Les quatre premières séries se rapportent à la production photographique de Jules-Isaïe, de Jules-Ernest et de Jules Livernois et se présentent comme suit: photos-reportages édités, portraits et autres photos-reportages, portraits de citoyennes et citoyens et l'édifice Livernois. La dernière série, exclusivement composée de documents textuels, concerne la pharmacie et les activités commerciales. La majeure partie du fonds, soit la partie la plus récente, est quant à elle composée de portraits de clients de la région de Québec, portraits réalisés dans le studio des Livernois. La partie la plus ancienne contient surtout des paysages et des reportages, quelques portraits de personnages publics tels les hommes politiques et les autorités religieuses, de même que des portraits de familles, de groupes d'étudiants, de religieux et religieuses. Les Livernois ont témoigné, entre autres, de la construction du chemin de fer Québec-Lac-Saint-Jean et d'une tournée du Premier ministre Mercier. Certaines villes touristiques comme Cacouna, La Malbaie, Tadoussac sont souvent dans la mire des photographes. Une place spéciale est aussi faite à Québec et sa région; de nombreux panoramas, des bâtiments, des rues, des maisons religieuses, des églises ainsi que le port, ont été photographiés par les Livernois. Nous y trouvons encore des scènes d'hiver et d'été, des événements comme l'éboulis sur la rue Champlain, des dévoilements de monuments, les fêtes du tricentenaire et autres. En ce qui concerne la série intitulée : «Entreprise commerciale», elle contient les documents comptables ainsi que de la correspondance et divers imprimés Certains des termes rattachés ont été extraits de descriptions à des niveaux inférieurs apparaissant dans l'instrument de recherche

La série comprend des photographies de grande qualité dont les sujets variés concernent divers lieux visités par le photographe. Une part importante de cette série concerne des points de vue et des sites de la ville de Québec et des environs dont, entre autres, les activités au couvent des Ursulines, les locaux de l'Université Laval, les jardins de Bois-de-Coulonge et le Château Frontenac. Nous y trouvons aussi plusieurs pièces relatives au chemin de fer et à la colonisation dans Portneuf et au Lac Saint-Jean, des images de la rivière Saguenay, de l'hôtel de Cacouna, la pêche à Percé et Gaspé et le moulin de Grand-Mère. Il s'agit d'une sélection de clichés que le photographe a numérotés et titrés pour la présentation; nous pouvons donc en déduire qu'elle visait la vente au comptoir. Cette numérotation du photographe a été maintenue pour le classement des pièces de la série bien qu'un même reportage puisse être réparti en plusieurs numéros non consécutifs. Certains des termes rattachés ont été extraits de descriptions à des niveaux inférieurs apparaissant dans l'instrument de recherche